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  • : Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
  • : Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 15:35

Il s’agit d’un folder-copie-1.jpgduo masculin de rock ‘n’ roll noir des plus explosif. Ils obtiennent en 1955  leur premier hit pour Herald record I love you Maldy un rock assez sauvage avec en face B la ballade You’re to blame. Stylistiquement ils sont originaux leurs voix fonctionnent comme une formation doo wop dont les voix basses sont remplacées par le saxophone. Ils enregistrent ensuite une série de simple pour Herald sur le même principe avec un Rock rapide couplé à une ballade ou un titre plus medium comme cela sort les simples My lovin’ baby /Take a look, Dearest one (un autre rock rapide) qui fait un nouveau hit, Oh gee ooh wee / Guess i’m through with love, Little fool /I gotta have you et Closest thing to an angel /Mad with you baby.

Leurs faces d’une incroyable énergie leur permettent d’obtenir une bonne célébrité mais dés 1956 – 57 ils disparaissent du devant de la scène.

Grâce au label Collectable et l’album I love you Maldy nous pouvons entendre leurs très bonnes faces du duos, nous trouvons des rock ‘n’ roll rapide soit I Love You Madly (avec un rythme rapide,une bonne mélodie, un jeu de voix original créatif et un très bon solo de sax qui est aussi présent dans une version plus lente), My Lovin' Baby, Little Fool, Dearest One ( un rock rapide avec un accompagnement de piano et un style vocal qui ici n’est pas sans rappeler les Collin’s kids !!!),  Sweet Thing, Mad With You Baby (au style rockabilly !!) des rock plus medium I Gotta Have You, Oo Gee Oo Wee (un jump jive), Tag Along et Closest Thing To An Angel (ces deux derniers teintés de calypso !!), des ballades rhythm and blues medium Certainly Baby, Take A Look At Me, et des ballades doo wop Oh Yes , You're To Blame et Guess I'm Through With Love.

En résumé c’est superbe et génial j’ai adorré.

 


 

 

 


 

 


 

 


 

 


 

 


 
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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 20:44

Bobby Hendricks est un chanteur folder.jpgde Rhythm and Blues né à Columbus (Ohio) en 1938, il passera à la postérité en devenant le troisième leader des Drifters à la suite de Clyde Mc Phatter et Ben E King (on peut également noter qu'il fut également membre de The Swallows et de The Flyers).Mais également en rentrant deux hits dans les hit parades à la fin des 1950's en tant que chanteur solo soit Itchy Twitchy Feeling (N° 5 des charts R & B et 25 au Hot 100 en 1958) et Psycho (N° 73 au Hot 100 en 1960).  Grâce au label Collectables on peut enfin entendre les faces de Bobby Hendricks en solo et c’est vraiment trés bon, les 19 titres  allient rock ‘n’ roll, rhythm and blues , Gospel, Stroll  et Teen rock.  

Nous trouvons du pur rock n’ roll comme Itchy Twitchy Feeling , Cast Your Vote, Molly Be Goode (dans le style des meilleurs Little Richard ou Larry Williams) et la cover du medium  I Want That (ici avec des sonorités gospels), de belles ballades comme Dreamy Eyes dans le style de Sam Cooke, Good Things Will Come aux sonorités très blues,  A Thousand Dreams, Come Back (Sincerely, Your Lover) aux harmonies  doo wop, Too Good To Be True très rhythm and blues et Little John Green dans le style de Jackie Wilson. des strolls amusants et dynamiques comme le délirant Psycho (présent dans une version différente) et le tout aussi bon   I'm A Big Boy Now, et des teen rock medium comme  Busy Flirting, City Of Angels .

 Mais on trouve aussi des titres lents plus ennuyeux comme  If I Just Had Your Love (présent également dans une version différentes), Your All I Need et It's Misery


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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 07:15
Dave « Baby » Cortez est l’un des premiers artistes a avoir mis au premier plan l’Orgue Hammond, cela grâce à son énorme tube instrumental de Mai 1959 The Happy Organ folder.jpg (après Bill Doggett en 1956 et son tube Honky Tonk)et  avant d’autres artistes comme Johnny and the Huricane, Bill Black’s Combo booker T and the Mg’s ou Billy Preston
Lorsque en 1959 The Happy Organ et n°1 du hit parade US Dave est déjà un artiste reconnu de la scène R & b newyorkaise en tant que membre des formations Doo wop the Pearls et the Valentines et pianiste de studios au côté de King Curtis et Jimmy Spruill derrière des artistes comme The Chantels ou the Isley Brothers.
C’est en 1938 que Dave voit le jour à Detroit (Michigan), en 1956 il enregistre son premier simple pour Ember contenant deux instrumentaux au piano Movin’ & Grovin’ et Soft Light, suivi en 1957 par des simples l’ instrumental Hoot Owl et Shakin’ for Paris ou il est accompagné au sax par King Curtis et un disque de rock ‘n’roll dans le style de Little Richard Honey Baby et You give me a Heebies Jeebies pour Okey Records. En 1958 il fait une tournée au côté de Little Anthony and the Imperials et signe pour le label Clock de l’anglais Wally Moody il enregistre à la fin de l’année sont Happy Organ, le titre ne tarde pas à se faire connaître grâce à des diffusions radios partout dans le pays à partir de Décembre 1958. Le disque se vend à 1 million d’exemplaire pour Clock puis de nouveau à 1 million pour Ember et Herald qui le presse et le distribue également sous leur nom au final le disque est disque d’or. Après Clock Dave signe un contrât avec la major RCA pour qui il enregistre un ep et un album.
En 1962 il revient dans le top 10 avec l’instrumental Rinky Dink (pour Julia records) qui est une version instrumental de Love is Strange de Mickey et Sylvia suivi d’un second petit hit Count down et de 3 albums pour Roulette records.
Le disque qui nous intéresse est une compilation ces faces pour Clock records, (enregistrées entre 1958 et 1961) du nom de Happy Organ, Wild Guitars and Piano shuffles édité par Ace records. Lors de ces sessions nous trouvons un groupe formé par Dave au chant piano (ou orgue), Buddy Lucas en sax tenor, Jimmy Spruil et Joe Richardson aux guitares, Paul Williams en sax baryton et Francis Panama à la batterie.
Nous trouvons de 1958 – 59 le fameux The Happy Organ qui est effectivement un très bon instrumental à la mélodie inventive et l’interprétation créative dont on peu noter  le solo des guitares au lilieu d’un titre dominé par les sonorités de l’Orgue. Piano Shuffle est un titre plus medium aux sonorité proche du Rock ‘n’ roll de la Nouvelle Orléans, Hey Hey Hey est un bon rock ‘n’ roll boogie avec chant et solo de sax, Love Me As I Love You est une belle ballade rhythm and blues dans le style de Unchained Melodie, The Whistling Organ est un rock ‘n’ roll instrumental rapide très original avec un solo de guitare sauvage, Deep In The Heart Of Texas est plutôt joyeux voir même un peu kitch, Red Sails In The Sunset est un instrumental  rhythm and blues plutôt medium, Dave's Special est boogie rock au rythme proche de Fat’s Domino, I'm Happy est un très bon rock ‘n’ roll noir vocal dans le style de Jackie Wilson, Summertime de Gershwin dans une version instrumentale très originale, It's A Sin To Tell A Lie est un instrumental plutôt variété est assez pénible, The Boogie Organ est un gospel rock ‘n’roll instrumental vraiment très bon, The Swinging Piano est un petit chef d’œuvre entre rock ‘n’roll et white rock, une merveille instrumentale. De 1960 nous trouvons Cat Nip un rock instrumental au son en avance pour son temps, Fiesta avec chœurs de style twist est bien ancré dans le révolution twist du début de la décennie mais on ne peu ici aussi qu’apprécier le fabuleux passage de guitare bluesy, Hurricane avec son rythme de persussion presque cubain a une originalité bien a lui, You're Just Right est un rock ‘n’roll rapide avec chant assez génial, Calypso Love Song avec son style Calypso est une petite bizarrerie, The Shift est un rock twist assez réussi.
De 1961 nous trouvons l’instrumental dispensable Tootsie et le plus intéressant et rapide The Boogie Organ, et des faces officielles nous arrivons en 1965 avec le remarquable rock ‘n’ roll instrumental Organ Bounce  et le plus medium Riffin' (si vous suivez bien des  titres qui ont été enregistrées en 1960 et 1961).
Les autres titres n’ont pas été édités à l’époque comme Mardi Gras (The Blues) un rhythm and blues instrumental medium, Do The Slop un rock instrumental aux sonorités Nouvelles Orléans, et le fabuleux boogie rock instrumental The Boogie Piano.  
Ce disque est dans l’ensemble plutôt bon, et saura réconcilier certains avec l’orgue Hammond.
 

 
 
     
 

 

 

 

 
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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 11:23

La pianiste Kathryn Jewel Thorne  (alias Katie Webster) folderpt.jpgest né le 11 Janvier 1936 à Houston (Texas), elle devient à la fin des années 1950's et début des 1960's une des figures marquantes de la scène  Swamp blues du sud de la Louisiane.

Elle commence sa carrière sous l'influence des enregistrements rock 'n' roll de Fats Domino et Little Richard, aidé par le guitariste Ashton Savoy.

Son premier simple Baby baby sort en 1958, et c'est grâce aux producteurs JD Miller (Crowley)  et Eddie Shuler (Lake Charles) qu'elle peut réalisé un grand nombres d'enregistrements.

C'est entre 1959 et 1961 qu'elle met en boite de trés nombreux classique sous la houlette de Miller pour les labels Rocko, Action et Spot on peut noter le génial The Katie Lee, elle possède alors sa propre formation the Uptighters.

Mais elle est également un musicien de studios prisé en jouant derrières certains titres studios d'artistes comme entre autres Guitar Junior (Lonnie Brooks), Clarence Garlow, Jimmy Wilson, Lazy Lester et Phil Phillips (en particulier sur son tube Sea of love).

En 1964, elle fait partie du groupe qui accompagne Otis Redding au bamaboo Club (Lake Charles). Durant les 1970's elle part rejoindre ses parents à Oakland en Californie, en 1988 elle fait une tournée européenne, commence également sa période Alligator records au côté d'artistes comme Bonnie Raitt, Robert Cray et Kim Wilson. Elle décède le 5 Septembre 1999.

Nous allons ici nous Folderpt.jpginterresser à ses faces fifties et début sixties réalisé lors de sessions sous la direction de Jay Miller on peut citer les eux lp Flyright Whooe Sweet Daddy correspondant au Volume 9 de la série The Legendary Jay Miller Sessions, et le volume 48 de cette même série.

Ces deux albums contiennent quelques petits classiques de rock 'n'roll noir féminin dans le style d'artiste comme Fats Domino, Huey Piano Smith ou Little Richard alliant boogie rock rapide et rhythm and blues médium nous trouvons sur le Volume 9 les titres No Bread, No Meat ( est une reprise de son premier simple Baby baby un blues medium), I Want You To Love Me (un rock n'roll medium avec Ashton Savoy au chant),  Baby Come On (un trés bon boogie rock rapide), I Wanna Know (est un blues enregistré au début des sixties avec des sonorités soul), Glory Of Love (belle version R &B de ce classique Doo wop), The Katie Lee (bon rock 'n'roll issu de la même session avec chant dans le style du monologue de Big Bopper soutenu par le sax tenor) , Whooee Sweet Daddy (un fabuleux rock dans le style des meilleurs Fats Domino), Sunny Side Of Love (Ballad rhythm and blues), I Feel So Low (excellent rock 'n'roll), Goodbye Baby (ballade dans l'esprit de Fats Domino), Don't You Know (rock soul typique du début des 1960's) et Mama Don't Allow (et un rock twist ans le style de Chubby Checker ou Gary Us Bombs).

Le Volume 48 contient sont fameux premier simple blues de 1958 Baby baby,  Sunny Side Of Love et  I Feel So Low (ballade r & b et rock 'n' roll déjas présents sur le volume précédent mais ici dans la version sortie à l'époque sur les simples Rocko records datant de 1960), Close To My Heart (belle ballade rhythm and blues), Hey Mr. Love (rock soul avec des passages chantés masculin de Bobby Jay jusque là inédit), Cry Cry Darling (ballade blues aux harmonies country), God Is So Wonderful (ballade blues gospel inédit de 1961), Sea Of Love (splendide cover de 1960 du hit de Phil Phillips ), Your Cheating Heart (cover blues du chef d'oeuvre country de Hank Williams), I Keep A-Callin' On You (medium rock), Goodbye Baby (ballade présente sur le volume 9 dans une version différente), Sunny Side Of Love (titre encore présent mais dans une version alternative), Lonely For You (une superbe ballade soul rhythm and blues) et If I Ask You (est un gospel blues de 1961).

Katie Webster raviera l'amateur de Rock 'n'roll, de blues et de belle voix féminine.

 

 

Katie Webster - I Feel So Low

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Katie Webster - Baby baby

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Katie Webster - Whooee Sweet Daddy

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Katie Webster - The Katie Lee

 

Katie Webster - Baby Come On

Katie Webster - I Want You To Love Me

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 21:00

Johnny Otis est l’une des personnalitésjohnnyotisshow.jpg les plus marquante du passage du rhythm and blues joué par les big band des 40’s au rock n’roll des 50’s. En résumé l’un des artistes blanc incontournable de la musique noire.  Otis est l’enfant d’immigré grec installé à West Bekerley (Californie) tout prés de San Fransisco . Jeune il apprend à jouer de la batterie, du piano et du vibraphone. A vingt ans sn intèrêt pour la musqiue décroit encore lorsqu’il voit Joe Jones le batteur de count Basie en action lors d’un concert. Il se met ensuite encore plus sérieusement à la batterie.

C’est en 1939, qu’il débute professionnellement comme batteur des West Oakland House Rockers, avec qui il tourne dans tout le pays. En 1941 il rejoint le groupe de Harlan Leonard et Count Price Otis Mathews avec qui il se produit dans les casinos de Las Vegas. En 1943 il forme The Otis-Love Band avec Preston Love avec qui il se produit dans un Barrelhouse club in Omaha (Nebraska). C’est au commande de son propre orchestre que fin 1943 il se produit au Club Alabam de Los Angeles.

En Octobre 1946 lui et son groupe deviennent le groupe d’accompagnement de The Ink Spots pendant leur tournée mondiale. Il réalise quelques enregistrements pour Excelsior records dont on peut citer le classique Harlem Nocturne et part en tournée avec son orchestre, mais devant le déclin des big bands, Otis forme alors un combo avec deux saxophones, une trompette, un trombone et lui même au vibraphone.

En 1948 il ouvre son propreDSC05471.jpg Barrelhouse Club qui lui permet de découvrir des nouveaux talents qui marqueront l’histoire du rhythm and blues comme the Robins, Mel Walker, Big Jay McNeely et Little Ester. En 1950, après des négociations avec Savoy records, il produit 3 titres qui deviennent 3 tubes de l’année Cupid’s boogie par Little Ester, Mistrustin’ blues par The Robins et Double Crossing blues par lui-même (titre qui sera aussi interprété par Little Ester et The Robins).

Il part pour King records,  il devient non seulement le compositeur de tubes mais aussi de découvreur de talent pour le label. Il découvre comme cela Willie Mae Thornton, Jackie Wilson, Little Willie John et Hank Ballard. C’est durant cette pèriode qu’il traverse le pays avec sa célèbre The Johnny Otis Rhythm and Blues Caravan (dans laquelle on retrouve son orchestre et lui même mais également les chanteuses Big Mama Thornton, Little Ester et Marie Adams, le groupe vocal The Robins et le chanteur Mel Walker). Otis enregistre alors sous son propre nom pour les labels Mercury et Peacock. Il produit et accompagne avec son groupe des artistes comme Little Richard,Willie Mae Thorton et Johnny Ace lors de sessions pour les label Peacock/Duke. Il écrit deux chef d’œuvre du rhythm and blues voir du rock n’roll The Wallflower (aka Dance with me Henry) qui sera un énorme succés pour Etta James en 1955 et Hound Dog (ou il est co-auteur avec Leiber et Stroller) qui sera un succès pour Big Mama Thornton et Elvis Presley dont il produit la session en 1953. Il produit en 1955 Pledging my love pour Johnny Ace (qui est un des titres majeurs de 1955) et fonde son propre Dig records. Toujours en 1955 il travaille aussi comme Deejay pour KFOX une radio de Los Angeles ce qui lui permet de faire parallèlement la promotion d’artistes qu’il aime. Entre 1957 et 1959 il enregistre pour Capitol records, les sont les années les plus rock n’roll d’artistes durant lesquelles il mettra en boite des chefs d’œuvres du genre comme Telephone baby et Willie and the Handjive (au rythme inspiré par Bo Diddley avec lequel il obtient son plus gros tube personnel en 1958 qui monte à la 9 eme place des Pop Charts et qu’il interprette pour le film Juke Box Rhythm). En 1959 il écrit le tube des Fiestas So fine, en 1961 celui des Pips Everyday of may heart.

Au début des 1960’s il enregistre pour King records, et laisse la musique au milieu de la décennie pour la politique devenant manager du staff de campagne pour le congrés du démocrate Mervin Dymally. En 1968, il publie son autobiographie Listen to the lambs.

C’est Frank Zappa qui arrive à faire revenir Otis en studio pour l’album Cold shot pour Kent records dans lequel son fils Shuggie tient la guitare. Devant le succés rencontré par le disque il est signé par Epic Records pour qui il enregistre l’album Cuttin’ Up.

En 1970 il remonte pour le Festival de Blues de Monterey une nouvelle revue dans laquelle on retrouve quelques légendes du rhythm and blues comme Joe Turner, Roy Brown et Little Esther. Ils tounent l’année suivante dans tout le pays et même en Grande Bretagne.

En 1974 il fonde le label Spectrum, sur lequel enregistre des artistes comme Joe Turner, Pee Wee Crayton, Joe Liggins et Charles Brown.

En 1981, il enregistre pour Alligator records un nouvel album The new Otis show qui lui permet de repartir en tournée avec sa nouvelle revue. En 1984 il se produit au festival de Monterey et au début des 1990’s il part pour Sebastopol (Californie) ou il ouvre The Johnny Otis Market dans lequel se produise de nombreux artistes de rhythm and blues et dont certains lives sont retransmis sur la radio KPFA (de Berkeley).

En 1994 il est introduit au Rock n’roll hall of fame pour son travail de compositeur et de producteur.

Au niveau des 33 tours je possède 2 albums de sa période la plus rock n'roll c'est à dire ses faces Capitol records, le premier est une compilation Charly Records Johnny Otis Rock 'n' roll revue (CH 330) qui contient les titres Shake it lucy baby (Johnny est au chant), Willie and the hand jive de 1958(Johnny est au chant), Ring a ling (Johnny est au chant), Bye, bye, baby (Johnny est au chant avec Marie Adams),  The light still shines in my window (Marie Adams est au chant) , Tell me so (Mel Williams est au chant), Telephone baby (Johnny est au chant avec Marci Lee) , Mumblin' mosie de 1959 (Johnny est au chant), Good Golly de 1957(Johnny est au chant), Crazy country hop (Johnny est au chant), Hum ding a ling (Johnny est au chant), You just kissed me goodbye (Mel Williams est au chant),  In the dark (Marie Adams est au chant), Can't you hear me callin' (Johnny est au chant), Castin' my spell de 1959 (Johnny est au chant avec Marci Lee) et Ma he's makin' eyes at me de 1957(Marie Adams est au chant). Le second 33 tours est son légendaire album Capitol The Johnny Otis Show de 1958 que j'ai dans la réédition française Pathé Marconi de 1982 (PM 231) ce dernier renferme beaucoup de titres présents sur la compilation Charly mais on n'a le plaisir d'écouter ce légendaire album sous sa forme originale soit les titres Shake it, Lucy baby, In the dark, Loop de loop, Lonely river, A story untold, Can't you hear me callin', Theme & Good Golly, Stay with me, It's too young to know, Hum a ding a ling, Livin' in misery, Ma (he's makin' eyes at me) et Tell me so.  

 

 
Découvrez la playlist 1 Johnny Otis avec Johnny Otis Show
 

Hand Jive - The Johnny Otis Show

 

 


 

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 22:15

Joe Jones est un chanteur de rhythm and DSC07763.jpgblues né à la Nouvelle Orléans (Louisiane) le 12 Aout 1926, qui obtiendra un immense succès international avec You talk to much qui atteint la troisième place des charts Pop en 1960 et sera l’un des 5 plus gros succès de Rhythm and Blues de l’année. Le titre est édité à l'origine chez Ric records sur le simple RIC 972. Le titre est une composition de Reggie Hall (le frère de Fats Domino) qui sera refusé par Fats, Jones aime la chanson et l'enregistre une première fois en 1957 pour le label Newyorkais Roulette, mais au final Roulette ne sort pas le titre.En  1960 Jones réenregistre le titre pour le label Ric Records (un petit label de la Nouvelle Orléans)  mais en y ajoutant des arrangements réalisés par Harold Battiste.

Mais devant le succés du titre Roulette force Ric records à lu rendre le titre, le titre ressort alors sur Roulette dans sa seconde version sur le simple (R-4304). 

Le titre sera adapté dans de nombreuses langues, par exemple en France sous le titre Tu parles trop qui est interprété entre autres par Johnny Halliday et Richard Anthony.

Ce titre est un des titres incontournables du rock n’roll (et du rythm and blues) du début des 1960’s comme par exemple Ya ya, Duke of Earl, Mother in Law ou  Hey Baby.
La particularité de ce titre est de posséder une mélodie simple et bien ficelée, un accompagnement parfait bien rhythm and blues (et pas twist ou teen rock) ce qui donne au final un tube en puissance qui n’a eut aucun mal à atteindre le sommet des hit parades, et devenir un classique toujours aussi bon aujourd’hui.

Même si en France les covers en français vendent souvent plus que les versions originales, le ep est une très bonne vente, ce qui nous permet de posséder pour un prix abordable ce disque indispensable, et d’entendre trois autres titres de rock n’roll noir avec le son caractéristique de la Nouvelle Orléans associant rythme et nonchalance.

Il décède le 27 Novembre 2005.
Je possède donc le ep français Roulette (RP 1101) contenant You talk too much et trois autres trés bons black rock New Orleans A tisket a tasket, I love you still et Every night about eight.

R-150-2624834-1293826599.jpg cache_500_1_1_img_6337968_072b6bf31b37bdfcdb72d9588c3861f9j.jpg

 

JonesJoeFsmall.jpg

 

 

Découvrez la playlist Joe Jones avec Joe Jones

 

You talk too much



#1.
    Bb                Eb
You talk too much you worry me to death,
    Bb                      Eb
You talk too much, you even worry my pet,
         Bb   Ab  G7   C7   F7  Bb
You just talk......... talk too much.

#2.
    Bb                     Eb
You talk about people that you don't know,
Bb                        Eb
You talk about people wherever you go,
    Bb       Ab  G7     C7   F7  Bb
You just talk.......... talk too much.

#3.
    Bb                     Eb
You talk about people that you've never seen,
    Bb                         Eb
You talk about people, you can make me scream,
         Bb   Ab G7          C7   F7  Bb
You just talk............... talk too much.


REPEAT VERSES #2 & #3.

(Joe Jones and Reginald Hall)

 

  Instrumental Interlude]

You talk too much
You worry me to death
You talk too much
You even worry my pet

You just talk
Talk too much

You talk about people
That you don't know
You talk about people
Wherever you go

You just talk
Talk too much

You talk about people
That you've never seen
You talk about people
You can make me scream

 

 

 

 

 

 

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 21:49

lloyd Price est non seulement un des grand nom du rock n'roll DSC07182.jpgnoir des 1950's mais également un pionnier du rythm and blues et un chanteur de soul. Le ep 45 tours de Vega (ABC 45 90.858) contient 4 véritables perles du rock n'roll noir de la fin des 1950's soit Personnality (un de ses 2 gros hits de l'année) et Have you ever had the blues du simple ABC 10018 (US) de 1959 et  Lawdy Miss Clawdy (son classique et gros tube  de 1952 qu'il obtient pour Atlantic records qu'il réenregistre avec un tempo plus rapide pour ABC - paramount en 1959)   et   Why.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

lloyd%20price%2001 

 

 

 

 

 

Lloyd Price - Personnality


 


  Lloyd Price - Have you ever had the blues

 

Lloyd Price - Lawdy Miss Clawdy  (abc-paramount version)


 

 

 

 

Personality (Logan - Price) Lyrics and Chords

 F# 
Over and over
C#7

I tried to prove my love to you
Over and over
F#
What more can I do
Over and over
B
My friends say I´m a fool
F# B
But over and over
F# C#7 F#

I´ll be a fool for you

C#7
'Cause you got personality,
Walk, personality
F#
Talk, Personality
Smile, Personality
C#7
Charm, personality
Love, personality
F#
And of Cause you´ve got
A great big heart
B
So over and over
F#

Oh, I´ll be a fool to you
F# B
Now over and over
F# C#7 F#
What more can I do ?

F#
Over and over
C#7

I said that I loved you
Over and over, honey
F#
Now it´s the truth
Over and over
B
They still say I´m a fool
F# B
But Over and over
F# C#7 F#

I´ll be a fool for you

Vidéo

 
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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 22:50

Lloyd Price est à la DSC05482.jpgfois un précurseur et l’une des figures incontournables du rock n’roll noir des 1950’s pour un certains nombres de hits comme en particulier Personality en 1959 (qui lui donne le surnom de « Mr Personality ») et Lawdy Miss clawdy en 1952. Il est le meilleur représentant avec Fats Domino du New Orleans beat, son importance dans l’histoire du rock est reconnu en 1998 par son introduction au Rock n’roll hall of fame.

Price est né le 9 Mars 1933 dans la banlieue de la Nouvelle Orléans, jeune il étudie la trompette et le piano et chante dans les choeurs de  l’église de son quartier, avant de former au lycée son propre groupe.

C’est dans un talent scout  en 1948 que Art Rupe le producteur de Speciality records entend pour la première fois Lloyd Price chanter Lawdy Miss Clawdy, il est déjà persuadé qu’il s’agit d’un hit, et décide de faire enregistrer Price,DSC05483.jpg et comme ce dernier n’a plus de groupe à lui , il est accompagné sur cette session de 1949 par Dave Bartholomew et son groupe (dans lequel se trouve Fats Domino au piano). Le titre devient un très gros hit nationalen 1952, suivi cette même année par un second Oooh, oooh, oooh (N°4), et un troisième Restless heart (N°5), en 1953 il obtient 2 autres hits avec Ain't It A Shame? (N°4) et Tell Me Pretty Baby (N°8). 

Lloyd Price par faire l’armée en Corée en 1954, durant son absence Rupe  enregistre deux nouveaux artistes qui font de gros hits Little Richard et Larry Williams.

Price de retour fonde avec Harold Logan et Bill Boskent un nouveau label KRC records pour lequel il enregistre le titre Just Because, qui est racheté par ABC records qui en fait un hit national en 1957 (N°3), suivi la même année par Lonely Chair (N°88).

En 1959 il obtient un très gros hit avec Stagger Lee, qui se vend à plus d’1 million d’exemplaires et se place aussi bien dans les charts Rhythm and blues DSC05484.jpgque Pop (à la 1 ere place) et se vend également très bien à l’étranger (N°7 des UK charts), et Price passe également avec son titrer au show TV de Dick Clark American Bandstand. Stagger Lee est en fait une reprise rock plutôt violente avec un saxophone hurlant de Stack-o-lee un vieux standard du blues. Le saxophoniste est Merritt Mel Dalton que l’on retrouve sur les autres tubes ABC de Price, comme sur de très nombreux titres de cette période, et que l’on peut voir au côté de Lloyd Price lors de leur passage au show tv The Ed Sullivan Show.

Cette même année il obtient avec Personality un second N°1 (charts R & B) et N°2 des charts Pop) et N°9 (charts UK) et un troisième avec I'm Gonna Get Married N°1 (charts R &B) N°3 (charts Po) et N°23 (charts UK) mais aussi 2 autres tubes avec Where Were You (On Our Wedding Day?) N°4 (charts R&B), N°23 (charts Pop) et N°15 (charts UK) et Three Little Pigs N°15 (charts R & B).

En 1960 il obtient une nouvelle série de hits avec Come Into My Heart N°2 (charts R & B) et N° 20 (charts Pop), Wont'cha Come Home N°6 (charts R &B) et N°43 (charts Pop), Lady Luck N°3 (charts R & B) et N° 14 (charts Pop), Never Let Me Go N°26 (charts R &B) et N°82 (charts Pop), For Love N° 43 (charts Pop), Question N°5 (charts R & B) et N° 19 (charts Pop), Just Call Me (And I'll Understand) N° 79 (charts Pop)lloydpricecollect.jpg et Who Coulda'Told You (They Lied) N° 103 Pop.
En 1961 il obtient 2 hits avec (You Better) Know What You're Doin' N° 90 (charts Pop) et Mary and Man-O N° 110 (charts Pop).

 En 1962, il fonde avec son ami Harold Logan le label Double L Records sur lequel Wilson Pickett débute, et Pricve obtient 2 hits Under Your Spell Again N°123 (charts Pop).

En 1963 Price obtient un nouveaux hits avec Misty N° 11 (charts R & B) et N° 21 (charts Pop), suivi de trois en 1964 avec Billie Bay N° 84 (charts Pop), I Love You (I Just Love You) N° 123 (charts Pop) et de Amen N° 124 (charts Pop), d’un en 1965 avec If I Had My Life To Live Over N° 107 (charts Pop).

 En 1969 Logan est assassiné et Price fonde un nouveau label Turntable et ouvre un club à New York du même nom et Price obtient un hit avec Bad Conditions N° 21 (charts R & B).

Durant les 1970’s il obtient deux hits avec Trying To Slip (Away) N°32 (charts R & B) en 1973 et What Did You Do With my Love N°99 (charts R & B) en 1976.

En 1993 il fait une tournée triomphale en europe au côté de Jerry Lee Lewis, Little Richard et Gary Us Bonds, et en 2005 fait partie des Four Kings of Rhythm and blues au côté de Jerry Butler, Gene Chandler et Ben E King qui font une tournée particulièrement remarquée.

Le 9 Mars 2010 il est introduit au Louisiana Music Hall of Fame. Enfin on peut noter qu’une avenue porte son nom dans la ville de Kenner en Louisiane, qui célèbre une fête annuelle à son nom le Lloyd Price Day.

L’œuvre purement rock n’roll de Price se limite à la période Speciality (encore très Rhytyhm and blues) et Abc jusqu’au début des 1960’s (qui est du pur rock n’roll). Sa période sixties et  seventies est plutôt soul .

De la pèriode Speciality records de Lloyd Price je possède le 33 tours Lloyd Price . Original hits - The Speciality Story (SPY 28102) contenant les titres tous trés bon Lawdy miss Clawdy, Tell me pretty bay, Baby, come home, Jimmie Lee, i'm goin' back, I wish your picture was you, Where you at, Chee -koo baby, Oh, oh, oh, Too late for tears, country boy rock (titre absolument génial et pourtant méconnu), So long, Carry me home et Mailman blues.

De la pèriode Abc Paramount je possède la trés bonne compilation Lloyd Price "Mr. Personality's" 15 Hits Abc -Paramount (Mono - ABC - 324) contenant ses principaux classiques de l'époque soit Personality, Three little pigs, Where were you (on our wedding day)?, Come into my heart, never let me go, Lady luck, Have you ever had the blues?, Is it really love?, I'm gonna get married, You need love, Wont'cha come , Just because, Lawdy miss clawdy, Why et Stagger Lee et l'alum The Exiting Lloyd Price Abc- Paramount (ABCS-277) tout aussi interressant mais ayant des titres en doublont avec le précédent soit les titres Stagger Lee, I wish your picture as you, Talking abut love, What do you do to my heart?, You need you, Mailman blues, Where were you (on our wedding day?), Why, Lawdy miss clawdy, Oh, oh, oh, A foggy Day et Just Because.

Enfin le CD Lloyd Price The collection Brunswick  (XR0019)nous permet d'entendre des enregistrements plus récents qui permettent d'entendre Price des versions différentes de ses classiques rock et rhythm and blues des fifties mais aussi quelques uns de ses classiques Soul music soit les titres Hooked on a feeling, I'm gonna get married, lawdy Miss Clawdy, misty, mr & Mrs. Untrue, Personality, just because, Stagger Lee, Try a little tenderness, Where were you on our wedding day, You're nobody til somebody loves you, I'll be a fol for you, me and you and a dof named Boo et Ready for betty.


  Lloyd Price - Personality

 

Lloyd Price - Stagger Lee 

 


  Lloyd Price - Wont'cha Come Home

Découvrez la playlist lloyd Price avec Lloyd Price


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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 21:27

Clyde Mc Phatter fait partie du peloton DSC05503.jpgde tête des plus belles voix du rock n’ roll noir des années 1950 au côté de Jackie Wilson et Sam Cooke. Clyde Lensley McPhatter est né le 15 Novembre 1932 à Durham en Caroline du Nord. Dés 5 ans il chante au côté de ses 3 frères et 3 sœurs du gospel avec son père dans l’église Baptiste que sa famille fréquente.
A 10 ans il devient dans le chœur soprano soliste. En 1945 lui et sa famille partent, pour Teaneck (New Jersey), mais c’est lorsqu’ils s’installent à New York qu’il monter son premier groupe de gospel The Mount Lebanon Singers.

En 1950 il se fait remarquer lors d’une « Amateur night » organisée à l’Apollo Theater de Harlem et devient membre du groupe de Rhythm and blues vocal Billy Ward and the Dominoes, on peut noter sa présence sur l’immense classique du groupe Sixty minute man enregistré pour Federal Records. Titre qui est sans aucun doute un véritable titre de rock n’roll.
Le succés des Dominoes doit énormément à McPhatter en effet il a su créé un style inédit prenant aussi la pêche de Blues shouter comme Roy Brown que les harmonies vocales des premiers groupes vocaux comme les Ink Spots, et son influence sera énorme pour de nombreux artistes comme Bobby Day, Ben E King, Dee Clark et Smokey Robinson par exemple. Malgré d’autres succès avec les Dominoes comme Have mercy baby, Do something for me et The bells il quitte le groupe en 1953. Après son départ Billy DSC05643.jpgWard lui demande de faire le coach pour son remplaçant comme ténor leadeur au sein des Dominoes, les auditions se déroulent  au Fox Theatre de Detroit et c’est le jeune Jackie Wilson qui est choisi.

Ahmet Ertegun fondateur du label Atlantic signe Mc Phatter, mais ce dernier pose comme condition qu’il forme lui-même son groupe. C’est comme cela que naissent les légendaires Drifters (dont l’histoire vous est comptée dans un autre article) durant cette pèriode on doit à McPhatter est son groupe des tubes comme Money Honey, Such a night, Honey love, White Christmas  et Whatcha gonna do.  Son premier tube est Love has Joined us together (un duo avec la chanteuse Ruth Brown qui sera N° 8 en 1955), suivit d’autres comme en 1956 Seven days (N° 2 des charts), Without Love (There Is Nothing)/I make Believe (N° 4 des charts),   Treasure of love (sera son premier N° 1 en 1956 dans les charts R & B et sera aussi n°16 des charts Pop), Just hold my hand  (N° 6), en 1957 Thirty days, Long lonely nights (N° 1), Rock and cry (N° 93), Come what may (N° 3) et en 1958 il enregistre  les géniaux A Lover’s Question (écrit par Brook Benton et Clyde Otis qui sera n° 6 des charts pop et N° 1 des cahrts R & B en 1958) et Lover Please (N° 4 et N°32) et Deep Sea Ball / Let the Boogie-Woogie Roll (pour Atlantic). Ta Ta (Just Like a Baby)


C’est  cette année là qu’il signe pour MGM durant cette année et en 1959 sortent simultanément des simples enregistrés sur MGM et Atlantic comme en 1958 Lovey Dovey (N° 12 pour Atlantic), I told Miself a Lie (N° 70 pour MGM) et Since You've Been Gone (N° 14 et N° 39 chez Atlantic), en 1959 Twice As Nice (N° 91 pour MGM), You Went Back on Your Word (N° 13 et N° 72 pour Atlantic), Let's Try Again (N°13 et N°48 pour MGM), Just Give Me a Ring (N°93 pour MGM).

En 1960 il signe chez Mercury records et cette fois ci se sont des simple enregistré sur MGM et Mercury qui paraissent simultanément comme Think Me a Kiss (N° 66 pour MGM), Ta Ta (N° 7 et N° 23 pour Mercury), This Is Not Goodbye / One Right After Another (pour Mercury), Tomorrow Is a-Comin et I'll Love You Til the Cows Come Home (respectivement N° 103 et 110 pour Mercury). Il obbtient d’autres petit tube en 1962, mais c’est en réenregistrant Lover please qu’il rentre dans le top ten se classant N° 7. Il reste jusqu’en 1966 chez Mercury obtenant des petits tubes puis passe en 1967 chez Amy. en 1968 chez  Deram et en 1970 chez Decca.

 En 1968, il part pour l’Angleterre ou il est accompagné par ler groupe Ice,  et signe chez Deram, il retourne aux USA en 1970 signe chez Decca et revient sur scène lors de show Rock n’roll revival. Il l’enregistre alors son dernier album avant de décèder le 13 Juin 1972 d’une attaque cardiaque...

En 1987, il est introduit à titre posthume au Rock n’roll Hall of Fame.

Je possède le lp Charly records Rock and cry  (CRB 1073) de 1984 qui compile la plupart des classiques de McPhatter enregistrés pour Atlantic et publiés entre 1955 et 1959. Nous trouvons Seven Days (1955), Treasure of love , Thirty days, Whitout love (There is nothing) et Rock and cry de 1956, You'll be there, Just to hold my hand, Long lonely nights et No love like her love de 1957, Deep sea ball, A lover's question, I can't stand up alone et Lovey dovey de 1958 et Since you've been gone et You went back on your word de 1959.

Puis afin d'avoir des enregistrements Mercury du début des 1960's je me suis acheté le Ta ta! (Mercury SR 60262) contenant les titres How many times, why was i the one you chose, Everything's gonna be all right, Let me shake the hand, Who's worried now, Ta ta, I need a love like yours, What's love to me, For all you've done, not me, All about love et High school social.

   

Clyde McPhatter - SINCE YOU ' VE BEEN GONE

 

 

 

Clyde Mcphatter - Lover Please


 

 

 


Clyde McPhatter - You'll Be There - 1957


Découvrez la playlist Clyde McPhatter avec Clyde McPhatter
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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 20:22

Big Joe Turner de son vrais nom Joseph Vernon TurnerDSC05495.jpg Jr est né le 18 Mai 1911 à Kansas city (Missouri), il est probablement l’un des artistes les plus influents dans la naissance du rock n’roll. Il reçoit le surnom de « The boss of blues ». Il découvre très jeune son amour de la musique à l’église. C’est à l’age de 5 ans qu’il perd son père qui meurt d’un accident de train, pour cette raison il commence à chanter dans la rue pour gagner de l’argent ce qui le contraint à quitter l’école à 15 ans pour se produire dans les différents night clubs de Kansas city, il reçoit alors son premier surnom The Singing Barman. Lorsqu’il joue dans le Kingfish Club et dans The Sunset il est accompagné par le pianiste Pete Johnson. Piney Brown le manager du The Sunset Club sera l’inspiration de Joe Turner pour son titre Piney Brown blues qu’il interprètera tout au long de sa vie.

En 1936, Joe turner et son pianiste Pete Johnson partent pour New York, dans un premier temps il apparait dans le show de Benny Goodman, mais parallèlement il fait des auditions afin de se produire comme vedette (comme à Kansas city). Ce n’est qu’en 1938  que grâce au « talent scout » de John H. Hammond qu’il apparait dans le show From Spirituals to swing au Carnegie Hall. C’est grâce à ce show que le duo Turner Johnson obtient son premier hit avec Roll’ Em Pete (que Turner enregistrera avec des musiciens différents tout au long de sa carrière). En 1939 il est bigjoe1.jpgaccompagné par Albert Ammons et Meade Lux Lewis et se produit régulièrement au Café Society (un club de New York ou se produisent régulièrement Billie Holiday et l’orchestre de Frank Newton.

C’est à cette pèriode que Turner enregistre quelques un de ses plus gros classiques  comme Cherry Red, I want a little girl et Wee baby blues. Il enregistre pour le label Vocalion  puis pour Decca il enregistre avec Johnson au piano Piney Brown Blues. On peut noter que sur ses faces Decca Turner n’est pas toujours accompagne de Johnson sur Careless love il est accompagné de Willie « The Lion » Smith et sur Rocks in my bed par le Freddie Slack’s trio.

En 1941, il part pour Los Angeles ou il se produit dans la revue de Duke Ellington Jump for Joy à Hollywood. Il tient le rôle du policier chantant dans le sketch He’s on the beat. En 1944 il tarvaille pour des bandes sons de film sans apparaître à l’écran, en 1945 Turner et Pete Johnson ouvrent leur propre club à Los Angeles The Blue Moon Club, et signe avec National records avec qui il obtient son premier hit national avec My Gal’s a Jockey. Il signe ensuite avec Alladin records pour qui il enregistre un disque duo avec Wynomie Harris Battle of the Blues. De cette période seul Still in the dark (1950) est un gros tube se vendant à de très nombreux exemplaires.

Il enregistre ensuite pour de nombreux petit label ou il est accompagné par les pianistes Art Tatum et Sammy Price, sur certains enregistrements National records il est accompagné par l’Orchestre de Count Basie. On peut noter que Joe Turner passe du Big Bands Swing au Jump blues, au Rhythm and blues pour finalement faire du rock n’roll.

L‘age d’or de Joe Turner reste le début des 1950’s, quand en 1951 il se produit dbigjoe2.jpgans l’orchestre de Count Basie à l’Apollo Theatre d’Harlem en remplacement de Jimmy Rushing, que Ahmet et Nesuhi Ertegün le signe pour leur nouvelle compagnie de disque Atlantic records. Il obtient alors un grand nombre de gros hits nationaux comme Chains of love (repris en rockabilly par Johnny Burnette and Rock n’roll Trio) se vendra à 1 million d’exemplaire, Sweet sixteen, Boogie woogie country girl (repris par Jerry Le lewis) et Honey hush (repris par Johnny Burnette and Rock n’roll Trio) se vendra à plus d’un million d’exemplaire.

Ses titres comme la plupart de ses titres Atlantic sont sans ambigüités des titres de Rock n’roll.

Son plus gros hit il obtient en 1954 avec Shake rattle and roll (qui sera repris entre autres par Bill Haley et Elvis Presley) qui se vend à plus d’1 million d’exemplaire et qu’il interprète le titre dans le film de 1955 Rhythm and blues Revue.

A 43 ans Turner devient une rock star obtenant d’autres tubes avec Well all right, Flip flop and fly (qui dépasse le million d’exemplaire vendu), Hide and seek, Morning , noon and night et The Chicken and the Hawk. Et apparait au programme télé Showtime at the Apollo et dans le film Shake Rattle and Rock (1956).

Corrine Corrina sera un autre des hits majeurs de Turner que l’on trouve sur son album Boss of the blues de 1956. (I’m gonna) Jump for joy sera le dernier hit national de Turner en 1958.

Dans les 1960’s et 1970’s il revient à ses racines jouant avec des petits combos de Jazz, et apparait dans de nombreux festivals, en 1983 il est introduit au Blues Hall of fame et enregistre l’album Blues train sur Mute records, le 24 Novembre 1985, il meurt d’une attaque cardiaque. En 1987, il est introduit  au Rock n’roll hall of fame.

Comme je l'ai écrit précédemment les faces Atlantic de Joe Turner sont de véritrables perles du rock n'roll noir, pour cette raison je me suis acheté la compilation The Fantastic M. Big Boogie Woogie presenting Joe Turner - Joe Turner Sings 16 Bigs Hits sur le label Marilyn (MAR 100) nous trouvons que des chef d'oeuvres comme Rock a while, Feeling Happy, Midnight special train, Love oh careless love, The Chicken & the Hawk , Big Wheel, Well oh well, boogie woogie country girl, Hide & Seek, Corine & corina, The L.A. Boogie chase, Love roller coaster, Rock the joint boogie, Low down dog - take 2, Roll' em boy et Jump for joy.

Comme le lp ne contient pas la totalité des tubes Rock n'roll de Joe Turner chez Atlantic je me suis procurer Big Joe Turner Greatest Hits de Sequel records (RSACD 809) contenant les titres The chill is on, After my laughter came tears, Bump miss suzie, Chains of love, I'll never stop loving you, Sweet sixteen, Baby i still want you, Honey hush, Crawdad hle, Oke-she-moke-she-pop, Shake rattle and roll, Well all right, Hide and seek, Flip flop and fly, The chicken anad the hawk, Boogie woogie country girl, corrine corrina, Midnight special train, Red sails in the Sunset, Feeling happy et Blues in the night.

Si on devient un inconditionnel comme moi de Joe Turner on peut également acheté  le cd Jumpin with Joe (de Emi records) qui compile ses faces Aladdin et Imperial enregistrées entre 1947 et 1950. On trouve comme faces publiées chez Aladdin  Battle of the blues Part 1 et Part 2 et Blues de Juillet 1947 interpretté avec Wynomie Harris et  Low down dog, Back breacking blues et Empty Pocket blues de Novembre 1947. On trouve comme faces publiées chez Imperial les titres  Story to tell, Jumpin' tonight (Midnight rockin'), Lucille et Love my baby (Little bitty baby) qui sont enregistrées en Avril 1950 et produites par Dave Bartholomew. On trouve aussi Blues Jump the Rabbit et The Sun is shining qui sortent en Avril 1953 sur Bayou records mais qui ont étét enregistré lors de la session d'Avril 1950. Enfin nous trouvons Going Home (avec Wynomie Harris), Roll 'em Pete, Ice man blues, Morning Glory et Nobody in mind qui ont été enregistrées lors des séances pour Aladdin de 1947 et 1948 mais non éditées à l'époque et qui le seront sur le lp Jumpin' tonight en 1985 pour Imperial/Pathe Marconi.

 

Big Joe Tuner - Corrine corrina

 

 

 


 


-- Big Joe Turner - If you remember

 

 

 

Découvrez la playlist 1big joe turner avec Big Joe Turner

 

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