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  • : Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
  • : Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 23:42

Rudy Grayzell fait parti deDSC06240.jpg ses légende du rockabilly des fifties qui malgrés l’enregistrement de véritables classiques du genre ne sont connu que par des initiés. C’est à Saspamco  qui se trouve dans la banlieu proche de San Antonio (Texas) que Grayzell voit le jour. Il veut devenir dans un premier temps joueur de baseball, mais sa passion pour la musique a le dessus sur celle du sport et il fonde rapidement adolescence son premier combo de country and Western. The Silver Buckles. Qui au début des 1950’s deviennent the Texas Kool Kats (groupe qui comprend Doug Sahm agé seulement de 11 ans). Le groupe se fait une réputation régionale faisant de nombreux concerts dans le Sud ouest de létat et passant régulièrement en live dans un show radio.
Ils enregistrent pour Abott records (label de Louisiane) 3 45 tours de country. Cela leur permet de passer dans des shows à Nashville et au Louisiana Hayride entre 1953 et 1954. C’est  à cette période qu’il rencontre Elvis Presley. Et pendant 6 mois il voyage avec Elvis.
Fasciné par ce dernier et par son style musical, il quitte Abbort pour Capitol, en 1955 il met en boite 3 simples dont une version rapide de Heart of stone (avec en face B There's Gonna Be a Ball). Mais ironiquement juste un moi après Grayzell,  Otis William and the Charms enregistrent eux aussi une cover du titre qui devient un hit national. En 1956, Grayzell signe chez Starday records et c’est pour ce label qu’il enregistre quelques uns des plus fabuleux rockabilly sauvages de l’histoire comme Let’s get wild, You’re gone et bien sur  Ducktail. Ducktail atteint le top ten du hit parade de la région de Houston. En 1957 il signe chez Sun pour qui il enregistre le médium Judy avant d’enregsitrer le simple FBI Story pour Award records en 1958. A la fin des années 1950 il tourne au côté d’artistes comme Jerry Lee Lewis, Buddy Holly et Ritchie Valens.

Au début des années 1960’s il arrête sa carrière de chanteur pour se consacrer exclusivement dans le management de groupes et l’organisation de spectacles.

 C’est avec l’intérêt porté en Europe pour ses fameuses faces rockabilly, que Grayzell refait à partir des annés 1980's des concerts et part en tournée en Europe. On peut noter en 1991qu’il enregistre un ep 4 titres accompagné par les A Bones pour Norton records. Et en 1998 il enregistre unalbum de 14 titres accompagné par The Skeletons pour Burnside records.

Je possède le lp 33 tours Let's get wild de Rudy "Tutti" Grayzell sur Starday (Starday lp 1321) les 15 titres qui le composent sont de pures merveilles rockabilly soit Let's get wild, I love you so, Ducktail, You're gone, Ju-ga-lee-ga, You hurt me so, Rockin' and flyin', judy, Judy (take2), I think of you, F.B.I story, You'll be mine, The moon is up, Day by day et There's gonna be a ball.

 

 

Rudy Grayzell - Let's Get Wild

 

 Rudy 'Tutti' Grayzell - Duck Tail

 

Rudy Grayzell - There's Gonna Be A Ball

 

 

Rudy Grayzell - You're Gone

 

Rudy Grayzell - Let's Get Wild live in hollywood 1992

 

 

Découvrez la playlist Rudy Tutti Grayzell avec Rudy Grayzell
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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 22:50

Lloyd Price est à la DSC05482.jpgfois un précurseur et l’une des figures incontournables du rock n’roll noir des 1950’s pour un certains nombres de hits comme en particulier Personality en 1959 (qui lui donne le surnom de « Mr Personality ») et Lawdy Miss clawdy en 1952. Il est le meilleur représentant avec Fats Domino du New Orleans beat, son importance dans l’histoire du rock est reconnu en 1998 par son introduction au Rock n’roll hall of fame.

Price est né le 9 Mars 1933 dans la banlieue de la Nouvelle Orléans, jeune il étudie la trompette et le piano et chante dans les choeurs de  l’église de son quartier, avant de former au lycée son propre groupe.

C’est dans un talent scout  en 1948 que Art Rupe le producteur de Speciality records entend pour la première fois Lloyd Price chanter Lawdy Miss Clawdy, il est déjà persuadé qu’il s’agit d’un hit, et décide de faire enregistrer Price,DSC05483.jpg et comme ce dernier n’a plus de groupe à lui , il est accompagné sur cette session de 1949 par Dave Bartholomew et son groupe (dans lequel se trouve Fats Domino au piano). Le titre devient un très gros hit nationalen 1952, suivi cette même année par un second Oooh, oooh, oooh (N°4), et un troisième Restless heart (N°5), en 1953 il obtient 2 autres hits avec Ain't It A Shame? (N°4) et Tell Me Pretty Baby (N°8). 

Lloyd Price par faire l’armée en Corée en 1954, durant son absence Rupe  enregistre deux nouveaux artistes qui font de gros hits Little Richard et Larry Williams.

Price de retour fonde avec Harold Logan et Bill Boskent un nouveau label KRC records pour lequel il enregistre le titre Just Because, qui est racheté par ABC records qui en fait un hit national en 1957 (N°3), suivi la même année par Lonely Chair (N°88).

En 1959 il obtient un très gros hit avec Stagger Lee, qui se vend à plus d’1 million d’exemplaires et se place aussi bien dans les charts Rhythm and blues DSC05484.jpgque Pop (à la 1 ere place) et se vend également très bien à l’étranger (N°7 des UK charts), et Price passe également avec son titrer au show TV de Dick Clark American Bandstand. Stagger Lee est en fait une reprise rock plutôt violente avec un saxophone hurlant de Stack-o-lee un vieux standard du blues. Le saxophoniste est Merritt Mel Dalton que l’on retrouve sur les autres tubes ABC de Price, comme sur de très nombreux titres de cette période, et que l’on peut voir au côté de Lloyd Price lors de leur passage au show tv The Ed Sullivan Show.

Cette même année il obtient avec Personality un second N°1 (charts R & B) et N°2 des charts Pop) et N°9 (charts UK) et un troisième avec I'm Gonna Get Married N°1 (charts R &B) N°3 (charts Po) et N°23 (charts UK) mais aussi 2 autres tubes avec Where Were You (On Our Wedding Day?) N°4 (charts R&B), N°23 (charts Pop) et N°15 (charts UK) et Three Little Pigs N°15 (charts R & B).

En 1960 il obtient une nouvelle série de hits avec Come Into My Heart N°2 (charts R & B) et N° 20 (charts Pop), Wont'cha Come Home N°6 (charts R &B) et N°43 (charts Pop), Lady Luck N°3 (charts R & B) et N° 14 (charts Pop), Never Let Me Go N°26 (charts R &B) et N°82 (charts Pop), For Love N° 43 (charts Pop), Question N°5 (charts R & B) et N° 19 (charts Pop), Just Call Me (And I'll Understand) N° 79 (charts Pop)lloydpricecollect.jpg et Who Coulda'Told You (They Lied) N° 103 Pop.
En 1961 il obtient 2 hits avec (You Better) Know What You're Doin' N° 90 (charts Pop) et Mary and Man-O N° 110 (charts Pop).

 En 1962, il fonde avec son ami Harold Logan le label Double L Records sur lequel Wilson Pickett débute, et Pricve obtient 2 hits Under Your Spell Again N°123 (charts Pop).

En 1963 Price obtient un nouveaux hits avec Misty N° 11 (charts R & B) et N° 21 (charts Pop), suivi de trois en 1964 avec Billie Bay N° 84 (charts Pop), I Love You (I Just Love You) N° 123 (charts Pop) et de Amen N° 124 (charts Pop), d’un en 1965 avec If I Had My Life To Live Over N° 107 (charts Pop).

 En 1969 Logan est assassiné et Price fonde un nouveau label Turntable et ouvre un club à New York du même nom et Price obtient un hit avec Bad Conditions N° 21 (charts R & B).

Durant les 1970’s il obtient deux hits avec Trying To Slip (Away) N°32 (charts R & B) en 1973 et What Did You Do With my Love N°99 (charts R & B) en 1976.

En 1993 il fait une tournée triomphale en europe au côté de Jerry Lee Lewis, Little Richard et Gary Us Bonds, et en 2005 fait partie des Four Kings of Rhythm and blues au côté de Jerry Butler, Gene Chandler et Ben E King qui font une tournée particulièrement remarquée.

Le 9 Mars 2010 il est introduit au Louisiana Music Hall of Fame. Enfin on peut noter qu’une avenue porte son nom dans la ville de Kenner en Louisiane, qui célèbre une fête annuelle à son nom le Lloyd Price Day.

L’œuvre purement rock n’roll de Price se limite à la période Speciality (encore très Rhytyhm and blues) et Abc jusqu’au début des 1960’s (qui est du pur rock n’roll). Sa période sixties et  seventies est plutôt soul .

De la pèriode Speciality records de Lloyd Price je possède le 33 tours Lloyd Price . Original hits - The Speciality Story (SPY 28102) contenant les titres tous trés bon Lawdy miss Clawdy, Tell me pretty bay, Baby, come home, Jimmie Lee, i'm goin' back, I wish your picture was you, Where you at, Chee -koo baby, Oh, oh, oh, Too late for tears, country boy rock (titre absolument génial et pourtant méconnu), So long, Carry me home et Mailman blues.

De la pèriode Abc Paramount je possède la trés bonne compilation Lloyd Price "Mr. Personality's" 15 Hits Abc -Paramount (Mono - ABC - 324) contenant ses principaux classiques de l'époque soit Personality, Three little pigs, Where were you (on our wedding day)?, Come into my heart, never let me go, Lady luck, Have you ever had the blues?, Is it really love?, I'm gonna get married, You need love, Wont'cha come , Just because, Lawdy miss clawdy, Why et Stagger Lee et l'alum The Exiting Lloyd Price Abc- Paramount (ABCS-277) tout aussi interressant mais ayant des titres en doublont avec le précédent soit les titres Stagger Lee, I wish your picture as you, Talking abut love, What do you do to my heart?, You need you, Mailman blues, Where were you (on our wedding day?), Why, Lawdy miss clawdy, Oh, oh, oh, A foggy Day et Just Because.

Enfin le CD Lloyd Price The collection Brunswick  (XR0019)nous permet d'entendre des enregistrements plus récents qui permettent d'entendre Price des versions différentes de ses classiques rock et rhythm and blues des fifties mais aussi quelques uns de ses classiques Soul music soit les titres Hooked on a feeling, I'm gonna get married, lawdy Miss Clawdy, misty, mr & Mrs. Untrue, Personality, just because, Stagger Lee, Try a little tenderness, Where were you on our wedding day, You're nobody til somebody loves you, I'll be a fol for you, me and you and a dof named Boo et Ready for betty.


  Lloyd Price - Personality

 

Lloyd Price - Stagger Lee 

 


  Lloyd Price - Wont'cha Come Home

Découvrez la playlist lloyd Price avec Lloyd Price


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19 novembre 2010 5 19 /11 /novembre /2010 22:15

C’est essentiellement grâce à la tournée lang.jpgtriomphale en Grande Bretagne de Bill Haley que le Royaume Unis découvre le Rock n’roll. C’est sans doute aussi pour cet raison que Gordon Langhorn (alias Don Lang) joueur de Trombone et chanteur fasciné par le rock n’roll forme Don Lang and his Frantic Five. Le style du groupe est un Jump rock sinspiré des enregistrements Decca de Bill Haley and his Comets. Le goût des teenagers britanique de plus en plus attiré par le Rock n’roll lui permet de devenir rapidement une vbedette nationale passant dans le show musical télévisé de la BBC Six Five Special. En 1958 il atteint le top ten des charts de Grande Bretagne grâce à sa cover très rock n’roll de l’amusant Witch Doctor.
L’ensemble de ses faces 1950’s sont d’une qualité irréprochable dont certaines compositions comme son fameux Red Planet Rock de 1956 sont de véritables merveilles. On peut noter aussi en 1955
Cloudburst / Seventeen (cover des Fontane Sisters), en 1956 Rock Around the Island / Jumpin' to Conclusions, Rock and Roll Blues / Stop the World I Wanna Get Off, Sweet Sue Just for You / Lazy Latin et son classique Red Sputnik Rock (Red Planet Rock) / Texas Tambourine, en 1957 Rock Around the Cookhouse / Rock Mister Piper, Rock-A-Billy (cover de Guy Mitchell) / Come Go With Me (cover des Del Vikings) et School Day (Ring! Ring! Goes The Bell) (un cover de Chuck Berry qui lui permet de d’arriver à la 25 eme place des charts), Witch Doctor et A Hoot and a Holler / See You Friday et c’est en 1960 avec Sink the Bismarck qu’il obtient un dernier petit tube se classant à la 43 eme place des charts britanniques.
Devant son succès R-2300820-1275409861.jpgartistique, il fait repeindre avec humour sa Vauxhall Cresta en rose en référence à la Cadillac Rose d’Elvis Presley. Au début des sixties il revient en studio reprenant des classiques du rock us des 1950’s avec (mode du twist oblige) des chœurs qui chantent en rythme les mots Twist ! twist ! rajouté en studio !!
On peut noter également que l’on retrouve Lang au trombone sur le titre Revolution 1 un morceau du White album des Beatles. Il se retire de la musique à la fin des 1980’s, de son côté son fils Brad est bassiste sur des sessions de groupes comme ABC, Jade Warrior, Wham ! et Whishbone Ash. Don Lang décède d’un cancer à 67 ans tandis que ses enregistrements 1950’s sont réédité par Castle Communications.

Je posséde l'indispensable 33 tours Charly records / See-for-miles records  (CM 119) Don Lang and his Frantic 5 Rock rock rock, contenant 22 excemllents jump rock n'roll soit de 1956 Come go with me, Rock and roll blues, Rockaround the island et I want you to my baby, de 1957 Red planet rock, Texas tambourine, School day, Rock mister piper, rock around the cookhouse, Rock, rock, rock, rock-a-billy, Six five special et Four brothers, de 1958 Queen of the hop, Ram shackle daddy, 6-5 hand jive, Tequila, Hey Daddy et Witch doctor, de 1959 See you friday et de 1960 They call him cliff et Time machine.

J'ai également l'étonant The original Don Lang & the Twisters  Top twenty twists sur See-for-miles records (SEE 35) qui compile 20 titres de Don Lang avec un nouveau groupe the Twisters enregistré en 1962 sur Decca records. The twisters sont en réalité un groupe de sessionsdon_lang__witch_doctor3600.jpg réuni par le producteur Jack Good est formé par Red Price au saxophone, Reg Guest au piano, Andy White à la batterie, Big Jim Sullivan à la guitare et les Vernon Girls aux choeur faisant des: "Twist! twist!. La qualité est là mais cela reste des titres  infèrieur saux enregistrements 1950's de Lang avec ses Frantic 5. Nous trouvons les titres Whole Lotta Shakin´Goin´On (Jerry Lee Lewis), Great Balls Of Fire (Jerry Lee lewis), Rock Around The Clock (Bill Haley and Comets), I Go Ape (Neil Sedaka), Move It (Cliff Richard), Jailhouse Rock (Elvis Presley), Way Down Yonder In New Orleans (Gary Us Bonds), Wiggle, Wiggle, What´d I Say (Ray Charles),  Quarter To Three (Gary Us Bonds), Hit The Road Jack (Ray Charles), Sweet Little Sixteen (Chuck Berry), All Shook Up (Elvis Presley),  Chantilly Lace (The Big bopper),  Shake,Rattle And Roll (Bill Haley and Comets), Yakety Yak (The Coasters), Be-Bop-A-Lula (Gene Vincent and Blue Caps), Hound Dog (Elvis Presley), Splish Splash (Bobby Darin) et New Orleans (Gary Us Bonds).

Enfin je possède le fameux Ep 45 tours Don Lang and his "Frantic Five" La voix de son maitre (7 emf 156) rassemblant les titres Witch doctor, Red planet rock, Cool baby cool et Texas tambourine.

 

Don LANG & His Frantic Five " Boy Meets Girl " !!!

 

 Don Lang & His Frantic Five - White Silver Sands [1957]

 


Don Lang - Red Planet Rock

 

 

DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - 'Rock Mister ...
 

DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - 'White Silver Sands'  

 

DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - 'School Day

 

DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - 'Rock Around The Cookhouse'

 DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - 'Hey Daddy'


DON LANG & HIS FRANTIC FIVE - '6-5 Hand Jive'  
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19 novembre 2010 5 19 /11 /novembre /2010 22:14

Don Gibson est une desdon_gibson-rockin_rollin.jpg figures majeures de la scène country music américaine de laseconde moitier des années 1950’s jusqu’à la fin des 1970’s il place durant cette période presque une centaine de titres au hit parade !! .
C’est le 23 Avril 1928 que Donald Eugene Gibson voit le jour à Shelby (en Caroline du Nord-USA). Il enregistre avec son groupe Sons of the Soil son premier titre en 1948.
Mais c’est en 1957 pour RCA qu’il obtient ses premiers hits avec Oh lonesome me et I can’t stop loving you (qui sera aussi un tube pour Ray Charles avec sa cover). Il obtient ensuite d’autres hits avec Blue blue day et Look who’s blue en 1958, en 1959 avec Don’t tell me your troubles, en 1961 avec le génial Sea of Heartbreack et en 1962 avec Lonesome No1 et I can mend your broken hreart.

Sa carrière continu avec succès jusqu’au 1970’s on il est introduit en 1973 au Nashville Songwriters Hall of Fame, don-gibson-a-legend-in-my-time-download-18444.jpeget en 2003 au Country Music Hall of Fame avant de décéder en 2003.

La période qui nous intéresse est évidemment sa période RCA entre 1956 et 1962 durant laquelle il va laisser quelques petites perles du country rock n’roll.

En effet Gibson va faire durant cette période un pont stylistique particulièrement réussi entre le style des chanteurs de country et celui des rockers mais sans pour autant faire du rockabilly. Son style n’est pas si de celui de  certaines faces de rockers comme Jack Scott.

Gibson met toujours en avant la mélodie et le chant sans jamais tomber une seul fois dans la ballade ennuyeuse, lui préférant des rythmes mediums ou relevés juste ce qu’il faut.
On arrive même à se demander si certaines faces de Gibson ne sont pas du vrais rock n’roll et plus vraiment de la country music.

Je possède le 33 tours Bear Family Rockin' Rollin' Don Gibson (BFX 15089) contenant une grande partie de ses hits country rock de 1957 Sittin' here cryin', I love you still, I can't leave et Blue blue day, de 1958 Oh lonesome me et I don't know it, de 1959 Even tho' et Didn't work out, did it?, de 1960 Far far away et de 1961 Sea of heartreack auquel se rajoute des inédits comme Pretty rainbow, Tell it like it is, Who cares for me, Sweet sweet girl, Don't tell me your troubles et I sat back and let it happen.
J'ai également le CD A legend in time (Bear family BCD 15401) contenant quelques doublons mais aussi des titres nouveaux soit de 1957 Sittin'' here cryin' et Blue blue day, de 1958 I can't stop loving you, Look who's blue bad bad day, sweet sweet girl, Give myself a party et Oh lonesome blue, de 1959 If you don't know it, Who cares, lonesome old house, Don't tell me your troubles et I couldn't care less, de 1960 Didn't work out did it, A legend in my time, Far far away et Sweet dreams, de 1961 Sea of heartbreack et Lonesome number one, de 1962 I can mend your broken heart, et Sat back and let it happen paru sur le lp précité, et 4 nouveaux inédits If you knew me, If you don't knox sorro, Think of me et I'm crying inside.

 


Don Gibson - Oh, Lonesome Me

 

 Don Gibson - Oh, Lonesome Me (color)

 

Don Gibson - Blue blue day

 

Don Gibson - Gonna Give Myself a Party

 

Don Gibson and the Jordanaires - I Can't Stop Loving You

Découvrez la playlist Don Gibson avec Don Gibson
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19 novembre 2010 5 19 /11 /novembre /2010 22:11

Bobby Vee est une des teenage idoles DSC05428les plus talentueusse du début des sixties ne tombant jamais dans le piège de la chanson sirupeuse et insipide qui caractérise souvent le genre à l’époque, il obtient 38 hits qui rentrent au Hot 100 et 10 au top 20..
Ses chansons ont des mélodies et des arrangements originaux et particulièrement réussis dans lesquels on sent l’influence artistique de Buddy Holly.
Bobby Vee (Robert Thomas Velline est né le 30 Avril 1943 à Fargo (Dakota du nord –USA).Sa carrière commence avec la tragédie du 3 Février 1959 qui voit la disparition de Buddy Holly, Big Bopper et Ritchie Valens, en effet Vee qui admire Buddy Holly alors agé de 15 ans et continu la tournée avec son groupe.
C’est cette même année qu’il enregistre Suzie baby (titre inspiré par le Peggy Sue de Buddy Holly) pour un petit label de Minneapolis Soma records.  Il signe à la fin de l’année pour Liberty records pour qui il enregistre rapidemment une cover
DSC05427.jpgdu N°1 des charts UK  de l’époque What do you want ? d’Adam Faith suivi d’ une cover de Devil or Angel (un ballade doo wop 1950’s des Clovers qui atteind la sixième place des charts), mais c’est avec le très bon Rubber Ball qu’il obtient son premier hit majeur qui fait de lui une vedette internationale qui atteint aussi la 6 eme place des charts aux USA.
En 1961 il obtient un second gros hit avec le réussis Take good care of my baby (N°1 aux USA et N° 3 en UK) suivi la même année de More that i can say (N°4 UK) et Run to him (N°2 USA), en 1963 il obtient deux tubes qui atteignent la 3 eme place des charts US The night has a thousand eyes et Come back you grow up (titre qu’il réenregistre en 1967 accompagné par The Strangers).

Comme je l’ai écrit au début de cet article, l’ensemble des titres cités et la majorité des faces Liberty du début des sixties de Bobby Vee sont plutôt des réussites, jamais pénibles et toujours créatives.

En 1963, il enregistre un disque en hommage bobby-vee.jpgà son idôle Buddy Holly I Remember Buddy Holly

On peut aussi noter qu’il enregistre de nombreux « clips » destinés aux juke box à scopitones (des juke box qui passent des films sur un écran à la place de 45 tours), et apparait dans de nombreux films comme en 1962 Swingin’ along (1962), Double trouble (ou Ray Charles interprète What’d’i say) et Bobby Vee (More than i can say), Play it cool, en 1963 Just for fun et en 1967 C’mon let’s live a little.

Je possède deux best of en lp 33 tours de l'artiste chez Liberty records, le premier est un pressage US Liberty (LRP-3245) Bobby Vee's Golden greats compile 15 de ses hits soit  Take good care of my baby, Devil or angel, Rubber ball, Sharing you, Run to him, Punish her, Stayin' in, Please don't ask about Barbara, Walkin' with my angel, More than i can say, how many tears, Suzie Baby, One last kiss, Everyday et Someday, le second est une édition française United artists sur Sunset (SLS 50271) The very best of Bobby Vee avec une grande majorité de titres présent sur le précédent soit Ruber ball, Sharing you, Run to him, Take good care of my baby, Please don't ask to Barbabra, Walkin' with my angel et Devil or angel et des titres non présents comme Charms, Come back when you grow up et The night has a thousand eyes.

J'ai complété avec le CD A Portrait of... Bobby Vee de Revival SPA Double D Entertainmet de 1989 qui contient quelques uns de ses tubes présents sur les disques précédents comme Suzie Baby, Devil r Angel, Rubber ball, More than one can say, The night has a thousand eyes, How many tears, Run to him, Walkin' with my angel, Charms, Someday et Take good care of my baby mais aussi pasmal de titres nouveaux qui sont des covers trés originales et réussies de rock et de doo wop comme Summertime blues (Eddie cochran), Come go with me (The Del Vikings), Little Star (The Elegants), Earth Angel (The Penguins), Donna (Ritchie Valens), Lollipop (The Chordettes) et Sixteen candles (The Crests) et la composition hommage à Buddy Holly Buddy's song.


BOBBY_VEE___BUDDYS_SONG


"The Night Has A Thousand Eyes"


  Bobby Vee - Run to him

Bobby Vee - The Night Has A Thousand Eyes

 


  Bobby Vee - Sharin' you


Découvrez la playlist Bobby Vee avec Various Artists


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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 11:03

Le gospel est une influence inscontestable ducokestirrers.jpg doo wop, du rock n'roll, du Rhythm and blues et de la Soul. The Soul Stirrers est une formation majeure du genre durant la seconde moitier des 1940's avec R H Harris comme leadeur.  C'est en Janvier 1951 que Cooke rejoint le groupe, pour ce qui ne connaisse pas Sam Cooke (j'approfondirai évidemment son oeuvre solo sur ce blog) c'est probablement l'une (voir même la) des plus belles voix du rhythm and blues des 1950's et début 1960's qui enregistrera de nombreux chef d'oeuvre avant de devenir à l'instars de Jackie Wilson l'une des références de la soul music des sixties.

La première session de Cooke avec les Soul Stirrers date du 1er Mars 1951 (les Stirrers sont alors Roy Crain, Jesse J Farley, T L Bruster, Paul Foster et R B Robinson. On peut noter que déjas la voix fabuleuse de Cooke est reconnaissable sur Jesus give me a water, de la session de Février 1952 on peut noter He's my friend 'Til the end. Mais c'est en Mars 1954 sur I'll never forget que Cooke devient leadeur et cela change tout, de fevrier 1955 on peut noter Nearer to thee et One more river, de Fevrier 1956 on peut noter les fabuleux Touch the hem of his garment, He's so wonderful et Jesus wash away my troubles (qui marque le passage du gospel à la ballade soul!!). En 1956 les petits chef d'oeuvre I don't want to cry et Lovable  sont publié en 1957 sous le nom de Dale Cook par Art Rupe (de Speciality records) et le style incroyable de Sam Cooke est présent ce n'est plus du gospel mais bien du rhythm and blues, du rock noirou de la pré soul. Les titres suivants issus des même sessions sont publiés sous le nom de Sam Cooke et se sont de véritables perles dans lesquelles on peut apprécier Cooke dans toute la maitrise de son art comme I'll come running back to you, That's all need to know, Happy in love, I need you now, I don't want to cry et  Forever.

L'ensemble de ces titres plus d'autres sont présent dans la compilation ace records Sam Cooke and the Soul Stirrers Inn the Beginning Ace records (CDCHD 280)

 

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 00:18

Bob Crewe de son vrais nom crewe1.jpgStanley Robert Crewe est né le 12 Novembre 1931 (à Newark - New Jersey) sera producteur, compositeur de génie. Nous allons ici nous interresser à sa carrière de chanteur souvent meconnu du grand public.

Il écrit et interprette le hit Doo wop de 1957 ( en avance sur le son de l'époque) Silhouettes avec The Rays (N°3 au billboard). En 1958 il produit Lah dee dah pour Billy and Lillie  sur Swan records qui devient un hit (N°9 au Billboard), il particippe également aux sessions qui donne le son à Freddy Cannon de Thalahassee Lassee et Okefenokee.

Au début des sixties Bob Crewe écrit avec Bob Gaudio (ancien membre des Royalteens et compositeur de leurs tubes Short shorts) quelques uns des plus gros hits des Four Seasons de Frankie Valli comme Sherry, Big girls don't cry, Rag doll, Ronnie, Walk like a man, Bye bye baby et Connie-O.

Le succés du son Crewe lui permt de produire des artistes majeurs de l'époque comme Dee Dee Sharp, The Orlons et Ben E King. Il continue avec succés à produire des artistes jusqu'u début des années 2000's.

L'oeuvre discographique de Bob Crewe en tant qu'interprette est beaucoup plus obscures deux albums compilations CD paraissent en 2007 compilant les faces de Crewe. Le premier The Warwick Years (Warwick "2001) est assez inégal contenant certaines petites perles de teen rock et néo doo wop mais aussi des titres variété ou crooner plutôt indigestes. Soit 27 titres: Silhouettes, Let me entertain you, All the things you are, She's only Wonderful, Ain't that love, Autumn reverie, Kicks, The Whiffen poof song, Bess, you is my woman now, Let's pretend, Shakin' the blues away, Bye bye blackbird, Cool time, Quite a picture, Ev'ry time, Oh how i miss you tonight, let's get serious, crewe2.jpgTo ev'ry girl, Little girl of mine, crazy in the head, Luck be a lady tonight, Love's not for me, It's to soon to know, This little girl of mine, Water boy, Smilin' through et Azure.

Le second album cd Teen Idol Vol.2 Spotlight #2000 est beaucoup plus interressant ayant une majoritée de titres rythmé se rapprochant soit du rock n'roll soit  du doo wop dont certaines faces avec The Rays et the Cheerleaders. Des enregistrements sorties sur différents labels comme U.T. records, Spotlight, Abc-paramount, Vik, Coral et Brunswick nous trouvons les titres Daily, Swetie pie, Guessin' games, Don't call me chicken, I can't shake the blues, torn and tattered heart, Sweet talk, Of sun, the sea, and the sand, Charm bracelet (avec the Rays), Do be do be do (avec The Rays), I'm goin' home (on my way), One more lie; Swingin' family tree, La la loretta, One more tear, After the ball, Melody for lovers, Can't get away from it, Change of heart, bumble bee, The rhythm and the blues, how long, Penny, nickel, dime, quarter (on a teenage date)un trés bon jump rock à la Bill Haley, If took a long time (for the first time in my life), An angel is love, Punch (avec The Cheerleaders), It's all over (avec The Cheerleaders), This Nearly was mine et Although a good night kiss (avec Pat Laird).(A noter que les six derniers titres sont quand même assez indigestes car vraiment trop variété allant de la ballade sirupeuse à la variété à la Tom Jones.

 

Bob Crewe - Everytime  

 

BOB CREWE Featuring THE RAY`S  

 



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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 23:38

Paul Petersen (né le 23 Septembre 1945) petersen.jpgest avant tout un acteur qui joue dans un premier temps le fils de Donna Reed dans le feuilleton  The Donna Reed Show, et continu sa carrière d'acteur devnant l'officier de police Matt Houston (dans la série du même nom) et joue le rôle dfe l'auteur Paul Conway dans le film Mommy's day.

Mais évidemment c'est sa carrière de chanteur qui nous interresse ici, ses titres sont souvent des ballades mélancoliques pleines de violons et de choeurs dans la plus pure tradition des teenage idole du début des sixties oubliant bien souvent ce qu'est le rock n'roll.

Mais on peut noter le bon surf rapide dans le style des Beach Boys She rides with me, la belle ballade My dad (qui sera son plus grand succés (N° 6 au Billborad),  The Cheerleader un teenrock médium sympathique, You don't need money (un bon rock sixties) et She can't find her keys un amusant  teenrock médium. On peut noter qu'il signera chez Motown durant les 1960's. L'ensemble des titres cité sont sur la compilation Collectable My Dad (Col-CD-9932) au côté d'autres plus insipides comme Hey there beautiful, Keep your love locked, Lollipops and roses, Happy et Girl in the summertime.

 

 

"My Dad" - Paul Petersen

 

 

Paul Petersen - She Rides With Me  

 


 

 

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 23:12

The Hellkats est une formation de hellkats.jpgrockabilly Hollandaise (d'Amsterdam) formé par Michel Lizanzi (chant et guitare basse), Marco Ringnalda (chant et guitare), Patrick Kerger (chant et guitare) et Marco Willem (batterie). En 1992 ils enregistrent un albumù Bop pretty baby sur Rockhouse (Rockcd 9212) particulièrement réussi vraiment et dynamique qui n'est pas sans rappeller le son des groupes de britich rockabilly et Teddy and the Tigers. Les 17 titres sont tous sauvages, rapides et plein de speed un album à connaître absolument. En plus nous trouvons de nombreuses compositions originales comme Rock n'roll jump, Rockabilly mama, Pink cadillac, Girls girls girls, Do you need my knife, Darlee, Dirty old woman, Raunchy tonk et Rock energy.

Nous trouvons comme cover Shirley Lee (Bobby Lee trammel), Rock around with olee vee (Buddy Holly), Bop pretty baby (Crazy Cavan & Rhythm rockers), Geraldine (Jack Scott), Ajoen ajoen (traditionnel), Rockin' daddy (Sonny Fisher), Tired and sleepy (the Cochran Brothers) et Tore up (Hank Ballard, Ray Campi, Sleepy Labeef)

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 22:19

Ce cd est un hommage fait au rock n'roll Lemmy-_Slim_Jim_-_Danny_B_-_Lemmy-_Slim_Jim_-_Danny_B_-_Fro.jpgdes fifties par le légendaire chanteur de hard rock Lemmy Kilmister du groupe Mothorhead qui ici chante, joue de la guitare accoustique et de l'harmonica, il est accompagné à la batterie par Slim Jim Phantom (ancien membre des Stray Cats) à la batterie et au choeurs et Danny B Harvey à la contrebasse et guitare solo. L'album sort en 2000 sur SPV - Steahammer (LC 09002) et contient 18 classiques incontestable du rock des fifties comme Big River (johnny Cash), Lawdy miss clawdy (Lloyd Price), You got me dizzie ( du bluesmen Jimmy Reed), Cut accross shorty (d'Eddie Cochran), Tell me how (de Buddy Holly), Well... All Right (de Buddy Holly), Take your time (de buddy Holly encore), Stuck on you (de Elvis Presley), Love's made a fool of you (de Buddy Holly), Trying to get to you (de Rpoy Orbison pèriode rockabilly chez Sun records), Note fade away (de Buddy Holly), Fool's paradise (d'Eddie Cochran), Peggy Sue got a married (de Buddy Holly), Crying, waiting, hoping (de Buddy Holly), Learning the game (toujours de Buddy Holly), Matchbox (de Carl Perkins), True love ways (de Buddy Holly) et Heartbreack hotel (d'Elvis Presley).

Ce disque est un véritable disque de rock n'roll sans aucune influence hard rock voir même rock moderne, le son est dépouillé et le style tout en subtilité il raviera l'amateur de vrais rock n'roll mais va probablement dérouter le fan de Motorhead. Bravo et merci pour ce disque Lemmy.

 

Lemmy, Slim Jim, Danny B - Big River

 

 

Lemmy sings Buddy Holly's "Take your time", "Tell me how" and "Well... all right"

 

 

Lemmy Kilmister - Fool's paradise

 

 

Lemmy, Slim Jim, Danny B - Matchbox

 

 

 

 

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