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Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
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Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
Joe Brown originaire du Lincolnshire, est le guitariste britannique de studio et de live le plus célèbre de la fin des 1950’s et début 1960’s. En 1956 Brown part s’installer avec sa famille à Londres, il forme alors son premier groupe The Spacemen (un groupe de skiffle). En 1958, le producteur Jack Good fait de Joe Brown le guitariste leadeur de sa nouvelle émission tv Boy meets Girls (devenu légendaire depuis dont on peut noter le passage d’Eddie Cochran). Il est le guitariste des tournées de Gene Vincent et d’Eddie Cochran en Grande Bretagne.
En 1959 il signe un contrat avec Decca records, et sort son premier simple People Gotta Talk début 1960, il signe avec l’impresario Larry Parnes et enregistre son second simple Jellied Eels et c’est avec son troisième simple Decca qu’il obtient cette même année son premier tube avec The Darktown Strutters Ball. En 1961 il signe chez Piccadilly records il enregistre cette année là 3 simple sur Piccadilly : I'm Henry The Eighth suivi de Crazy Mixed Up Kid et c’est aussi avec son troisième simple Shine / The Switch qu’il obtient son second tube nationale. Durant ses sessions son groupe est The Bruvvers ces derniers donnent aux enregistrements de Joe un style très personnel, nous trouvons dans ce groupe deux membres des Spacemen les frères Tony and Pete Oakman.
En 1962 Joe Brown and the Bruvvers font leur première tournée nationale, publie 4 simples qui se classeront tout les 4 aux hits parade britannique What a crazy world livin’ in suivi de A Picture of you (gros tube qui atteint la seconde place des charts), suivi de Your tender look et de It onlytook a minute (également un gros tube qui atteint la 6 eme place du hit parade), il est élu par le magazine NME le chanteur de l’année. En 1963 il obtient trois nouveaux tubes avecThat's What Love Will Do, Nature's Time For Loveet Sally Ann.
Durant le reste des années 60 il continu à enregistrer de très nombreux titres et participe à un spectacle au côté de Marty Wilde What a Crazy World, à des films dont Charlie Girl in the West End et à des programmes tv variés dont une émission pour enfants de la BBC television du nom de Joe & co.
Je possède son album A picture of you sur Golden Guinea (GGL 0146), il est relativement inégal, dans l'ensemble plutôt pop que rock, A Picture of you est sans aucun doute le meilleur titre avec sa mélodie particulièrement réussie sa guitare électro accoustique des plus réussie et sa production quasi spectorienne, sort également du lot l'instrumental The Switch trés rock sorte de pont entre lestyles des Shadows et de Johnny Kidd, Stick around un médium rock trés réussi dans l'esprit des ballades de Buddy holly et les meilleurs Bobby Vee, et Talking guitar est un trés original et trés bon blues dans l'esprit d'Eddie Cochran, à côté de ces bons titres d'autres restes relativement interressant sans être transcendant comme le Skiffle country Bluegrass Lonely Island Pearl, le sympathique médium rock amusant Shine, la ballade pop skiffle What a crazy world we're living in et l'instrumental Pop corn (différent du titre de Benny Hill) qui est assez réussi, le reste est quand même un peu pénible et vraiment trop variété malgrés les passages de guitare souvent interressants comme les titres A lay-about's lament, The surrey with the fringe on top (malgrés ses sonorités skiffle est vraiment trop variété), Good Luck and goodbye, I'm Henery the eighth i am, English Country garden et Put on a happy face.
Johnny Kidd & The Pirates est le groupe de Rock n'roll britanique qui fait la transition entre le rock n'roll des Fifties de Chanteurs comme Tommy Steele, Terry Dene ou Cliff Richard qui s'inspirent tout en l'adaptant la musique des Rockers américains, vers celui des groupes qui révolutionnent la musique au milieu des sixties comme les Beatles, les Rolling Stones ou les Who. Johnny Kidd (de son vrais nom Frederick Heath) est né à Willesden en Angleterre en 1935. Comme de trés nombreux rockers il commence dans les fifties en faisant du skiffle, mais doucement il commence à intégrer de plus en plus dans ses formations suivantes des titres de rhythm and blues. Kidd forment ses premiers Pirates, on y trouve Clem Cattini à la batterie, Alan Caddy à la guitare et Brian Greg à la basse et enregistre pour Hmv sous la houlette de Walter J.Radley le premier et génial premier simple Please don't touch /Growl en Mai 1959, Please don't touch est en effet un rock efficace et sans compromission au teen rock (style qui commense déjas à séduire certains rockers britaniques) qui se caractérise par sa rythmique hypnotique et l'écho sur la voix de Johnny, le résultat est réellement époustouflant dans la lignée du Brand new cadillac de Vince Taylor. Ce classique du rock n'roll devient un tube en Grande Bretagne se classant à la 25 eme place des charts britaniques. Ce single est suivi en fin d'année par un second If You Were the Only Girl in the World / Feelin (1959). Début 1960 parait son troisième simple You Got What It Takes / Longin' Lips, sans véritable succés notable mais c'est surtout grâce à son quatrième simple de Juin 1960 qu'il rentre dans l'histoire de la musique Shakin' All Over / Yes Sir, That's My Baby. Le titre devient n°1 dés Aout 1960, il se caractérise par son intro et son solo de guitare qui sont des modèles du genre réalisés par Joe Moretti (dont certains plan se retrouve dans Restless qui est couplé à Magic of Love sur le cinquième simple du groupe de Septembre 1960, le fameux effet de slide guitare est réalisé par le glissement sur les cordes de la guitare du briquet de Brian Gregg par Moretti. Shakin' all over est avec Move it de Cliff Richard le second meilleur single de rock classique britannique pour les critiques rock Roy Carr et Tony Tyler. En 1961 parait deux autres simples de solides rocks Linda Lu / Let's Talk About Us en Mars 1961 et Please Don't Bring Me Down / So What en Septembre. So what avec son trés bon solo de piano de Thunderclap Jones fait un petit hit, mais surtout devient le troisième classique de Johnny Kidd. On peut noter également des tournée de Johnny et son groupe avec Gene Vincent et Vince Taylor. Mais à la fin de l'année les membres des Pirates Clem Cattini, Alan Caddy et Brian Gregg rejoignent le groupe instrumental the Tornadoes de Joe Meek. Cela n'empêche pas Johnny Kidd de sortir en Janvier 1962 le simple Hurry On Back To Love / I Want That qui est enregistré en solo avec des musiciens et un son plus lourd. Même si ce simple possède de réelle qualité Johnny recherche ses nouveaux Pirates, et il recrute Johnny Spence originaire de Birmingham (Varwickshire), Franck Farley à la batterie (originaire Belgaum (en Inde) et Johnny Patto à la guitare qui est rapidement remplacé par Mick Green, Johnny & ses nouveaux Pirates partent en tournée avec Jerry Lee Lewis. En Novembre les nouveaux Pirates mettent en boite leur premier simple avec A Shot of Rhythm and Blues / I Can Tell qui rentre dans les charts britaniques, le style a évolué et se rapproche du rhythm and blues, C'est à peu prés à cette pèriode que le groupe adopte le costume des pirates du 19 eme siècle sur scène. L'écoute des titres suivant met en évidence l'influence de Johnny Kidd sur des formations qui vont exploser durant la décennie. On peut noter deux hit en 1963 avec I'll Never Get Over You et Hungry For Love, et des tournées l'année suivantes avec The Rolling Stones, The Ronnettes et Manfred Mann. En 1965 Johnny réenregistre Shakin' all over, et décède l'année suivante dans un accident d'auto de retour d'un concert, son dernier simple The Fool / Send For That Girl sort à titre posthume. L'album The Best of Johnny Kidd and the Pirates (Emi - EMS 1120 Mono), compile intelligement les titres enregidtrés par le groupe entre 1959 et 1964 soit de 1959 Please don't touch et Growl, de 1960 Shakin' all over, Longing lips, Restless et You've got what it takes, de 1961 Linda lu, de 1962 I want that, I can tell et A shot of rhythm and blues, de 1963 I'll never get over you et Hungry for love et de 1964 Your cheatin' heart, Jealous girl, Shop around et Always and ever.
Johnny Kidd & Pirates Shakin all Over
Johnny Kidd & The Pirates - Please Don`t Touch
Johnny Kidd & The Pirates - I Want That
Johnny Kidd and the pirates ( a shot of rhythm n blues )
johnny kidd & the pirates - restless
Johnny Kidd & The Pirates - You Got What It Takes + Longin' Lips - 1960 45rpm
Le double album 32 Rockers & Rollers distribué en France par Festival (Festival 203) compile 32 titres classiques du rock n'roll des fifties produit sur le label Chess records (et ses filiales). La première face attaque fort avec le tube hypnotique Bo Diddley du même nom avec la légendaire rythmique de guitare (jungle sound), ensuite nous trouvons 64 000 Dollar question de Bobby Tuggle un genial rock noir avec riffs de guitare blues, Tippety top un doo wop rhythm and blues rapide par The Rays, le rock noir absolument génial et délirant Ain't got no home de Clarence Frogman Henry avec une partie de la mélodie chanté avec le fond de la gorge, Music goes round & round un trés bon rythm n' blues rock teinté de jazz (dans le style de Louis Prima) de Paul Gayten, Tall dark handsome man un rockabilly radical par Bobby Sisco et la face se termine par les deux meilleurs titres de Bobby Charles See your later alligator et aussi le moins connu et pourtant aussi bon You can suit yourself. La seconde face du premier disque commence par Mr Chuck Berry avec son classique Roll over Beetoven, suivi de Rock rock un autre rockabilly incisif de Bobby Sisco, Who do you love une autre grande réussite de Bo Diddley, The walk du bluesman Jimmy Mc Cracklin qui enregistre ici l'un des meilleur rock noir de l'histoire, suivi du tout aussi exitant mais plus rockabilly i can't wait par Ray Stanley avec son incroyable rythmique proche des sabots d'un cheval au galop!!, Over the mountain , across the sea du duo Johnny & Joe amène un peu de romatisme et d'harmonies vocales doo wop dans cette compilation, suivi du doo wop trés rapide The clock par Lee Andrews & the hearts, et on finit par un autre chef d'oeuvre du rock n'roll pur et bien agressif avec Rock this morning chanté par le bluesman Lowell Fulsom. Nous voici dékjas sur la première face du second lp qui débute fort avec l'énorme tube de 1957 de Dale Hawkins son rockabilly blues medium Suzie Q archi repris par la suite, Oh oh par Eddie Boyd est dans la lignée des titres de Ftas Domino, Flatfoot sam par O wills est un trés bon rock rapide et syncopé avec sax tonytruand, Dime store pony tail par Bobby Dean est un rock rapide avec des riffs de guitare Jazz déchainé un must, Nothin shakin' par Eddie fontaine est un classique des rock blancs violent dans l'esprit des faces Speciality de Little Richard mais sans piano, Sugaree par Rusty York est un fantastique médium rockabilly réalisé à partir d'une composition plus tranquile de Marty Robbins, 1-2-3 est un Rockin' blues du pianiste Piano Red un vocal entre Jackie Wilson et Big Joe Turner avec du piano boogie woogie et une guitare blues incisive, et la face se termine par Say Man un autre classque de Bo Diddley. La dernière face commence par l'un des gros classique du doo wop rapide de la fin des fifties Book of love par the Monotones, suivi de The Wobble un autre trés bon rock de Jimmy McCracklin, False alarm un exeptionnel et trés original doo wop rapide des Re-vels, le plus medium doo wop Every day of the week des Students, Knee Socks un autre trés bon doo wop des Miracles, But i do l'autre gros tube de Clarence "Frogman" Henry et se termine par Let it rock un rock inégalable de Chuck Berry. Ce double album à la pochette plutôt étrange est sans doute la meilleure compilation de rock n'roll issu du label Chess records qui est été jamais sortie.
Jimmy McCracklin-The Walk
Bobby Sisco - Tall, Dark & Hansome Man
False Alarm - Re-Vels
ARGO~5280 -Ray Stanley- I Can't Wait
Lowell Fulson - Rock This Morning ~ 1958 Blues Rocker
Les Chats Sauvages fait partie des groupes de Rock n'roll qui envahissent les hit parades français au début des années 60. L'histoire de ce groupe commence en Mai 1961à Nice, nous trouvons au chant Dick Rivers (Hervé Forneri), à la guitare solo John Rob (Jean Claude Roboly), à la guitare rythmique James Fawler (Gerard Roboly), à la basse Jack Regard (Gerard Jacquemus) et à la batterie Willy Lewis (William Taïb). Le batteur sera par la suite remplacé par Armand Molinetti, Dean Shelton et André Ceccarelli. C'est aprés avoir rencontré Les Shadows à une émission Musicorama dont ils font la première partie qu'ils remplacent leurs premières guitares Ohio par des guitares fenders, aprés avoir obtenu de nombreux tubes chez Pathé Marconi avec Dick Rivers, au départ de ce dernier ils continuent avec un nouveau chanteur Mike Shannon, c'est en Aout 1964 que le grouper se séparre dféfinitivement à l'issue d'une tournée au Québec. Au niveau discographique ils sortent 7 eps avec Dick Rivers entree 1961 et 1962, et de nouveau 67 eps avec Mike Shannon. En 1962 ils sortent leur premier 25 cm Est ce que tu le sais, suivi d'un second en 1962 Oh oui et enfin un troisième avec Mike Shannon N°3 Venez les filles. Pour la pèriode Dick Rivers je possède 5 eps dont le second (1961) avec les titres Je veux tout ce que tu veux (qui est un assez bon rock rapide avec des riffs de guitare incisifs) / Trois en amour (un medium rock sympathique cover de D in love popularisé par Cliff Richard and the Shadows) / Toi l'étranger ( un rock plutôt lent qui manque un peu d'unité musicale et de peps) / Hey Pony ! (version trés rock et réussie du titre twist de Chubby Checker), le troisième (1961) Toi tu es bath pour moi (un rock rapide assez bien mené) / Dis-moi si c'est l'amour (une ballade rock vraiment réussie avec un trés beau solo de guitare) / Toi quel bonheur (médium rock twist particulièrement original) / Tu peins ton visage (magnifique cover en français war paint de Barry Mann), le 4 eme Sous le ciel écossais (When the girl is in your arms) une ballade reprise de Cliff Richard au son de guitare Shadows plutôt dispensable/ Un p'tit je ne sais quoi (One track mind) un teen rock sympathique / Les bras de l'amour ( un rock twist vraiment pasmal dans le style)/ Laisse-moi rire (Lessons in love) (encore une reprise dispensable à mon goût de Cliff Richard) ce 45 tours marque le passage du groupe du rock au twist, le 5 eme avec Laissez nous twister (cover assez réussie de Sam Cooke), Un coeur tout neuf (une version française assez marante vue du rock classique Brand new beat de Gene Vincent & the Blue caps), la cover de la ballade mélanclique Love of a man de Gene Vincent n'est par contre pas vraiment une réussite, Cousine -cousine est un rock twist médium plutôt pénible et le 7eme et dernier ep avec Dick Rivers Je reviendrai (reprise en français vraiment réussie du rock I'm going home de Gene Vincent) , Tout ce qu'elle voudra un twist rock original mais pas transcendant, Oh ! Lady un slow rock amusant mais quand même un peu trop kitch, Toute la nuit est une cover vraiment efficace et bien vu Week end d'Eddie Cochran. Je ne possède que le 1er ep 45 tour des Chats Sauvages avec Mike Shannon (1962) avec Sherry (magnifique reprise du Sherry des Four Seasons)/ Mon copain (un médium rock assez agréable dans son style) / Derniers baisers (version réussie mais qui sent le yéyé) / Tout le monde twiste (reprise assez sympas et rock du titre The twist kid de Chubby Checker). Au niveau des album des Chats sauvages avec Dick Rivers je possède le premier 25 cm Est ce que tu le sais (1961) (Pathe marconi ST 1148) avec les titres Est ce que tu le sais (belle cover en français de What d'isay de Ray Charles), Oh! baby tu me rends fou (est un trés bon rock rapide),Amour et Rock (est un rock rapide relativement bien fait avec de bons riffs de guitares), C'est pas sérieux est une cover réussie du Theme for a dream de Cliff Richard, Sans raison (est un rock lent cover de For sentimental reason au son shadows vraiment réussi), Viens danser le twist (cover de Let's twist againde Chubby Checker), Yeh yeh yeh est un rock bien nerveux que je trouve vraiment réussi, Twist a saint tropez le grand classique du groupe qui en réalité à une instrumentation bien rock n'roll et parfaite qui mérite d'être réécouté, Oh boy!! excellente cover du I want to you know Fats Domino carrément rockabilly l'un des musts du groupe, Les genoux qui craquent est aussi un trés bon rock efficace. Je conclurais que ce 25 cm est un trés bon exemple de rock n'roll en français particulièrement réussie qui peut trouvé sa place dans une collection sérieuse. Je possède aussi de la pèriode Dick un 33 tours Les Chats Sauvages avec Dick Rivers Mfp /emi qui compile évidemment des titres déjas cités comme Twist à Saint tropez, Hey Pony!, C'est pas sérieux, Viens danser le twist, Est ce que tu le sais?, Oh Boy!, cousine cousine et Laissez nous twister mais aussi des titres que je n'avais pas comme Ma p'tite amie est vache (de leur premier ep un trés bon rock à sonorités rockabilly), Elle est vraiment jolie (1962) est aussi un bon rock rapide et nerveux, Twist time de 1962 (un titre twist en anglais avec accent français vraiment réussi )et le sympathique twist rock Oh dis-le moi (1962) Au niveau des compilations on peut citer le double lp Les Chats sauvages avec Dick Rivers et Mike Shannon édité par Sonopresse (DA 35505) qui compile les deux pèriodes sur un disue différent, de la pèriode avec Dick Rivers nous retrouvons des titres déjas cité comme Les bras de l'amour, Un ptit je ne sais quoi, Toi l'étranger, Oh! baby tu me rend fou, Hey Pony, Dis moi si c'est l'amour et Toute la nuit mais aussi d'autres titres comme Quand les chats sont là (belle reprise du Dance to the bop de gene Vincent and the bluecaps qui était dans leurs second Lp Oh oui), Oh oui version vraiment originale et réussi de My babe de Willie Dixon, Sur ma plage une cover plutôt passable d'un rock lent de Cliff Richard, Anna, annabelle (reprise sympas d'un medium rock de Gene Vincent).le second simple est consacré aux Chats Sauvages avec Mike Shannon avec la totalité de leurs premier ep déjas cité soit Derniers baisers, Tout le monde twist, Mon copain et Sherry, nous trouvons ensuite le seul titre chanté (les 3 autres sont instrumentaux ) de B.O.F. du film Le roi du village soit Venez les filles un trés bon rock rapide,du 3 eme eps nous trouvons 3 titres soit John, c'est l'amour un rock lent, Je voudrais trouver (une fille comme toi) cover réussie du rock rapide The shape i'm in de Johnny Restivo, et Horizon (un instrumental médium rock bien mené dans l'esprit des Shadows),ensuite nous trouvons du 4 eme ep Allons reviens danser (trés bonne cover du Dancing shoes de Cliff Richard), Quelle nouvelle (une autre cover trés réussi du Big news de Cliff Richard deux titres que se dernier interprette dans le film Summer Holiday), et Dis-lui que je l'aime (un titre yéyé médium plutôt pénible) et pour terminer Johnny rappelle-toi (une cover plutôt passable du génial Johnny remember me de John Leyton). Dans le même style le lps Les Chats Sauvages Volume 1 de Sonopresse (2s 026 - 16754) propose une face à Dick Rivers et les Chats Sauvages et la seconde à Mike Shannon et les Chats Sauvages sans aucun titre différents du double précédemment cité soit Quand les chats sont là, Sans raison, Oh baby tu me rends fou, Hey Pony!, Dis moi si c'est l'amour, Toute la nuit, Derniers baisers, Sherry, Je voudrais trouver (une fille comme toi), venez les filles, Quelle nouvelle et dis lui que tu l'aime.
Les Chats Sauvages avec Dick rivers - Dis moi si c'est l'amour
Les Chats sauvages avec Mike shannon - Allons reviens danser
Dick Rivers & Les Chats Sauvages - J'ai pris dans tes yeux
)La série des doubles albums Kings of Rock est édité sous 3 volumes dont le volume 1 est baptisé dans l'éditions française Pathe Marconi - Emi - Music Melody (MP 209) étonnementTestament du rock !!! (du même nom de la collection déjas traité sur ce blog!!) Donc ici les enregistrement sont essentiellement emprunté aux catalogues Liberty et Imperial des fifties et early sixties. Donc le vol1 de Kings of Rock (que je possède sous sa forme graphique Testament du rock), nous trouvons 3 rock sauvage d'Eddie Cochran C'mon everybody, Cut Accross shorty, Twenty flight rock et le démoniaque Nervous Breackdown (enregistrements Liberty), de Fats Domino 4 rock n'roll teinté de Boogie au son si caractéristique de la nouvelle orléans avec I'm Walkin', My blue heaven et I'm ready, au niveau de chez Sun records nous trouvons le méga tube sauvage de Jerry Lee lewis Great balls of fire, le gros classique de Buddy Knox l'immortel Party Doll est présent mais dans son édition Liberty postèrieure à l'originale gravé chez Roulette records, Dans le style de Fats domino nous trouvons son ami Smiley Lewis avec Shame, shame, shame, des fifties nous trouvons également l'instrumental Red river rock de Johnny & the Hurricanes et le rock noir sauvage Bony Maronie de Larry Williams (sur Speciality). Etonnement le reste des titres sont des sixties Bobby Vee reprend en 1961 The girl can't help it de Little Richard et en 1963 Peggy Sue de Buddy Holly, The Crickets (le groupe de Buddy Holly reprend en 1962 le génial What'd i say de Ray Charles, Jay and the Americans en 1961 reprennent le classique de Chuck Berry Johnny B. Goode, P.J. Proby reprend en 1966 Stagger Lee un des gros tubes de Lloyd Price durant les 1950's, et Sandy Nelson reprend en instrumental l'immortel Rock around the clock énorme succés de Bill Haley & the Comets en 1955, Bill Haley est présent aussi avec le rare et pourtant excellent That's how i got to Memphis de 1964, au niveau des instrumlentaux incontournable du rock n'roll nous trouvons Memphis de Lonnie Mack de 1963 et Let's Go des Ventures de 1961 tout comme le gros succés pop rocker de Johnny burnette You're Sixteen, enfin nous trouvons le méga succés de Del Shannon de 1961 Runaway et le trés bon I saw Elvis Presley Last night de Gary Lewis datant de 1965. Le Kings Of Rock Volume 2 (UAS 29748/9) continu avec les incontournables rocks rapides d'Eddie Cochran avec Summertime blues, Somethin' else et sa version white rock du Long Tall Sally de Little Richard, Fats Domino est lui aussi toujours présent avec d'autres rocks comme So glad, Oh wee et le supra connu Blueberry hill, au niveau du rock noir nous trouvons le pionnier Roy Brown avec Let the four wind blow (succés de Fats Domino), Shirley & Lee avec le génial Let the good time roll et Amos Milburn avec son classique Chicken shack boogie, Bill haley & the Comets interprette un titre méconnu et trés particlier quand même des 1960's Ain't love funny ha ha ha, Bobby Vee chante deux tubes de Buddy Holly Oh boy et That'll be the day, Johnny burnette chante un autre de ses succés en solo du début 1960 le trés bon Cincinnati Fireball, Johnny Rivers chante deux succés de chuck Berry soit Maybellene et Roll over Beetoven, Les surfers Jan & Dean chantent Rock n'roll music de Chuck Berry, Tallahasseee Lassie de Freddy Cannon et Barbarra ann des Regents dans un style surf proche des Beach Boys, The Crickets (le groupe de Bill Haley) chante le trés bon rock fifties de Johnnie Otis aux rythmes proche de Bo Diddley Willie and the handjive, Del Shannon reprend avec talent l'incontournable succés du début 1960's Oh pretty woman de Roy Orbison, Sandy Nelson fait une version instrumentale du Sweet little sixteen de Chuck Berry, et les Ventures font de même avec the Locomotion popularisé par little Eva, ensuite nous trouvons Gary Lewis qui reprend Great balls of fire dont l'original de Jerry Lee Lewis est présent sur le premier volume, le reste est du pur sixties et pourtant cela passe assez bien P.J.Proby chante Niki Hoeky, Kim Fowley chante Barefoot country boy, The Easy beats chantent Hound dog popularisé par Elvis durant les fifties, Canned Heat chantent Rockin' with the king et les Flamin' groovies Slow death. Les styles sont plus variées que sur le premier volume du coup à déconseiller aux fanatiques du son "made in the fifties", mais l'ensemble reste plutôt réussie avec une trés bonne face de titres moins connus de rock noir des fifties et des versions souvents amusantes et créatives de classiques des 1950's par d'autres rockers au début des 1960's Bobby Vee par exemple est plutôt convainquant dans ses reprises de Buddy Holly, mon jugement est par contre plus mesuré par contre pour Sandy Nelson et Jan & Dean dont les versions sont trés personnelles mais un peu trop kitch quand même, The ventures réussissent plutôt bien leur Locomotion, les titres purement sixties voir seventies de Kim Fowley , Flamin Groovies et Canned Heat sont d'assez bonnes surprises. Le King Of Rock Volume 3 (SLD 55049/50) commence par une face compilant que du rock fifties et début 1960 comprenant des titres présents sur le volume 1 et 2 comme Summertime blues d'Eddie Cochran, Cincinnati Fireball de Johnny Burnette, Great balls of fire de Jerry Lee Lewis, Bony Maronie de Larry Williams et Chicken Shack boogie d'Amos Milburn mais aussi d'autres comme Blue Monday un classique Imperial de Fats Domino et Over and Over par Thurston Harris de 1958, malgrés ces doublons cela commence plutôt bien. La face 2 est consacré aux instrumentaux avec Raunchy par Bill Justis (Phillips international filiale de Sun records), Beatnick Fly par Johnny & the Hurricanes, Let there be drums le tube de Sandy nelson, Walk don't run le plus grand succés des Ventures, le moins connu mais génial surf instrumental avec sonorités rockabilly Bust out par les Busters de 1963, Wham! l'autre gros tube de Lonnie Mack aprés Memphis, et Walkin' with mr lee par Lee Allen un instrumental de 1958 entre jump et rock n'roll, cette seconde face aurait pu paraître un peu enuyeuse par rapport à la précédente, mais il n'en n'est rien le choix des titres et leur place est une réussite. la troisième face semble plus se consacré au Teen rock si ce n'est le splendide White rock Endless sleep de Jody Reynolds, on trouve l'immense succés de frankie Avalon le slow Venus qui s'avère en fait le moins interressant à mon goût de la face, en effet Mister blue par The fleetwoods par exemple balance plus tout en restant une ballade mélancolique, Oh Julie une ballade doo wop des Crescendos de 1957 tient particulièrement la route, I love how you love me par The Paris Sisters de 1961 est de son côté magnifique sans doute par ce qu'une des premières production de Phil Spector, Bobby Vee interprette son sympathique médium teen rock Please don't ask about Barbarra de 1962 la face se termine par Reparata and the Delrons qui chantent Whenever a teenager cries de 1964 un titre de girls group qui ressemble beaucoup au Chapell of love des Dixie cups. La dernière face compile quelques un des classiques du doo wop dont le rapide Papa-Oom-Mow-Mow des Rivingtons de 1962 (qui est l'inspiration mélodique du Surfin' bird des Trashmen), l'incroyable Love potion number nine des Clovers de 1959, le fabuleux Tonight tonight des Mollo kings de 1957, le classique (I'll) remember in the still of the night des Five Satins de 1956 , le plus rapide When you dance des Turbans de 1955, le trés bon et original Western Movies des Olympics de 1958 et le Rock doo wop Stranded in the Jungle des Cadets de 1956. Ce troisième volume avec son concept de styles différents par face est plutôt réussi avec un choix de titre pas toujours facile à trouver mérite une attention particulière, mais je regrette quand même les doublons avec les autres volumes de la première face.
C’est en 1985 (évidemment Eddie étant mort en 1960!!!) que sort ce double album sur Liberty distribution Pathé Marconi (PM 281).Il contient que des titres indispensables pour tout amateur de bonne musique qui se respecte. Les titres sont Summertime blues son plus gros hit qui sort sur le simple Liberty 55144 le 11 Juin 1958, et est enregistré au Goldstar studio le 28 Mars 1958, ici pas de présence de l’écho qui est présent en général sur ce titre, car ce dernier à été ajouté par Jerry Capehart au titre pour The memorial album (LRP 3172), Cochran est à la guitare et Capehart fait le rythme avec les claquements de mains. Teresa sort à l’époque sur le simple Liberty 55138 est enregistré au studio liberty de Los Angeles le 3 Mars 1958, avec entre autres Cochran à la guitare et Connie « Guybo » Smith à la basse. Weekend est édité sur le simple Liberty 55389 et enregistré au United recording de Los Angeles le 23 Avril 1959 avec Cochran à la guitare, Smith à la basse et Earl Palmer à la batterie, il existe également une version stéréo de ce titre.Teenage Cutie est édité pour le première fois sur le legendary master album (UAS 9959) et provient d’un scéance d’enregistrement au Goldstar Studios en 1958 avec entre autre Cochran à la guitare et Smith à la basse (reprise d’un titre de Nick Todd). Never est publié sur un simple Liberty (LIB 10049) qui ne sortira qu’en Grande Bretagne, et est enregistré en 1957 durant les mêmes sessions que l’album Singing to my baby (LRP 3061) avec Earl Palmer à la batterie, Smith à la basse et Perry Botkin à la guitare. Completely sweet est un titre qui ne sort qu’en Grande Bretagne sur le simple London (HLU 8433) qu’il ne faut pas confondre avec le titre présent sur l’album Singing to my baby, il est enregistré à Los Angeles en Octobre 1956, Conie Smith est à la basse, Cochran à la guitare et Jerry Capehart fait le rythme sur une boite, grandiose !!.Sittin’ in the Balcony le premier tube d’Eddie qui se vend à 1 million d’exemplaires en quelques mois et fait de lui une vedette nationale et internationale, il sort sur le simple Liberty 55056 en Mars 1957, il est enregistré aux studios Capitol à Los Angeles accompagné entre autres de Smith à la basse . Think on me version jusqu’alors inédite du titre écrit par la fiancé de Cochran Sharon Shelley et sortie précédemment en deux autre version avec des différences légères au niveau du texte sur un simple Anglais et un album français, il est enregistré à United recorders en Avril/May 1959. Hallelujah ! i love her so c’est l’adaptation très personnelle de Cochran du succès de Ray Charles (une de ses idoles musicale)il s’agit ici de la version brute de studio du titre seulement avec la guitare d’Eddie, par la suite il sera commercialisé avec l’ajout d’autres instruments comme un saxophones, piano, batterie et basse, il date d’Aout 1959 et enregistré au Goldstar studio. Am i blue est la seconde face du simple Drive in show (Liberty 55087) et qui possède la même instrumentation que Never. My Love to remember, version inédite de ce titre de Cochran qui a déjà été édité sous 4 autres versions sur 4 albums différents, il est enregistré au Goldstar Studios de Los Angeles le 31 Aout 1959. Three Steps to heaven incontournable premier succès posthume d’Eddie dans une prise mono il est accompagné par the Kelly Four sur cet enregistrement du 10 Juillet 1959 au Goldstar studios de Los Angeles qui sera mis en boite en même temps qu’un autre classique d’Eddie Boll Weevil. Eddie’s blues instrumental enregistré au studio Goldstar le 25 Aout 1959 et édité pour la première fois sur l’album My Way on trouve Gene Ridgio à la batterie, Connie Smith à la basse et Jim Styvers au piano. Little Lou est un titre qui apparaît également sur l’album My way et nous trouvons les même musiciens que sur Eddie’s blues, il est enregistré au début de 1958, ce titre est peut être à l’origine une démo pour la version de John Ashley du simple Capehart 5006. Cut across Shorty est un chef d’œuvre moin connu d’Eddie qui est enregistré au Goldstar studios le 8 Janvier 1960, voici la version mono avec Connie Smith à la basse, Sonny Curtis à la guitare rythmique, et Jerry Allison à la batterie les deux légendaires membres des Crickets de Buddy Holly. Long Tall sally version sauvage du déjà sauvage classique de Little Richard enregistré en 1956 avec Smith à la basse et Capehart battant le rythme sur une boite, version différente de celle présente sur l’album My Way c'est-à-dire sans la guitare rythmique rajouté par la suite en studio. C’mon everybody est l’un des méga classique du maître enregistré au studios Goldstar de Los Angeles en 1958 avec Connie Smith à la basse Jim Styvers au piano et les autres instruments joué par Eddie lui-même et remixé en studio. Ce titre qui est édité sur le simple Liberty 55166 est en fait la prise 15 d’un autre titre d’Eddie Let’s get together qui est le même titre avec une différence au niveau du texte. Mean when i’m mad est la seconde face du simple Liberty 55070 avec en face a One Kiss il est enregistré en 1957 durant la même session que Never et Am i blue, nous trouvons Earl palmer à la batterie et The Johnny Mann Singer. Pretty girl version inédite jusque là de ce titre qui est sortie début 1958 sur le simple liberty 55138. Rock n’roll blues est enregistré en Janvier 1959, il parait sur un simple Liberty LIB 10088 réservé au marché de Grande Bretagne, la version présente ici est mixé différemment de celle du simple. Milk cow blues est enregistré le 25 Aout 1959 avec entre autres Earl Palmer à la batterie et Connie Smith à la basse au Studio Gold star de Los Angeles, il s’agit d’une version plus bluesy du classique Rockabilly de Presley chez Sun. Boll Weevil song est enregistré au Goldstar studios le 23 Juin 1959 avec Connie « Guibo » Smith à la basse et Gene Ridgio à la batterie, il s’agit de la seconde face de Somethin’else du simple Liberty 55203. Somethin’ Else il s’agit de la prise 14 sur 20 de ce classique de Cochran enregistré le 23 Juin 1959. Teenage heaven est une chanson qu’Eddie interprète dans le film Go Johnny Go et qui sort sur le simple Liberty 55177, il est mis en boite au studios Goldstar de Los Angeles avec en backing vocal The Kelly Four. Twenty flight rock encore un chef d’œuvre incontournable d’Eddie qu’il interprète dans le film The Girl can’t help it, il est enregistré en Octobre 1956 avec Connie Smith à la basse et Jerry Capehart qui sort en premier sur un simple London HLU 8386 avec en face B Completely sweet. En 1957 Eddie réenregistre le titre qui sort sur le simple Liberty 55112 avec Cradle baby en face B. Love again est une ballade qui est enregistrée début 1958 et sera la face B de Summertime blues du simple Liberty 55144. Jeannie jeannie jeannie est un rock qui sera repris entre autres par les Stray Cats sur leur 1er album, et qui est enregistré avec entre autres Eddie à la guitare et Connie à la basse et qui est enregistré le 12 Janvier 1958 pour le simple Liberty 55123. Cherished memories sera enregistré avec Jerry Allison à la batterie (Crickets) et Connie Smith à la basse un soir de Janvier 1960 après un concert de sa fatale tournée anglaise. Little angel est enregistré le 26 Aout 1959 au Goldstar studio et sort sur le simple Liberty 55217. Sweety pie est enregistré au Goldstar studio lors d’une session qui met aussi en boite Teenage Cutie, il sera couplé avecLonely sur le London HLG 9196. My way est enregistré au Goldstar Studio le 17 Janvier 1959 avec Earl palmer à la batterie, Ray Johnson au piano et Plas Johnson au saxophone, et I Remember qui sera la seconde face de Teenage Heaven (Liberty 55177)et est enregistré en même temps que ce dernier en Janvier 1959 au Goldstar studio avec en backing The Kelly Four.
Cowboy Barnes & his Drinkin' Buddies est une formation de Rockabilly sauvage de la seconde moitier des eighties composé de Cowboy Barnes, Boz Boorer, Matt Radford, Liam Watson et Brian Nevill qui se caractérise par un chant trés gravé et déjanté, un son sauvage avec une production roots. C'est tellement viril sans concessions stylistique et surtout rentre dedans que leurs enregistrements raviront aussi bien des Hepcats que des Teds ou des fans de garage. Ils sortent deux albums pour NV records que je possède sur un seul cd N.V Records (NVCD12) The Whole round. Nous trouvons donc le lp Big Beer Bonanza complètement déjanté et trés rockabilly rassemblant 12 titres de Rockabilly ou rock n'roll parlant de bitures, d'alcool et de coma éthylique, une pure merveille du délire rock n'roll absolue des années 90's véritable reflet des grands festivals du style de l'époque. Les styles allant du rockabilly en passant par le rock n'roll, le white rock, le rockin blues et le rockin' country, nous trouvons les titres Pink elphants, Wine wine wine, Here i am, drunk again, Save me the label, What's the word - thunderbird, I fought the beer (version hilarante de I fought the law), Beer drinkin' blues, Ain't going to betty Ford, bottle of Jack (version alcoolisée du titre Cracker Jack), Flashin' T et Bad hangover. Dans le même esprit potache et Rockabilly sauvage nous trouvons le second LP It's your round! avec la même équipe plus Malcolm Chapman et les titres Shortin' beer (fabuleusement sauvage), Rinning drunk (Country déjanté dans l'esprit de Tom Waits), Whisky made me drunk, Bubble trouble, Bubble potion N° 9 (version délirante de Love Potion number 9), I think i drink therefore i am, Suds, Keep on drinking, It's your round, Rubber legs, Drunk et What a way to die.
Bill Fadden & the Silvertones Fliers est un groupe anglais de Rockabilly authentique formé de Bill Fadden au chant et guitare rythmique, Buddy Coles à la guitare solo, katie -Jane Fielding à la batterie et Jack Boxwell à la contrebasse. Leurs influence est le son des rockabilly singers des fifties qui enregistraient sur les labels légendaires du Sud des USA (Sun, Starday, King et Meteor). Ils se forment en 1999, et en Aout 2000 ils font leurs premiers enregistrements pour Raucous records, suivit en 2001 par leurs premier album Bop Party! (Raucd 089) enregistré au Western Star Studios d'Alan Wilson.
Ils tournent ensuite dans des festivals de rockn'roll en Grande Bretagne (Hemsby rock n'roll weekend) et partout en Europe et même aux USA.
L'album particulièrement réussi stylistiquement et vocalement compile des compositions d'authentiques rockabilly comme Bop Party (excellent rockabilly rapide de style classique), Matter of time (Hillbilly rockabilly teinté de western swing), Crazy little fool (rockabilly medium trés réussi), Hurting bad (un bon western swing), Hot rod Honey (rockabilly rapide trés réussi), Give me a thrill (rockabilly medium à entendre absolument) et I Dig (un rockabilly psychotique à 2 voix aux riffs vengeurs fantastique) au côté de reprise de classique des fifties comme Speed Limit (white rock classique de Tommy Lam), All the time ( rockabilly rapide de Sleepy la Beef), Your Nearly lose your mind (Ernest Tubb), Mean mean woman (de Ray Lynn sur le label Glenn), Rockin' rollin' stone (le génial rockabilly d'Andy Starr), Rockin on my mind (rockabilly rapide et sauvage de Curley Griffin), Milcow blues boogie (Rockabilly médium D' Elvis Presley pèriode Sun) et Raging Sea (White rock déjanté de Gene Maltais).
En résumé un album des plus authentiques avec une qualité d'iterprétation et de composition qui aurait mérité d'être plus connu.
<>C'est en 1998, que Scotty Tecce et Mike Napodano décide de former un groupe de doowop dans la plus pure tradition de leurs idôles Dion and the Belmonts. Ils sont rejoint rapidement par Jay Ragojo et Omar Yee Foon. Ils enregistrent tout d'abord un trés prométeur ep pour flipside records King of the world qui leur permet d'obtenir un véritable triomphe lors de leur passage au Viva Las Vegas Weekender de 2000 et 2002. En 2004 ils sont rejoint par la basse vocale Bill Kay. Ce qui leur permet d'enregistrer l'album Next door to heaven qui sort sur Crow records (Crow5004) qui s'avèrent être sans doute le meilleur album du genre depuis le début de la décennie. Il contient 15 compositions absoluments irréprochables aussi bien du point de vue mélodique que vocale faisant avec grand talent un tour des différents styles qui caractérise le doo wop depuis la première moitier des années 1950 jusqu'au début des années 1960's. On doit aussi parler de leurs prestations scéniques subjugantes dues au talent de la chorégraphe Elaine Hewlett. Pour revenir à l'album Crow records, il se compose d'une suite de 13 compositions époustouflantes de qualité mélodique et vocale rendant hommage aux grandes formations du style Two steps ahead (doo wop rapide typique de la fin des 1950's), Chicken Hawk (un rhythm and blues vocal rapide avec riffs de guitare blues rapide rappelant des groupes du style de la première moitier des fifties comme The Cadillacs), Next door to heaven (medium doo wop du style du Runaround sue de Dion and Belmonts), Wake up (un doo wop dans le style des Marcels), King of the world (une ballade dans le style des 4 seasons), I never knew (un doo woop au style proche des Del Vikings avec beau solo de sax), Kristine (un doo wop typique du début 1960's avec influence mélodique de Dion), What came over me (Slow mélancolique dans le sillage de Little Anthony and the Imperials typique de la moitier des fifties avec accompagnement de guitare cristalin et solo de sax, Rainy day (doo wop rythmé fin fifties dans le genre des Earls), Been too long (un médium rock doo wop avec solo de saxophone), She's every where i go (ballade doo wop), Church bells may ring (belle du doo wop rapide des Willows), Love's a game (encore une composition dans le style des oeuvres de Ernie Maresca pour Dion & Belmonts), The greatest heartbreack (doo wop rapide particulièrement brillant) et Three chick guy (un véritable petit classique du doo wop rapide avec un magnifique solo de guitare) en résumé un album de doo wop incontournable pour tout amateur de Doo wop classique.
The Bop KIngs est un trio de rockabilly authentique américain originaire de San Antonio au Texas, Casey Miller est au chant et à la guitare acoustique, Tomcat Miller lui est à la contrebasse et Mike Nesloney est à la lead guitare. Casey à fait auparavent partie de plusieurs groupes de rockabilly The Texas Thundertones, K.C. Miller and the Kozmik Kowboys et the Hectic Hepcats, de son côté Tomcat à été membre également de The Texas Thundertones et des Hectic Hepcats mais également des Kozmik Kowboyz. En 2002 ils enregistrent un album pour le label El Toro records (ETCD - 3030) Rock it to the moon, ils jouent ensuite au concert du Rockabilly Hall of Fame à Las Vegas, et ils sont élu "The Best New Rockabilly Band" lors du festival Viva Las Vegas qui leur permet d'enregistrer un nouvel album pour Rollin' Rock en Septembre et de faire une tournée nationale à partir de Septembre. Pour en revenir l'album Rock it to the moon il est mixé par Billy Horton au Fort Horton Studiosd' Austin (Texas) et composé de 13 compositions de Casey arangées par les Bop Kings. Les influences sont le rockabilly fifties des Burnette brothers et le hillbilly rock, ici une instrumentation parfaite, une production claire et un chant plus vrais que nature, pour les amateurs de musique on doit signaler les magnifiques et imaginatifs break de guitare et de contrebasse. L'ensemble est homogène d'une grande qualité mélodiques et instrumental et enchaine les rockabilly médiums pour le plus grand plaisir de l'auditeur. Les titres sont Fool with the blues, Snake eyed baby, Seein' double, Blue moon bop, Devil on my shoulder, Hepcat jive, Toobin' boogie, Cold lonesome memories (mon titre préféré est influencé mélodiquement par le standard rockabilly Roses are Blooming) Brylecream boogie, Hepgal, Hoppin' mad daddy (bien sauvage), Duck duck goose et Snake eyed baby (Alternate).