

















sommes faramineuses pour avoir un kit de l'age d'or.









Dave Bartholomew est sans aucun doute l'une des figures marquantes de la scène musicale du delta. Un homme aux multiples talents à la fois auteur, producteur et leadeur d'un groupe de rhythm and blues.
Son nom est souvent associé avec celui de Fats Domino, non seulement ils ont joué ensemble, mais sutout il sera le coauteur de trés nombreux classiques de Fats. On peut dire sans aucune exagération de Dave Bartholomew est une personification du son de la Nouvelle Orleans des Fifties, il se proclamme lui même l'inventeur du "Big Beat".
Dave est né à Edgard en Louisiane, à 14 ans il joue dans un des groupes les plus populaire du Sud au côté de Papa Celestin, Joe Robicheaux et Professor Claiborne Williams. En 1939 il rejoint le groupe de Fats Pichon qui joue souvent sur un bateau qui fait des croisières sur le Mississipi le SS Capitol.
Ensuite il voyage le long du fleuve jouant dans différentes formations dans le Minnessota et la Nouvelles Orleans.
Avant de partir à l'armée durant la seconde guerre mondiale il joue dans l'orchestre de Jimmy Lunceford.
La guerre terminé il reprend sa carrière musicale avec son propre groupe passant avec succés à Houston au texas. Il rencontre Lew Chudd des disques Imperial, ce dernier convaincut par le talent de Dave le signe immédiatement.
Rapidement Dave et Fats l'autre vedette du label travaillent ensemble et coécrive le premier big hit de Fats The Fat man
(1 million d'exemplaire!!!)
Bartholomew sera le producteur, coauteur et arrangeur de Fats, cela pour le bonheur des deux et du label imperial. En effet Dave et Fats réaliseront une multitude de classiques de la musique populaire et des tubes nationaux et internationaux rentrant dans le guiness des records vendant des centaines de millions de copie des morceaux qu'ils ont pu réaliser ensemble. On peut noter "Ain't it a Shame," "I'm in Love Again," "Blue Monday," "I'm Walkin'," et "Valley of Tears,"
Dave sera également génial lors de sa collaboration avec d'autres artistes comme Lloyd Price sur Lawdy miss clawdy, Shirley and Lee let the good time roll et Smiley Lewis I hear your knockin' et One night entre autres. Que des tubes qui seront également reprise tout au long de l'histoire.
Dave Bartholomew réalisera des enregistrement sous son nom d'une trés bonne qualité évidemment rappelant le style de Fats Domino ou Smiley Lewis. le disque exeptionnel de Dave chez Imperial est le lp Jump Children qui contient des titres de 1949 à 1960 comme Country Gal(1949), Carnival day(1949), Ain't gonna do it (1949), Country boy goes home(1949), Oh cubanas(1949), Who drink my beer while i was in the rear(1952), Jump children(1954), The shufflin'fox(1957), How could you(1957), Can't take it no more(1957), Good news(1957), Yeah yeah (1960)et People are talkin'(1960)
Shirley Goodman est né à la Nouvelle Orléans, dés sa plus tendre enfance elle est fasciné par la chanteuse dinah Washington, qu'elle imite lors de passage dans un théâtre local. C'est en 1947 qu'elle rensontre Leonard Lee qui n'est autre que le fils du preacheur baptiste du quartier.
Leonard enregistre une demo d'une ballade bluesy de sa composition I'm gone Cosimo Matassa la fait écouter à Eddie Messner d' Alladin records, C'est en 1952 que Leonard réenregistre pour Alladin I'm gone mais cette fois ci en duo avec Shirley le titre rentre au hit parade R & B. C'est à la fois un tube et la naissance du duo Shirley and Lee. En 1953 ils mettent en boite le trés bon Why i did, Jusqu'en 1959, le duo enregistrent quelques perles du rock n'roll noir au niveau mélodique et rhythmique. On peut noter que les titres That's what i'll do, Lee's dream, Shirley come back to me, Shirley's back et Lee's Goofed par exemple raconte les déboires sentimentaux du duo Shirley and Lee. Mais en réalité il n'y a eut aucune histoire sentimentale entre les deux chanteurs.
Les plus gros hits (voir petits chef d'oeuvre) du duo sont en 1955 Feel so good (N° 5 au hit parade R & B, qui sera repris sous Feel so fine par le rocker Johnny Preston et plus tard durant les années 1970 par les Slades), et en 1956 Let the good time roll (N° 2 au hit parade R & B) c'est pour moi l'un des rock noir les plus splendides de la seconde moitier des fifties. Le titre sera le générique du film de Rock revival du même nom. C'est la première fois que le duo rentre au hit parade pop soit de la jeunesse blanche atteigne le top 30!!!). Les tubes suivant du duo seront dans la même veine trés rock n'roll est moins rhythm and blues on peut noter Rock all nite, Everybody's rockin' et surtout I feel good qui sera le troisième tube du duo soit N° 5 du hit parade rhythm and blues et au top 40 du hit parade pop en 1956.La qualité musicale de ces enregistrements n'est pas un hasard nous retrouvons quelques pointures de l'époque Lee Allen (saxophone tenor), Alvin "Red" Tyler (Sax bariton), Dave Bartolomew (Trumpet), Edward Frank (Piano), Justin Adams et Ernest Mc Lean (Guitares) Frank 'Dude' Field (Batterie) et Earl Palmer à la batterie. En 1959 le duo quitte Alladin pour Warwick et Imperial avant de se séparrer en 1963.
Lee aprés un essai sans succés dans une carrière solo fini sa vie comme employer du gouvernement pour l'agence contre la pauvreté.
Shirley, va enregistrer avec des artistes comme Jessie Hill, Brenton Wood, Maurice Rodgers mais également pour Sonny and Cher, Jackie De Shannon, Tammy Lynn, Dr John et même les Rolling stones. En Février 1975 elle revient en haut des hit parade avec sa reprise disco du Shame shame shame de Smiley Lewis.
Il existe à ma connaissance un lp sortie par crown records au début des sixties mais rare et trés cher, donc la compilation The best of Shirley & Lee de Ace records Ace-CH 47 est une excellente alternative car contenant 1é des meilleurs titres alladins du duo soit Let the good time roll, Rock all night, Feel so good (Feel so fine), I'm gone, Lee's dream, That's what i'll do, Don't you know i love you, Everybody's rockin'!, Why did i,?, I feel good, Baby et I'll thrill you.
Cadillac 1952 . Cette année là Cadillac propose les voitures américaines les plus puissantes Le V du capot passe du chrome au doré pour le 50 eme anniverssaire de la marque. Les échappements sortent par les extrémités du pare chocs arrière.
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La grille de calandre est modifiée rendant les buttoirs en obus plus important et les feux de position passent au dessous des phares, ajout également de baguettes chromées autour de la plaque d'immatriculation arrière.
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Cadillac 1956
Les grosses modifications se trouvent dans des enjoliveurs plus complexes, et des feux de positions qui descendent dans le pare choc avant.
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Cadillac 1957
Le design général est cette année là complétement revue, le chassis est maintenant en "X" (résistant mieux à la torsion). Les bananes obus des pare chocs recoivent des protections en caoutchouc et les feux de positions se doublent et passent sous le pare chocs. et les ailerons arrières s'affinent tout en grandissant, ils recoivent aussi chacun deux feux arrières en formes de fusée. Plus généralement le pare chocs arrière et le coffre deviennent plus plat faisant d'autant plus ressortir les ailerons.
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Cadillac 1958
Le style est proche des 57, mais en réalité la face avant est entièrement redessinée donnant une ligne plus tendue et ramassée. Les phares passent à 4 et les obus se séparent tout en redescendant au centre de la calandre. De profils, des chromes sont ajoutés sur les flancs au dessus des retours du pare chocs avant et les baguettes sont redessinées. A l'arrière les ailerons sont revues afin de paraître plus grands et plus obliques.
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Cadillac 1959
Cette année là Virgil Exner alors directeur du style Cadillac, est allé complètement dans la folie stylistique tout en annonçant le New linear look et ses lignes tendues (qui caracterisera le design des voitures américaines des sixties). Des ailerons démesurés ornée de deux feux arrières en formes de fusées.Des lignes de capôts et de coffre plus saillantes et des grilles de calandre avant et arrière faites d'une multitude de petit "réacteurs" chromés. Des feux supplémentaires se placent à l'arrière au centre d'un réacteur de fusée chromée. A l'avant la calandre aggressive est divisée en deux et les feux de positions comme les clignotants se placent eux aussi au centre d'une paire de réacteurs chromés de part et d'autre de la face avant. ce modèle comme la Chevrolet du même millesime sont de véritable dream car fabriquée en série.
La Chevrolet 1957 au m^me titre que la Tbird 1956 est à elle seule le symbole de l'automobile américaine des années 1950.
Le design des Chevrolet sera entièrement revu cette année là. Une calandre dans laquelle se place entièrement le Pare-chocs, des buttoirs en obus (proche de ce des Cadillacs mais en plus petit).
Le capot reçoit de son côtés plus une seule mascotte mais deux de part et d'autre. Et les phares sont entourés d'un chrome qui les fait ressortir.
Le profil est lui aussi revue faisant ressortir des formes saillantes, particulièrement des ailerons, et des baguettes sur les modèles Bel Air plus extravaguante dont une partie est peinte en blanc afin de faire ressortir les chromes.
L'arrière est aussi entièrement revue avec ses gros ailerons ce coffre plus carré, et cette ensemble (particulièrement réussie stylistiquement) placé à la chute du chrome des ailes arrières réunisant le feu arrière, le cliqnotant et une tuyère de réacteur factice.
Sans doute à cause de la réusite stylistique du modèle les ventes dépasse le million et demi. Au niveau mécanique l'acheteur à le choix entre un Six cylindre et deux V8 le "TurboFire" de 185cv et le "Super TurboFire" de 220cv
Nous remontons la production des models kits customs d'Amt, voyons ce que la marque avait réalisé comme versions customs des nouveaux modèles de Détroit 1960.
La Chevrolet Impala 1960
La Chrysler Imperial 1960
Edsel 1960
Ford Starliner 1960
Lincoln Continental 1960
Ford Comet 1960
Chevrolet Corvette 1960
Chevrolet Corvair 1960
Ford Ranchero 1960
Plymouth Valiant 1960