Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
  • : Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
  • Contact

Recherche

Liens

7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 20:09

Lavern baker de son vrais nom Dolores lavern1.jpgLavern Baker est né à Chicago (Illinois), elle est la nièce du bluesman Merline Johnson.

En 1946, elle commence à se produire dans des cubs de Chicago comme le Club DeLisa et se fait connaître sous le nom de scène Little Miss Sharecrooper et fait ses premiers enregoistrements en 1949 sous ce nom, qui change brièvement en Bea Baker pour ses enregistrements sur Okeh Records de 1951. C’est lorsqu’elle rejoint l’orchestre de Todd Rhodes en 1952 qu’elle devient LaVern Baker.

En 1953, elle signe un contrat en tant qu’artiste solo pour Atlantic records, son premier titre pour le label est Soul of fire, elle obtient sont premier hit majeur en 1955 avec le black rock n’roll avec tempo latino Tweedlee dee (N°4 des charts R & B et N° 14 des charts nationaux),

Durant les 1950’s elle obtient de nombreux hits allant des ballades R & B rythmées au rock n’ roll noir, on peut citer Bop-ting -a-ling (N°3), Still (N°4) et surtout le fabuleux rock Jim Dandy en 1956 (N°2 et N°17 des Pop charts) disque qui se vendra à plus d’1 million d’exemplaires et qui lui donnera un disque d’or, Jim Dandy Got Married (N°7), I cried a tear (N°2 en 1959), I Waited too long (titre écrit par Neil Sedaka N°5 et N° 3 des Pop charts), Saved (N° 17 écrit par Leiber and Stroller) et See see rider (N° 9 en 1963).

Elle fera des apparitions TV (Ed Sullivan Show) et dans des films d’Alan Freed comme Rock rock rock et Mr Rock & roll.lavern2.jpg

En 1964 elle enregistre son dernier album Atlantic qui est un hommage à Bessis Smith LaVern Baker sing Bessie Smith et signe chez Brunswick records ou elle enregistre l’album Let me belong to you, dont on peut noter le duo avec Jackie Wilson Think Twice.

A la fin des 1960’s il ira au Vietnam pour chanter pour les soldats, après une absence de 22 ans elle revient sur scène pour un concert en 1988 des 40 ans du label Atlantic.

Elle participe à des Bandes Originales de film comme Shag (1989), Dick Tracy (1990) et A rage in Harlem (1991).

En 1991 Rhino Records publie l’album live  Live in Hollywood, et l’année suivante un album studio  Woke up this morning pour DRG Records. En 1995 elle enregistre son dernier titre Jump into the fire (malgré l’amputation de ses jambes à cause du diabète) sur l’album  For the love of Harry (album tribute à Harry Nilson).

En 1990 elle reçoit le Pioneer Award from the Rhythm and Blues Fondation, en 1991 elle est introduite au Rock n’roll Hall of fame et sa chanson Jim Dandy devient l’une des 500 Songs that shaped rock and roll du Rock n’roll hall of fame.

 

Au niveau de ses albums d'époqueDSC05492.jpg je n'ai pu résister à acheter (en cd malheureusement) la réédition de son absolument ndispensable album Rock n'Roll de chez Atlantic (de 1956)  ici édité chez Sequel records (RSA CD 910) qui contient en plus 6 titres bonus!!!

Ce lp original réuni quelques un des meilleurs Rock noir féminins des 1950's dont sur 14 titres 10 sont des tubes de l'année 1955 et 1956 ce qui n'est pas si courant sur un seul et même album: de 1955 nous trouvons Tweedlee Dee, Bop Ting a ling, That all i need et  Play it fair et de 1956 nous trouvons My Happiness forever, Get up get up, Still, I can't love you enough, Jim Dandy et Tra La La,  les autres titres de cet album sont également trés bon comme Tommorrow night, That lucky old sun, Soul on fire et How can you leave a man like this.

Le cd Sequel dans ses Bonus tracks rajoute un tube de 1957 Jim Dandy got married et deux de 1959 If you love me et Tiny tim associé à 3 petites perles Learning to love, Substitute et surtout Voodoo voodoo. Le style est pzrfait à mi chemin du rhythm and blues et du plus pur rock n'roll allant des médium rock au rock rapide recevant également quelques fois des influences rythmiques de styles musicaux venu d'amérique du Sud. Pour moi c'est un album fabuleux.

.Je me suis ensuite procurer la réédition CD  toujours sur Sequel records (RSA CD 911) de l'album Atlantic Blues Ballads (de 1959) qui lui aussi est rempli d'excellent titre de rhythm and blues , rock noir avec sur de nombreux une net influence des harmonies Doo wop ce qui n'est pas sans me déplaire (mais comme son nom l'indique est plus calme). Au niveau tube nous trouvons dans les titres appartenant à l'album vinyl Humpty Dumpty heart de 1957, It's so fine, I cried a tear de 1958,  I waited too long, So High so love, If you love me (une incroyable cover en anglais du tube d'Edith Piaf) de 1959 ce qui nous fait 5 tubes sur 12 titres ce qui est également un bon rapport, sont associé aux tubes d'autres trés bons titres comme You're teasing me, Love me right, Dix-a-billy, Why baby why, Whipper Snapper et St louis blues (un énorme classique de Louis Armstrong) au niveau des bonus tracks nous trouvons I didn't know i was crying et Hurting inside et deux duos avec Ben E king How Often et A Help each other romance et deux duos avec Jimmy Ricks de 1961 qui seront deux tubes You're the boss et I'll never be free.

Auparavant je m'étais procurer sur lp vinyl The Rockin -Boppin ladies presents Lavern Baker  sur Be Bop records (BB 001) qui en fait compile essentiellement les titres les plus rock de Lavern des fifties (dont la majorité sont présent sur les deux disques précedemment cités) soit les titres St-Louis blues, You better stop, Jim Dandy got married, see see rider, Hurtin' inside, You're the boss, Tiny tim, If you love me, Jim Dandy, Hand holdin' baby, Substitute, Voodoo voodoo, Love me right, Humpty dumpty heart, bumble bee et Fly me to the moon et étonnement le disque ne contient pas Tweedlee Dee??

 

 

Lavern Baker - Jim Dandy
Lavern Baker - Humpty Dumpty Heart
Lavern Baker - Tweedlee Dee
Lavern Baker - Love me right
Lavern Baker - Tra la la
Lavern BAker - Playing the game of love

 

 

Découvrez la playlist lavern baker avec LaVern Baker
Partager cet article
Repost0
25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 13:50

Robert James Byrd est né en 1934 à Forth Worth (Texas), DSC05464.jpget part pour Los Angeles (Californie) à 15 ans, à 16 ans il devient membre  du groupe de rhythm and blues vocal The Hollywood Flames, ou il utilise déja le nom de Bobby Day en concert et sur les disques.  Le groupe enregistre 2 simples en 1951 et 1952 pour Fidelity records, ils obtiennent des tubes régionaux me ne dépassant pas la côte ouest comme le très bon Buzz, Buzz, Buzz (Ebb 119) début 1958 le titre devient un succés national atteignant la 11 eme place des charts R & B. De son côté Bobby signe parallèlement à sa carrière au sein des Hollywood Flames comme artiste solo chez Class records et enregistre le simple Come seven / So long baby (Class 207) ou il est accompagné par The Maxwell Davis Orchestra.  Bobby fera également partie du duo Bob and Earl (avec Earl Nelson un autre membre des Fabulous Flames) qui obtient un tube avec Harlem Shuffle. En 1957 il enregistre son second simple Class avec son immortel titre  Little Bitty Pretty One mais sous le nom de the Satellites (le titre est un tube qui atteind la place 57 des Pop Charts, tandis que la cover qu'en fait Thurston Harris pour Alladin la même année atteind la 6eme place des Pop charts et N° 5 des R & B charts). Il eut une reconnaissance en tant qu’interprète  avec son plus gros tube Rockin’ Robin écrit par le fils de Leon Rene le directeur du label Class records mais également ami de Bobby, le titre atteint la seconde place du Billboard hot 100  et la première place des charts R & B en 1958, il se vend à plus d’un million d’exemplaire et permet à Bobby d’obtenir un disque d’or.  La seconde face Over and over devient également un tube se classant à la place 41 des charts la même année, on peut aussi noter que le titre sera de nouveau un gros tube en 1965 la reprise qu'en fait cette année là the Dave Clark Five. Bobby enregistre par la suite 6 autres simples pour Class records qui se classe également dans les charts comme The bluebird, The Buzzard & the Oriole (place 54), That's all i want (place 98) et Gotta new girl (place 82). Sur les enregistrement Class nous trouvons des musiciens de renom comme Plas Johnson, Earl Palmer, Googie Rene et Either Rene Hall ou Barney Kessel à la guitare.  En 1960 Leon Rene vend Class à Rod Pearse le label devient Rendezvous records, pour ce nouveau label Bobby enregistre 7 simples dont de nouvelles versions de Rockin' robin et Over and over. Entre 1957 et 1962 Bobby avec The Hollywood Flames enregistrent 16 simlples pour les labels Ebb, Atco, Chess, Coronet et Goldie. En 1963 Il sig,ne un contrat avec RCA ou il enregistre 4 simples, puis enregistre pour Jama records I'm just a Postman (sorte de réponse au tube des Marvelettes Please Mr Postman), en 1965 il enregistre When i started dancing pour Class records qui a été brièvement réactivé par Googie Rene. Durant le reste des 1960's Bobby tourne beaucoup dont des tournée en Australie et Nouvelle Zélande. Il décède en 1990 d’un cancer.

 

Au niveau des albums le lp Rockin' Robin Bobby Day d'Ace records (CH 200) est absolument indispensable mais se concentrant que sur les faces Class records de l'artiste soit que du trés bon mais qu'une partie de l'oeuvre importante de l'artiste nous trouvons les titres: The bluebird, the buzzard & the oriole, Over and over, Come seven, Honeysuckle baby, My blue heaven, I don't want to, When the swallows come back to capistrano, Beep beep, Rockin' robin, Ain't gonna cry no more, Little bitty pretty one, life can be beautiful, That's all i want,  Mr & Mrs rock n'roll, Sweet little thing et Three young rebs from georgia.

 

 

Bobby Day - Rockin robin
Bobby Day - The bluebird, the buzzard & the oriole
Découvrez la playlist & Bobby Day avec Bobby Day
Partager cet article
Repost0
25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 10:58

Ruth Alston Weston est originaire de Porsmouth DSC05493.jpg(Virginie) et fait ses étude à la I.C. Norcom High School (l’Historique université noire américaine). Son père dirige l’église noir locale, mais Ruth est plus attirée par chanter dans les night clubs que dans les églises.

Ses références artistiques sont Sarah Vaughan, Billie Holiday et Dinah Washington. En 1945 Brown va s’installer avec son mari le trompettiste Jimmy Brown , et commence à chanter dans les bars et les clubs dont 1 moi durant lequel elle est accompagné par le Lucky Millinder’s orchestra, puis part pour Washington.

Arrivé sur place Blanche Calloway (la sœur de Cab Colloway) permet à Brown de faire un concert dans un night-club de Washington le Crystal Caverns, cela lui permet de rencontrer son future manager, Willis Conover un disc Jockey ayant une renommée nationale. C’est Willis qui recommande Brown aux Patrons des disques Atlantic soit Ahmet Ertegün et Herb Abramson.

C’est en 1948 que Ertegün et Abramson viennent écouter Brown chanter dans un club de Washington, cette dernière à pour répertoire essentiellement des ballades, les deux patrons d’Atlantic records sont convaincu du talent de Brown, mais Ertegün convainc cette dernière de rajouter  du rhythm and blues à son répertoire.

Lors de sa première ruth-b-copie-1.jpgsession d’enregistrement en 1949 elle met en boite So long qui devient un hit national classé au hit parade R & B.En Septembre 1950 elle enregistre dans les studios newyorkais d’atlantic records Teardrops from my eyes (écrit par Ruy Toombs) qui est le premier hit de Brown avec un rythme soutenu qui place alors Ruth comme une figure importante du Rhythm and Blues. Le disque sort en Octobre devient un tube national  restant N° 1 du Billboard R & B durant 11 semaines.

Sa popularité est telle qu’elle reçoit le surnom  de Miss Rhythm  et devient la reine du rhythm and blues.

Il s’en suit une suite de hit majeur dans l’histoire du R & B féminin comme I'll Wait for You (1951),  I Know (1951),  5-10-15 Hours (1953),  (Mama) He Treats Your Daughter Mean (1953),  Oh What a Dream (1954), Mambo Baby (1954) and Don't Deceive Me (1960).

Elle obtient à elle seule 149 semaines de présence entre 1949 et 1955 dans les R & B charts avec 16 titres qui atteignent le top 10 blues dont 5 numéros 1.
On dira d’elle qu’elle est la « fille ayant une larme dans sa voix »

Durant les 1960’s, elle arrête sa carrière musicale pour se concentrer sur sa vie de famille, et revient à la musique en 1975 et fait quelques rôles comme à la TV dans le Sitcom Hello Larry ou au cinéma dans le film de John Waters Hairspray, elle fait un petit peu de radio devenant la DJ « Motormouth Maybelle », et fait des apparitions dans des comédies musicales de Broadway comme Amen Corner et Blues on Broadway.

Avec ses Royalties elle fonde en 1987 la « Rhythm and Blues Fondation » et en 1993 elle est introduite au Rock n’Roll Hall of fame comme « The Queen Mother of the Blues" (la reine mère du blues), en 1995 elle écrit son autobiographie Miss Rhythm. Elle décède en Novembre 2006, et en Octobre 2007 est organisé un concert en sa mémoire à l’ Abyssinian Baptist Church à  Harlem (New York).

Pour donner une idée plus précise des tubes de Ruth Brown voici la liste : 1949 So long (atteint la place 4 des charts), 1950 Teardrops from my eyes (N°1) et I’ll wait for you (N°3), 1951 I know (N°7) et 5-10-15 hours (N°1), 1952 Daddy daddy (N°3) (Mama) he treat your daughter mean (N°1 aux USA et N°23 en UK), 1953Wild wild young men (N°3 titre qui peut déjà être considéré comme un solide rock n’roll noir), Mend your ways (N°7) et Oh what a dream (N°1), 1954 Mambo Baby (N°1), As long as i’m moving (N°4) et Bye bye Young men (N°13), 1955 I can see everybody’s baby (N° 7), It’s love baby (24 hours a day) (N°4), Love has joined us together (N°8) et I want to do more (N°3), 1956 Sweet baby of mine (N°10), 1957 Lucky lips (N° 6  et N° 25 en UK, un autre grand classique du rock n’roll noir) et This little girl’s gone rockin’ (N°7 et N° 24 en UK un des rares exemples de rockabilly féminin noir qui est sans doute l’un des meilleur du genre aux côté de certains Janis Martin ou Wanda Jackson, on peut noter une version 1950’s de titre par Janice Peters en Grande Bretagne et durant les 1970’s par la formation Teddy Boy Little Tina and Flight 56), 1958 Why me (N°17) et I don’t know (N°5 et N°64 en UK), 1959 Jack ‘O Diamonds (N°23 et N°96 en UK) et Don’t decieve me (N° 10 et N° 62 en UK).

 

Au niveau des 33 tours je me suis procuré la splendide Compilation The Rockin-boppin ladies presents Ruth Brown (be-bop records BB 100) qui contient 18 titres de pur black rock n'roll avec les titres Lucky lips, As long as i'm moving, Mama, he treats your daughter mean, A nedd love, This little girl's gone rockin, Bye bye young men, Sweet baby of mine, Sure' nuff, Just too much, 5-10-15 hours, Jim dandy, Love-love-love, Honey boy, Wild wild young men, Why don't you do right et I don't know

 

J'ai également le cd Ruth Brown R.B. Blues (ARG 001) qui compile des titres plus rhythma nd blues de l'artiste et cela s'avère également trés bon mais sur un rythme plus medium. Nous trouvons les titres It's Raining, So long, Love me baby, I'll get along somehow, Happiness is a thing called Joe, Rocking blues, Someday, Why, It's all your mind, I can dream, can't i, Sentimental journey, Where can i go, Dear little boy of mine, Am i making the same mistake again, Teardrops from my eyes, R B Blues, I know, I don't want nobody, I'll wait for you et Standing on the corner.

 

 

Ruth Brown - Teardrops on my eyes
Ruth Brown - Everytime it rains I think of you

Ruth Brown - Mama he your daughter mean
Découvrez la playlist &Ruth Brown avec Ruth Brown
Partager cet article
Repost0
24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 16:57

Etta James de son vrai nom Jamesetta Hawkins est né DSC05647.jpgà Los Angeles (Californie), c’est à l’age de 5 ans  qu’elle commence à chanter au sein de la formation de l’église baptiste de St Paul de Los Angeles sous la direction de James Earle Hines.

En 1950 Jame’s et sa famille part pour San Fransisco, et fait partie d’un trio de doo Wop féminin,  a 15 ans elles sont auditionner par Johnny Otis elles interprette Work with me Annie (le rock n’roll noir de Hank Ballard) mais dans une version adaptée Roll with me Henry. Otis est emballé et fait enregistré au trio le titre pour Modern Records à Los Angeles sous le nouveau titre The Wallflower (Dance with me Henry), le disque sort en 1955 sous le nom the Peaches. Le groupe se retrouve en Février 1955 à la seconde place du hit parade R & B avec The Wallflower, le succés fut tel que le titre sera également repris par la chanteuse blanche Georgia Gibbs pour Mercury Records. The Peaches sont alors des vedettes du R & B et black rock n’roll et font des tournées avec des pointures du genre comme Little Richard.
The Peaches quittent leur compagnie et continuent à enregistrer pour d’autres et font d’autres tubes de Rock n’roll noir féminin comme  Good Rockin’ daddy, Tough Lover et W-O-M-A-N. Elles tournent alors avec Johnny Guitar Watson et Otis Redding (qui dans les 1950’s n’est pas encore l’immense vedette qu’il deviendra durant les 1960’s).

C’est en 1960 que Etta James signe un contrat avec le légendaire label Chess Records, ou elle enregistre sur la filiale Argo records, puis sur Cadet records. Elle obtiendra des tubes en duo avec Harvey Fuqua (le chanteur des Moonglows) comme If i can’tDSC05494 have you et Spoonful et en solo avec le fabuleux All i could do is cry (une ballade R & B d’une qualité équivalente aux titres de Sam Cooke) le titre atteint la seconde place des charts R & B en 1960, My Dearest Darling chanson qu’elle interprète la même année la cinquième place. On peut entendre Etta dans les chœurs du Back in the USA de Chuck Berry.

At Last l’autre petit chef d’œuvre d’Etta James donne le nom à son premier lp qui contient ses titres enregistrés entre 1960 et 1961 dont la cover de Stormy Weather de Lena Horne et I just want to make love to you et A Sunday kind of love.

Léonard Chess le génial producteur de Chess Records voit à raison en Etta une fabuleuse interprète de ballades à succès. C’est pour cette raison qu’il rajoute à l’enregistrement de At Last des Violons, le titre se classe très rapidement à la seconde place des charts R & B en 1961, mais également à la Place 47 des Pop charts.

En 1961, elle obtient encore un gros hit avec Trust in me qui fait partie de son second album studio The second time around dont le style se rapproche de la soul music et qui obtient deux autres hits avec  The fool that i want et Don’t cry baby.

En 1962, elle obtient trois gros hits dont Something’s got a hold on me (N° 4 titre avec influence gospel) Stop the wedding  (N° 6).

En 1963 Etta met en boite son premier album live Etta James Rocks the house enregistré au New Era club de Nashville (Tennessee), et obtient un gros tube avec Pushover et deux autres moins important avec  Pay back et Two sides (to Every story)

Sort ensuite son troisième album studio Etta James top ten, elle obtient des gros tubes avec Loving you more each day et Baby what you want me to do.

 

Malgré une addiction à la drogue qui commence à la moitier des 1960’s Etta-James---R-B-Dynamite---Front.jpgdont elle se libère en 1974 elle obtient des tubes en 1967 avec Tell mama, (N°10 avec le guitariste Paul C. Saenz)
Il sort ensuite un nouvel album studio du même nom avec lequel elle obtient un nouveau tube avec sa cover d’un titre d’Otis Redding Security (N°11), en 1971 elle obtient un tube avec Loser Weepers et en 1972 avec I found a love.

En 1973 elle travaille avec des artistes comme Janis Joplin et Steppenwolf pour un de ses album qui sort en 1974 Out on the street again.

A la fin des 1970’s sort les deux derniers album de James chez Chess (malgré la mort de Leonard Chess en 1978) soit Etta is betta than evah and Deep in the night. Elle tourne également avec The Rolling Stones et participe au Festival de Jazz de Montreux.

En 1989 sort son album Seven year itch (pour Island Records) produit par le pianiste Barry Beckett, et chante avec le rappeur Def Jef sur le titre Droppin’ rhymes on Drums.

En 1992 parait son album The Right time suivi en 1993 d’un album hommage à Billie Holiday (l’une de ses influences musicales) Mystery lady : Songs of Billie Holiday (sur Private music).

En 1993 elle est introduite au Rock n’roll hall of fame et en 1994 elle reçoit le Grammy Awards de la meilleure chanteuse de Jazz. En 1995 elle publie ensuite son autobiographie  A Rage to Survive (co écrite avec David Ritz) et un album soul  Time after time (produit par Jerry Wexler) et en 1998 elle enregistre son premier Christmas album Etta James Christmas.

Enfin on peut noter en 2003 son album Blue Gardenia (qui marque son retour à la musique jazz), et un album live Burnin’ down the house : live at the house of blues, et en 2005 l’album Let’s Roll.

En 2008 le film Cadillac Records raconte une partie de la carrière de James sur le label Chess parallèlement à l’histoire d’autres légende du label comme Muddy Waters, Chuck Berry, Willie dixon, Little Walter ou Howlin’ Wolf mais en gardant centrale les personnages de Leonard Chesss et James joué et chanté avec grand talent par la chanteuse Beyonce.

 

Le lp R & B Queen sur Crown records (GEM 005) compile quelques unes des faces de Etta James enregistrées  entre 1954 et 1958 (c'est à dire en solo  chez Modern et Kent records) soit les titres My one and only, The pick up, I'm a fool, By the light to the silvery moon, Come what may, That's all, Tough lover, Dance with me Henry, Tears pf joy, Baby baby every night, Do something crazy et Market Place.Ces douze titres sont absolument géniaux entre R & B et Rock n'roll féminin pur et dur.

Le cd Ace records R & B dynamite compile lui aussi la même pèriode, en rajoutant des titres allant jusqu'en 1961 (avant qu'elle ne signe chez Chess /Argo records). Les 22 titres sont comme sur le lp précédemment cité de pures merveilles, nous trouvons des doo wop rapides, du rhythm and blues rapide, quelques ballades R & B mais aussi de nombreux rock n'roll noir  dont certains particulièrement sauvage. Nous trouvons de nombreuses compositions d'Etta James, mais également des compositions de Richard Berry ou de Berry Gordy. Les titres présent sont de 1955 W-O-M-A-N, Hey Henry, Good rockin' daddy, That's all  et Roll with me Henry (The Wallflower), de 1956 Number one, I'm a fool, Tears of joy,  Tough lover et Do something crazy,  de 1957 The Pick-up et Market place, de 1958 I hope you're satisfied, Sunshine of love et Baby, baby , every night, de 1960 Strange things happening et How big a fool et de 1961 Nobody's loves you (like me), Hickory hickory dock, You knox what i mean et We're in love (dont 3  compositions de Berry Gordy)  


Je me suis aussi procurer l'édition original du troisième lp d' Etta James (qui parait en 1962) avec les titres envoutants Waiting for Charlie to come home, Guess again, A lover's mourn, You can count on me, If i can't have you (composé par Harvey Fuqua et Etta James), Something's got a hold on me, My dear, Nobody but you(composé par Willie Dixon), Let me know (composé par Berry Gordy)et Spoonful (composé par willie Dixon).

 

Etta James - Tough Lover 
.
Etta James - At last

Etta James "Wallflower" Modern 947

 

 

Etta James & Harvey Fuqua - I can't have you
Etta Jame - Good rockin' daddy

 


Découvrez la playlist Etta James avec Etta James

 


Partager cet article
Repost0
4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 20:00

Screamin' Jay Hawkins est le précurseur du rock exotic et  macabre. Non seulement Screamin lord Sutch lui doit beaucoup, mais également lesCramps et la grande majorité des groupes de la mouvance Psychobilly. Il ne s'agit pas d'une influence musicale à proprement parlé, mais plutôt stylistique. En effet il venait sur scène en cercueil, chantait avec une tête de mort au boût d'un baton, lancait des sorts, s'entourait sur scène de poupées vaudoux  et d'une mains de squelette qui bas le rythme.
Son chant quelques fois exeptionnel n'est pas sans rappeller celui des chanteurs d'Opéra comme Caruso (une de ses idoles), mais dans une version Rock n'roll & rhythm and blues déjantée.
De son vrais nom Jalacy J. Hawkins né à Cleveland dans l'Ohio. Dés son plus jeune age il apprend le piano, et tel un virtuose dés 6 ans il fait déjas des prodiges. A 14 ans il se met au saxophone et maitrise rapidement l'instrument. Il commence avec réussite une carrière de Boxeur, avant d'être intégrer au conservatoire de musique en 1943 pour apprendre l'opéra, mais à cause de la guerre il est appellé sous les drapeaux.

La guerre terminé il continu sa carrière de boxeur, puis en 1950 il se tourne exclusivement vers sa carrière musicale de pianiste de rhythm and blues.

Afin de donner un coup de pouce à sa carrière il change son nom pour Screamin' Jay, idée qui lui vient lorsque son public pris l'habitude de lui crier  Scream, baby scream lorsqu'il était sur scène.
En 1952 il est réformé du service militaire, et devient chauffeur du jazzman Tiny Grime, et devient chenteur et pianiste du groupe de Tiny The  Rockin' Highlanders.
Il enregistre alors sur Atlantic (le label ou se trouve Tiny) une des ses composition Why did you waste my time,(associé à d'autres titres qu'il interprette au sein du groupe de Tiny) dans un style peu commun une sorte de Screamin' blues.
Ensuite il fait partie de l'Orchestre de fats Domino mais aussi bien le style musical mais aussi vestimentatire n'est pas en accord avec Fats et Hawkins se tourne vers une carrière solo.

Il débute en solo lors d'un concert au Small's Paradise de New York puis dans d'autres clubs. En 1955, il signe chez Okeh records et obtint son premier hit I put a spell on you. Il sagit d'une ballade d'amour classique de l'époque mais ici le traitement trash et déjanté au niveau vocal et musical fait toute la différence et en 1956 le titre se classe au hit parade.

C'est Alan Freed le légendaire Disc Jockey qui a l'idée d'associer le titre I put a spell on you avec une mise en scène savante prenant des poncifs des films d'horreur lors de l'entrée sur scène dans un cercueil de Screamin Jay. Ce dernier devient un personnage surréaliste à la fois sorcier et vampire, qui apparait toujours avec un Crane fumeur de cigarettes du Nom de Henri.
C'est cette spectaculaire  inédite et macabre mise en scène qui permettra à Screamin Jay Hawkins d'obtenir une certaines popularité durant la seconde moitier des fifties et le début des sixties. Ses enregistrements seront dans le style de I put a spell on you, c'est à dire unique en leur genre on peut particulièrement noter l'excellent Frenzy. En effet il est un styliste du Rock n'roll noir un peu comme Bo Diddley, mais sera  moins copier que ce dernier. I put a spell on you dépassera le million d'exemplaire vendu!!! .
Durant les 1960's il part pour Hawaii et obtient deux tubes nationaux avec I hear voice et Feast of the mau mau.
Il continu durant les seventies il signe chez Rhino records et fait des tournées aux USA et en Europe, il fera même la première partie des Rolling stones en 1980.
En 1978 il joue son propre rôle dans un film sur Alan Freed American hot Wax, en 1984 il joue dans Stranger of paradise et en 1990 dans Mystery train deux films de Jim Jarmush. En 1991 il interprette son I put a spell on you dans Rage in harlem.
Durant les années 90 il tourne beaucoup en Europe, s'installe en France, signe et enregistre pour demon records  et disparait en 2000.
Le disque incontournable de Screamin  et le lp de 1982 d'Edsel records (filiale de Demon records) ED 104 qui compile les faces légendaires du maitre. On trouve ses légendaires singles:  I put a spell on you / Little Demon de 1956 (OKeh 7072),  You made me love you de 1957 (OKeh 7084), Frenzy / Person to Person de 1957 (OKeh 7087) et Alligator Wine / There's Something Wrong With You de 1958 (OKeh 7101), mais aussi des titres de son premier album de 1958 At home with Screamin' Jay Hawkins sur Okey Epic soit  Orange Coloured sky, Hong Kong,  I love Paris, Temptation, Yellow Coat, If your are but a dream et Deep purple.

 

Screamin' Jay hawkins - Little demon


 

 

Screamin' Jay Hawkins - Little demon

 

Découvrez la playlist screamin jay hawkins avec Screamin' Jay Hawkins
Partager cet article
Repost0
3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 09:35

Jackie wilson est sans aucun doute au même titre que James Brown, Ray Charles et Sam Cooke l'un des artistes capitaux dans le passage de la musique noir du rythm and blues à la Soul musique et passant par le Rock n'roll.
Jackie Wilson was one of the most important agents of black pop's transition from R&B into soul. In terms of vocal. Il obtient durant trois décennie une trés grande popularité non seulement grace à sa puissance vocale, mais aussi par son jeux de scène fantastique et sa créativité artistique en tant que compositeur et arrangeur.
Il se fait un nom en devenant dans un premier temps leadeur du groupe de rhythm and blues vocal Billy Ward and the Dominoes remplaçant Clyde Mc Phatter devenu une star au sein des Dominoes et qui part pour fonder les Drifters.
Durant sa période au sein des Dominoes, le groupe obtient un gros tube en 1956 avec St Therese of the roses (qui atteint le top 20). Durant cette pèriode, Elvis Presley dira qu'il fut impressionné par l'interprétation que Fit en concert Jackie de Don't Be cruel .
Son premier gros tube en solo il l'obtient en 1956 avec un morceau écrit par Berry Gordy (futur fondateur du label Motown) avec le génial Reet Petite (qui devient de nouveau un tube mondial dans les années 80). Berry et Wilson réaliserons quelques autres gros succés  de Rock n'roll noir tout aussi fantastique comme To be loved, Lonely teardrops, That's why (i love you so), et I'll be satisfied. Chacun de ces titres atteindront le ghaut des hit parades et tout particulièrement Lonely Teardrops qui sera la plus grosse vente de la pèriode fifties de Jackie.
C'est sur le label Brunswick (filiale de Decca ) que Jackie enregistre tout ces classiques, mais il reste fidèle à Brunswick lorsque dés le début des sixties il glisse doucement vers un style dont il est l'un des incontestables créateur avec l'aide évidemment de Berry Gordy la soul music. Durant les sixties il obtient de nombreux hits comme sa reprise de Danny boy, Night en 1960 et le trés rock Baby Workout . En 1963, il obtient 5 hits dans les hit parades, on peut noter son live de 1962 At the copa qui est déjas trés soul.
Dés 1961 il devient une véritable idole pour le public féminin, ce qui est sans doute une des raison de sa trés grande popularité durant cette décennie.  En 1966, il fait équipe avec Carl Davis un des gros producteur de soul musique de Chicago (qui sera à la base des succés de Gene Chandler, Major Lance et Jerry Butler), avec lui Jackie obtient de nouveaux hits comme Whispers et Higher and higher qui atteint en 1967 la sixième place des charts. Durant les seventies Jackie Wilson obtiendra d'autres hit avant de disparaître en 1984.
Comme vous vous doutez je me suis plus interresser à sa pèriode rock n'roll des 1950's et début 1960's qu'à sa pèriode soul. Il m'a fallus beaucoup de ténacité avant d'obtenir  son second album légendaire qu'il fit sur Brunswick Lonely teardrops BL 54045. Il est accompagné par l'orchestre de Dick Jacobs, il n'y a que du trés bon Lonely teardrops, Each time, That's why (i love you so), In the blue of evening, The joke (is not on me), Someone to need me), You better know it, By the light to the silvery moon, Sining a song, Love is hall, We have love et Hush-a-bye.
J'ai également acheter la compilation Reet Petite du label anglais Ace records CH 125, qui compile des faces des fifties et sixties reprenant une pochette d'un album de Jackie du début des années 60. On trouve Shake, shake, shake, Why can't you be mine, I'm wanderin', Lonely teardrops, Yeh! yeah! yeah!, It's so fine, Come back to me, Shake a hand (avec Linda Hopkins), Reet Petite, If i can't have you, (You were made for) All my love, So much, I know i'll aways be in love with you, Danny boy et Do lord (avec Linda Hopkins).
Enfin pour un budget plus light on peut se procurer la trés bonne compilation The very best of de 1985 (distribuée par Carrere en France CA 682) qui coincide avec son retour dans les charts durant les 1980's. Ce disque réuni 14 titres de la carrière de Jackie, mélangeant abulement rock n'roll et soul nous trouvons un grand nombre de ses tubes: Reet Petite (The finest girl you ever want to meet), Lonely teardrops, To be loved, That's why (I love you so), I'll be satisfied, Doggin' around, baby workout, Your love keeps lifting me, I get sweetest feelin', no pity (In the naked city), Whispers (gettin' louder), Am i the man, You better know it et You got me walking


Jackie Wilson That's why (i love you so)
envoyé par Gladewater55. - Regardez la dernière sélection musicale.









 

Découvrez la playlist Jackie Wilson avec Jackie Wilson
Partager cet article
Repost0
2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 23:01

Les Teen queens est un duo féminin de rock n'roll noir surtout célèbre par son méga tube de 1956 la fabuleuse ballade Eddie My love qui se classe à la 14 eme place du hit parabe Rhythm and blues, on peut noter les reprises blanche du titre par les Chordettes et les Fontanes Sisters qui se classe également dans les premières places des charts blancs. Les Teen Queens sont formée de Betty et Rosie Collins qui sont les soeurs de Aaron Collins membre des formations doo wop The Jacks & the Cadets. C'est chez Modern Records que les Teen queens enregistrent leur tube ainsi que d'autres petites perles du rock noir féminin comme entre autres: Baby mine, Billy Boy, Red Top, Rock everybody et I miss you.  En 1958 elles signent avec RCA et enregistrent Dear Tommy sans succés et avec Antler records deux simples: There is nothing on your mind et I heard volins, mais le succés n'est toujours pas au rendez vous et le duo se séparre en 1961.
Les faces Modern méritent aisèment une écoute attentive de part leur créativité et  qualité musicales et vocale.
Le lp d'époque qu'elles enregistrent pour Modern est relativement rare et donc cher, il reste comme solution d'acheter la première réédition des faces modern sur le lp Crown du début des 1960's, ou le lp compilant ces faces réalisé par le label anglais Ace records(évidemment il existe des rééditions cd de ces faces). J'ai choisi de mon côté le 33 tours Crown CST 373, qui contient 10 petits chef d'oeuvre soit Eddie my love, So all alone, Rock everybody, Baby mine, Let's kiss, Billy boy, Just goofed, Teen age idol, Zig zag et Riding.

Découvrez la playlist the teen queens avec The Teen Queens



Partager cet article
Repost0
24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 21:15

Shirley Goodman est né à la Nouvelle Orléans, dés sa plus tendre enfance elle est fasciné par la chanteuse dinah Washington, qu'elle imite lors de passage dans un théâtre local.  C'est en 1947 qu'elle rensontre Leonard Lee qui n'est autre que le fils du preacheur baptiste du quartier.
Leonard enregistre une demo d'une ballade bluesy de sa composition  I'm gone Cosimo Matassa la fait écouter à Eddie Messner d' Alladin records, C'est en 1952 que Leonard réenregistre pour Alladin I'm gone mais cette fois ci en duo avec Shirley le titre rentre au hit parade R & B. C'est à la fois un tube et la naissance du duo Shirley and Lee. En 1953 ils mettent en boite le trés bon Why i did, Jusqu'en 1959, le duo enregistrent quelques perles du rock n'roll noir au niveau mélodique et rhythmique. On peut noter que les titres That's what i'll do, Lee's dream, Shirley come back to me, Shirley's back et Lee's Goofed par exemple raconte les déboires sentimentaux du duo Shirley and Lee. Mais en réalité il n'y a eut aucune histoire sentimentale entre les deux chanteurs.
Les plus gros hits (voir petits chef d'oeuvre) du duo sont en 1955 Feel so good (N° 5 au hit parade R & B, qui sera repris sous Feel so fine par le rocker Johnny Preston et plus tard durant les années 1970 par les Slades), et en 1956 Let the good time roll (N° 2 au hit parade R & B) c'est pour moi l'un des rock noir les plus splendides de la seconde moitier des fifties. Le titre sera le générique du film de Rock revival du même nom. C'est la première fois que le duo rentre au hit parade pop soit de la jeunesse blanche atteigne le top 30!!!).  Les tubes suivant du duo seront dans la même veine trés rock n'roll est moins rhythm and blues on peut noter Rock all nite, Everybody's rockin' et surtout I feel good qui sera le troisième tube du duo soit N° 5 du hit parade rhythm and blues et au top 40 du hit parade pop en 1956.La qualité musicale de ces enregistrements n'est pas un hasard nous retrouvons quelques pointures de l'époque Lee Allen (saxophone tenor), Alvin "Red" Tyler (Sax bariton), Dave Bartolomew (Trumpet), Edward Frank (Piano), Justin Adams et Ernest Mc Lean (Guitares) Frank 'Dude' Field (Batterie) et Earl Palmer à la batterie. En 1959 le duo quitte Alladin pour Warwick et Imperial  avant de se séparrer en 1963.
Lee aprés un essai sans succés dans une carrière solo fini sa vie comme employer du gouvernement pour l'agence contre la pauvreté.
Shirley, va enregistrer avec des artistes comme Jessie Hill, Brenton Wood, Maurice Rodgers mais également pour Sonny and Cher, Jackie De Shannon, Tammy Lynn, Dr John  et même les Rolling stones. En Février 1975 elle revient en haut des hit parade avec sa reprise disco du Shame shame shame de Smiley Lewis.
Il existe à ma connaissance un lp sortie par crown records au début des sixties mais rare et trés cher, donc la compilation The best of Shirley & Lee de Ace records Ace-CH 47 est une excellente alternative car contenant 1é des meilleurs titres alladins du duo soit Let the good time roll, Rock all night, Feel so good (Feel so fine), I'm gone, Lee's dream, That's what i'll do, Don't you know i love you, Everybody's rockin'!, Why did i,?, I feel good, Baby et I'll thrill you.

Découvrez la playlist Shirley and Lee avec Shirley & Lee
Partager cet article
Repost0
17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 21:35

Ce groupe est surtout célèbre pour sa pèriode soul et funk, donc souvent méconnu de l'amateur de rock n'roll.
Rocky Roberts de son vrais nom (Charlie Roberts) est originaire de Miami, il commence une carrière de Boxeur avant de se lancer dans la musique en 1958. C'est lors de son service militaire dans la Navy qu'il fonde son groupe les Airdales. Ils enregistrent dans un premier temps trois ep sous le nom de doug Fowlkes (le batteur du groupe) en 1960.
Ils participent en 1961 à la coupe du monde de rock organisé à Juan les pins, ils y sont remarqué par Barclay.
Ce dernier les signe et en Octobre 1961 sort le premier ep Barclay avec The twist, Let's twist again, Tossin' and turnin et twistin time (seul composition'  de Doug) C'est Rocky Roberts qui est le chanteur du groupe et pourtant les disques sortes toujours sous le nom de Doug Fowlkers. En 1962 sortent 3 autres eps sur Barclay. En 1962 ils signent avec Atco (filiale d'Atlantic records) sort un lp The airedales walk. A partir de 1963 leurs enregistrements sortent sous le nom de Rocky Roberts and the Airedales, Doug étant passé de batteur à manageur.
Durant l'été 1963, ils obtiennent leur méga tube avec T Bird qui sera publié en Espagne, aux USA et en France. Barclay publie le titre dans le 25 cm Rocks and slows enregistré en live. Les Airdales sont à l'époque: Rocky Roberts (vocal)
Eddie Taylor (sax ténor), Hank Hooks (sax tenor), Wess Johnson (basse), Jesse King (orgue) et Bill White (batterie)
Doucement leur style glisse vers la soul mais toujours avec succés.
La pèriode qui m'importe est évidemment la pèriode rock n'roll, de cette dernière les deux 25 cm Barclay Rocks Barclay BA-215 92.105 de 1961 est bien nommé il contient 8 rock n' doo wop terrible avec You can't sit down (Dovells), Hit the road jack (Ray Charles), New Orleans (Gary Us bonds), Mashed Potatoes (plein de chanteurs), Peter gunn (Duane eddy), Murder by contract (BO du film meurtre sos contrat), Bony Morony (Larry Williams) et Peanut butter (the Marathons).
Mais ausi l'autre 25 cm Rocks and slows BA - 215 92.107de 1964 avec T Bird, Looking for a love, I got money, My tears, I'll take care of you, Non ho l'eta (yes yes my love), Somebody mentioned your name.









 


Roberts & The Airdales - T Bird 1966


Roberts..can't ask no more.. 1966


Rocky Roberts ...T-Bird 1967
Partager cet article
Repost0
16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 21:08

Huey Smith est né à la Nouvelle Orleans, il subit depuis son plus jeune age les nombreuses influences culturelles et musicales qui caractérisent la région soit des rythmes et des influences musicales latins, anglais, français, Africain, Cajun et Créole.
Il commence sa carrière en jouant du piano dans les clubs de la région et tourne avec des vedettes locales comme Lloyd Price et Earl King. Dans ses premières années il devient un musicien de studio reconnu qui joue entre autres sur des sessions d'enregistrement de chanteur comme Smiley lewis, Little Richard et Sugar Boy Crawford.
En 1953 il enregistre You made me cry sous son nom pour le labekl Savoy qui lui a signé  un contrat.
Johnny Vincent qui a travaillé avec Spéciality décide de fonder son propre label Ace records. Il est suivi de Huey Smith et Earl King.  Les premiers disques du label sont des singles de Eddie Bo et Earl King derrière lesquel nous trouvons en session man Huey Smith. Ce dernier forme un vocal group les Clowns, qui remporte un premier tube avec le grandiose rock n'roll Rockin pneumonia and boogie woogie flu qui atteind le top ten du hit parade national en 1957.
Le style de Huey et ses clowns est dabns la même veine que les Coasters. Les sessions du groupe vont regrouper autour du piano de Huey et du vocal des Clowns (formation qui changera de membre comme Gerry Hall, Billy Roosevelt et  Eugene Francis)  des musicien comme Alvin Tyler, Lee Allen, Robert Parker (au sax), Mac Rebennack, Roy Montrell (à la  guitare) James Booker à l'orgue, et Charles Williams à la batterie.
C'est cette formation que l'on retrouvera derrière l'enregistrement de chef d'oeuvres du label comme Sea Cruise de Frankie Ford, Gee Baby de Joe & Ann, et certaines faces de Jimmy Clanton.
Huey obtient ses gros hits suivant en 1958 avec Don't you just know it et sa seconde face High blood Pressure (9 eme place au bilboard)
En 1960 il quitte Ace records pour Imperial et continu à obtenir de petits hits.
Evidemment les enregistrements à posséder de Huey sont ceux réaliser pour Ace records, le lpChiswick CH9 Rockin' pneumonia and the boogie woogie flu contient ses meilleurs titres Rockin pneumonia and the boogie woogie flu pt1 et Rockin pneumonia and the boogie woogie flu pt2, Little chicken wah wah, Little liza jane, Just a lonely clown, Hush your mouth, SDon't you know yockomo, High blood pressure, Don't you just know it, Well i'll be john brown, Tu-ber-cu-las and sinus blues, Dearest darling, She got low down et Second line.

Découvrez la playlist Huey Piano Smith avec Huey "Piano" Smith
Partager cet article
Repost0