Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
  • : Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
  • Contact

Recherche

Liens

2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 16:26

 P8060950

La Chevrolet 1955 cabriolet  De Bill Carr devient l'un des plus fabuleux custom qui sortira des atelier Barris et porte alors le nom de Aztec.

nineteen-vi

Le projet ne sera finaliser qu'au bout de 2 ans

 1955-Chevrolet-Barris-Aztec-Custom-le

Bill De Carr réalisera lui même de nombreuses modifications carrosserie comme par exemple les grands ailerons qui commençent par une prise d'air au dessus des portières, et l'allongement de 18 inch des ailes arrières. Les feux arrières sont réalisés à la main par Bob Hirohata.

P8061018

 

La face avant et arrière sont totalement redessinnées elles recoivent des calandres réalisées à partir d'éléments de Studebaker 1953, et des pare-chocs réalisés à partir d'éléments de Desoto 1957.

CoverAztec

Les 4 phares avants sont intégré à partir de ceux d'une Mercury Turnpike 1957, de même que les fender skirts (caches roues arrières)

Aztecr44 JPG-vi 

La voiture changera de propriétaire jusqu'à terminer dans une casse ou elle sortira pour être entièrement restauré par Barry Mazza

 AztecFullscan0022-vi

 

Bill-decarr-1955-chevrolet-aztec2 

 

--KGrHqZ--lgE3HR3cbYrBN1wHCDSqg--0_3.jpg

 

user69841_pic260416_1296590334.jpg

 

user69841_pic260582_1296599206.jpg

 

PA300032

 

user140410_pic261945_1296938522.jpg

 

user140410_pic261946_1296938522.jpg

 

P8230115or-vi.jpg

 

  132424111.jpg

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 16:25

On doit le projet du Dream Truck à Spencer Murray le premier éditeur du magazine Rod and Custom.

 TwilightCruise197-vi.jpg

C'est probablement la plus incroyable aventure du custom art des années cinquante dans laquelle vont se cotoyer quelques un des grand maître du genre.

 

 TwilightCruise188-vi.jpg

La Contruction commence en Septembre 1953 à partir d'un Pick Up Chevrolet 1950, il durera 5 ans réunissant un grand nombre de techniques et de détails stylistiques du custom des fifties.

 DreamTruck1-vi

Sam Gates  fera un top chop (rabaisser le toit) de 3 -3/8 inch puis un sectionning de la carrosserie (rabaisser puis ressouder la carrosserie) de 5- 1/3. Neil Emory et Clay Jensen de Valley Custom feront les finitions du top chop et du sectionning, et formeront à la main le tableau de bord.

845-vi 

Curly Davis finira le tableau de bord et travaillera sur les intèrieurs de portes.

Gene Winfield sectionne le capot (rabaissement du capot)

 DreamTruck2-vi

Les frères Barris rajoutent les 4 phares et les prises d'air sur le capot et le toit, et réalisent la calandre avant et arrière à partir d'élément de Studebaker 1954.

 DreamTruck3-vi

Bob Hirohata réalise et intègre les clignotants avants et arrières, tandis que Bob Metz rajoute les ailerons arrières

P5190116copy-vi 

Le Dream Truck recevra un V8 de chevy 1955 à la place du 6 cylindres.

 P9130036-vi

 

Durant son évolution le projet recevra plusieurs couleur, aujourd'hui il est recouvert d'un blanc métallisé avec des scallops violets entourés d'un liseret doré.

  001rodcustom5901-vi

 

DreamTruckPreCustomizing-vi

 

rodandcustom1-vi

 

P5190102copy-vi

 

P5190108copy-vi

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 16:19

  Bob Hirohata conduit cette Mercury 1951 chez Barris Kustoms afin qu'elle reçoivent un léger traitement custom.

 6a00d8341c52a953ef00e54f39a36a8833-640wi

 Lorsque l'auto sortira des ateliers Barris trois mois aprés ce n'est plus la même. Nous devons ce chef d'oeuvre du stylisme automobile à 3 personnes Sam Barris, George Barris et Frank Sonzogni.

 HirohataMerc2NEW

 

Sam Barris (frère de George) réalise tout d'abord le fabuleux top chop (rabaissement du toit) de 4 inch à l'avant et de 7 inch à l'arrière, qui a permis une inclinaisant plus poussée de la lunette arrière. HirohataMerc01

On peut noter une transformation subtile tout en courbe de la petite lunette arrière à côté de la portière,

 P3200063

Les ailes arrières sont allongées et des feux arrières de Lincoln 1952 y sont frenchés (intégrés), de même que les ailes avant ou sont intégrés des phares de Ford 1952.

 

 

hirohatamerc-vi 

Tout les chromes et insignes présent sur l'auto sont enlevés, (déchromming) la capot et les ailes avants sont alongées et arrondis vers la calandre.

 hirohata merc 2-vi

Cette dernière est réalisé à partir d'une calandre de ford 1950, et se continu par deux éléments se plaçant sous les phares frenchés recevant les clignotants.

 P7312522

Les Chromes latéraux qui divisent en deux couleurs l'auto sont réalisé à partir des baguettes latérales d'une Buick Rivièra 1953, et les chromes des prises d'air se plaçant aux extrémitées des fender skirts (caches roue arrière) sont réalisé à partir d'ééments de calandre de Chevrolet 1952.

P7312594 

La voiture se trouve rabaisser à l'avant et à l'arrière.

 MercuryHirohata201

Mécaniquement elle reçoit le V8 des Cadillac 1953, d'ou son premier nom Mercillac. Ce sera Dick Lyon de Lyon Engineering qui réalisera ce changement de moteur.

 P7312595

L'intèrieur Rolls and pleats blanc et vert sera l'oeuvre du célèbre atelier Carson Top Shop, la moquette sera l'oeuvre duGaylord's Kustom Shop.

 P9180011

Bob Hirohata réalise lui même les boutons du tableau de bord, qui seront mis en production plus tard par Cal Customs. Le tableau de bord sera pinstrippé par le célèbre Von Dutch.

 hirohata merc

L'auto sera recouverte de deux tons de vert, recevra des enjoliveurs Sombrero de Cadillac (d'abord de 1949 puis de 1953) et deux Appleton (phares de recherche).

 dyn006 original 750 390 pjpeg 2585156 326fb363469c6cd650141

Elle est présentée à l'Autorama de 1952, et aura droit à un article dans Rod and Custom (Octobre 1953).

 hiro

Lorsque Bob Hirohata traversera à son volant le pays sur la Route 66 pour se rendre au 4th Annual Indianapolis Custom Show. La voiture gagna plus de 184 prix (coupes dans les différents show ou elle fut présentée).

 P7312520

On peut noter son apparition dans le film Running Wild avec Mamie Van Doren et Keenan Wynn.

 

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 20:58

Ray Charles de son vrais nom Ray Charles Robinson est né à Albany en Georgie. Il est sans aucun doute l'une des plus grand chanteur de la musique populaire américaine, au côtés d'Elvis Presley ou Frank Sinatra. Ray à commencé sa carrière en faisant du blues teinté de Jazz, il enregistrent durant les fifties puis le début des sixties quelques uns des plus grand titres de rock n'roll de l'époque. Il garde jusqu'à la fin de sa vie une trés grande notoriété passant avec succés au Jazz à la variété avec quelques retours au Rhythm and blues de sa jeunesse.
Ray grandira au côté de ses parents et de son frère dans le quartier pauvre de Greenville en Floride, dés ses premières années il est attiré le boogie woogie que joue Pit Wiley le propriétaire du Red Wing Cafe.
A l'age de 7 ans il devient aveugle à cause d'un glaucome, son père décéde lorsqu'il à 10 ans et cinq ans plus sa mère disparait à son tour.

A l'école il commense le piano en jouant de la musique classique, mais il est attiré par le Jazz et le Blues qu'il entend à la radio. Rapidement son talent est reconnu au sein de l'école et commence à jouer du rhythm and blues régulièrement tout les vendredi et aux fêtes organisées dans son école (comme Halloween).  En 1943 Ray joue dans le groupe de Lawer Smith au Red hot club et Deluxe club du quartier français de Tallahassee et dans les boites des alentours de la ville. 
En 1945 au décés de sa mère, Ray  vit à Jacksonville et joue du piano dans l'orchestre du Ritz Theatre à Laville. Ensuite il déménage pour Orlando ou il joue dans l'orchestre les Floride Playboys. C'est à cette pèriode que Ray se fait une sérieuse réputation de pianiste.  Ray cherche alors à se faire un nom au niveau national et part pour Chicago puis New York, mais c'est à Seattle en 1947 qu'il enregistre pour la première fois pour Swing time records. Il obtient en 1949 son premier hit avec Confession blues (N° 2 des Charts R & B), son second hit pour le label il l'obtient en 1951 avec Baby, let me hold your hand (N° 5 des R & B charts). En 1952 il signe un contrat avec Atlantic records.
C'est chez Atlantic que Ray enregistrera ses premiers chef d'oeuvre qui feront un pont entre le rhythm and blues et le rock n'roll naissant avec son gros hit de 1953 le fantastique Mess Around, et surtout l'un des meilleur black rock n'roll I got a woman qui sera N° 1 des charts R &B en 1955. Il s'ensuit unje suite de hits comme This little girl of mine, Lonely avenue, Mary Ann, Drown in my own tears, The night time (is the right time) et le splendide Halleluiah i love her so.
Ray se fait alors accompagné par un fgroupe vocal féminin The Cookies qui se feront rebaptisé pour l'occasion The Realettes.

En 1959, Ray fait un succés international avec l'incontournable What'd i say (titre qui à l'origine était une improvisation de Ray en concert) le titre sera N° 1 des charts R & B et 6 des pop charts. Mais Ray quitte cette année là Atlantic pour Abc Paramount.
Sur son nouveau label il réalise de nouveau petits chef d'oeuvre comme Georgia on my mind (N° 1 des charts aux USA), le Rock Hit the road Jack (N° 1 des charts également) et Unchain my heart (N° 9 des charts).
C'est pour son nouveau label qu'il enregistre ses deux albums Modern sounds in country and western music Vol 1 et vol 2. Il rend hommage avec talent à la country music genre musical qui bercera sa jeunesse au même titre que le Jazz et le blues. En 1963 il obtient encore un hit majeur avec Busted (N° 4 des charts) et Take these chains from my heart (N° 8 des charts), en 1966  son Crying time monte à la 6 eme place des charts. Enfin il obtiendra un dernier hit pour Abc Paramount avec Here we go again en 1967.
Mais son style à partir de 1964 passe du Rock n'roll et rhythm and blues vers le Jazz et le crooner, ce qui lui permet de maintenir sa notoriété et à continuer de se classer dans les charts. En 1977 il participe au Saturday night live (un show tv d'NBC), dans un épisode du Cosby show et ses chansons sont utilisé dans un grand nombre de Bande original de film, et il apparait également dans l'excellent film The blues Brothers en 1980.
Je ne détaillerais pas la fin de la carrière de Ray car elle ne concerne plus vraiment mon propos sur le Rock n'roll. Pour moi la pèriode la plus exitente de Ray Charles se place entre Mess Around soit 1953 chez Atlantic et ses albums country de 1962 pour Abc Paramount.
Au niveau des albums son fameux album Rock n'roll Atlantic 8006 est un véritable chef d'oeuvre de rhythm and blues et black rock n'roll avec ses classiques Mess Around, Hallelujah i love her so, This little girl of mine, Ain't that love et biensur I got a woman, mais également Drown in my own tears, come back baby, Sinner's prayer, Funny (but i still love you), Losing hand, A fool for you, Mary Ann, Greenbacks et I don't you know.

C'est le seul album strictement Atlantic que je possède, mais je pense tous me les procurer par la suite, de chez ABC Paramount je possède le trés bon The genius hits of the road abcs 335 qui contient Alabamy bound, georgia on my mind, Basin street blues, Missippi mud, Moonlight in vermount, New york's my home, California, here i come, Moon over miami, Deep in the heart of texas, Carry me back to old virginny, Blue hawaii et Chatanooga choo-choo.
Mais également les insidpensables Modern sounds un country ans western music le vol 1 abc - 410 avec Bye bye love, You don't know me, Half as much, I love you so much it hurts, Just  a little lovin', Born to lose, worried mind, It makes no difference now, You win again, Careless love, I can't stop loving you, et Hey good lookin' et le volume 2 MBC 435 B avec You are my sunshine, Your cheatin' heart, no letter today, Someday, Don't tell me your troubles, midnight, oh lonesome me, take these chains from my hearts, Making believe, I'll never stand in your way, teardrops in my heart et Hang on your head in shame.
 Je me suis également procurer des best of, les 25 ans de Ray Charles ses plus grands succés de chez Atlantic un double disques qui compile sur le premier 33 tours ses tubes Atlantic avec It should have been me, The Mess around, Don't you know baby, I got a woman, A foll of you, Hallelujah i love her so, Drown in my own tears, Rock house, Lonely avenue, Ain't that love, Swanee river rock, Night time is the right time, Mary Ann, I believe to my soul, What'd i say, Just for a thrill, Yes indeed et Don't let the sun catch you cryin' et sur le second lp ses tubes Abc Paramount avec Georgia on my mind, Unchain my heart, Hit the road jack, One mint Julep, Ruby, I can't stop lovin' you, You are my sinshine, Born to lose, Busted, Cryin' time again, Let's get stoned, Yesterday, Understanding, Eleonor rigby, If you were mine, Don't change on me, Booty butt et Feel so bad.
Mais aussi le Greatest hits Ray Charles de chez London records qui compile plutôt des faces Paramount et quelques versions live de succés Atlantic comme Hallelujah i love her so et What'd i say. Nous trouvons aussi Take these chains from my heart, Your cheatin' heart, Baby, it's cold outside, Ruby, Don't set me free, Sweet georgia Broown,  Don't tell me your troubles, I can't stop loving you, Born to be blue, One mint julep, Unchain my heart, Lakin Whoopee (live) , Cry, Hard hearted Hannah, Cryin' time, Ol' man river, Hit the road jack, Stella by starlight, Busted, let's go get stoned, Cry me a river et  Georgia on my mind.

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 18:54

Les Blasters est un des groupes les plus influents dans le domaine du Rock n'roll à la fin des années 1970 et début des années 80 aux USA en même temps que les Stray Cats, mais dans un registre et un style totalement différent. Le groupe est originaire de Downey en Californie et formé par Phil Alvin (chant)  et son frère Dave Alvin  (guitare solo) du bassiste John Bazz qui sont rejoint par  Bill Bateman à la batterie.
C'est en 1979 que commence réellement l'histoire des Blasters qui commence à se faire un nom dans le domaine du rhythm and blues original des fifties qu'ils jouent avec succés dans les bars de bikers de la région de Los Angeles. C'est doucement mais surement, que le groupe devient un symbole de la scène rock de Los Angeles au côté des Los lobos et de X. Leurs premiers enregistrements sont produit par le légendaire label de rockabilly de la côte Ouest Rollin' Rock.  Ils collaborent aux enregistrements d'artistes comme John Cougar Mellecamp et Lee Allen.
Leur

Le succés il le rencontre avec l'album The Blasters sur Slash records distribué en france par disc AZ AZ/ 2 419 de 1982, qui contient 12 excellent compositions de rock n'roll dont  5 gros classiques du genre Marie marie (archi repris dirant la décénie) I'm Shakin', Border radio, American music et So long baby goodbye (l'original du Ca cogne des Alligators).  Les autres titres No other girl, Hollywood bed, Never no more blues, This is iut, Higway 61 , I love you so  et Stop the clock sont également de trés bon rock n'roll à la fois fidèle au son des fifties et complètement de leur temps. Se rajoute sur ce disque le pianiste Gene Taylor et les deux saxophonistes Lee Allen et Steve Berlin.
On peut noter cette même  le superbe live Live at the venue London  qui est réellement de la dynamite et qui contient 5 fantastiques reprises de rock ou rockabillty des fifties comme High school confidential, Rock boppin' baby, Keep a knockin', Go go go, et Roll 'em pete et la trés bonne compos I don't want to
Dans leurs style trés particulier et original il réalise en Janvier 1983 un autre album Non fiction réellement excellent qui malheureusement n'obtiendra pas le succés de leur premier lp , il contient 11 titres fabuleux plein du boogie rock n'roll caractéristique des Blasters: Red rose, Barefoot rock, Bus station, One more dance, It must be love, Jubilee train, Long white cadillac, Fool's paradise, Boomtown, Leaving et Tag along.
Enfin on peut noter l'album Hard line de 1985 toujours sur Slash  sans saxophones, avec des influences Cajun sur certains titres, et un jeu de guitare de Dave encore plus époustouflant de créativité.  On y trouve une suite de trés bon rock: Trouble bound, Just another sunday, Hey girl, Dark night, Little Honey, Samson Delilah, Colored lights, Help you dream, Common man et rock n'roll will stand. On peut noter que leur titre Dark night de cet album sera utilisé dans un épisode de la série Miami Vice en 1985, mais aussi dans la bande original du film de quentin tarentino et Robert Rodriguez Une nuit en enfer ( From Dusk Till Dawn.) , et enfin ils apparaissent et interpretent deux titres dans le film Street of fire de Walter Hill. Le groupe se séparrent lorsque Dave Alvin commence avec succés sa carrière solo en 1986.
      
    




The Blasters - Red Rose
envoyé par strayvick.

 


Blasters So long baby goodbye
envoyé par craven. - Clip, interview et concert.

 


The Blasters - Rock boppin' baby

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 10:34

Le Rockabilly boom du début des années 1980's qui atteint le monde est essentiellement du à un groupe originaire de New York les Stray cats.
Le leadeur est l'excellent chanteur guitariste Brian Setzer, ce dernier est né à Long Island (New York) en 1979 il forme un premier groupe The Tomcats dans lequel il est accompagné par son frère Gray à la batterie et Bob Beecher à la basse. Ensuite il forme un second groupe les Stray cats avec deux copains de lycée  Lee Rocker (Leon Drucker) à la contrebasse et Slim Jim phantom (James Mc Donnell) à la batterie.
Durant l'été 1980, le groupe part pour Londres, ou un revival rockabilly émerge avec des groupes comme les Blue cats ou Polecats.
Aprés un concert à Londres ils rencontrent le producteur Dave Edmunds, qui les fait enregistrer leur premier album  en 1981 pour le label Arista. Ils font 3 groupes tubes internationaux avec Runaway boys, Rock this town et Stray cats strut. Ces trois titres comme l'ensemble des titres de ce premier album ne peuvent pas se limiter à une copie du rockabilly des fifties, mais bien une réinterprétation du genre qui va déboucher rapidement pour des milliers de groupes suiveurs sur le Néo rockabilly. Même si les critiques de rock de l'époque souvent ignorant en Rockabilly, mettent les Stray cats entre le punk et le rockabilly. Véritable absurdité ou ils n'écoute pas la musique, on peut effectivement placé dans le "Punkabilly" les Cramps ou les Meteors mais pas les Stray cats. En effet, leur style n'est pas du revival copie conforme des fifties, ni non plus l'interprétation anglaise qu'en font avec talent les groupes Teddy boys comme Crazy Cavan and rhythm rockers, the Riot Rockers ou Little Tina and Flight 56. Les trois lascars nous font "leur" rockabilly à la fois proche du style originel mais également totalement ancré dans son époque.  Comme toute chose on accroche ou pas, mais on ne peut qu'admettre le talent du groupe aussi bien dans l'ionterprétation que dans la composition. Les trois tubes qu'ils obtiennet sont particulièrement réussis, de véritables classiques. Le premier album Arista AE 260 de 1981 appelé tout simplement Stray cats est sans aucun doute un album classique de l'histoire du rock n'roll, e, effet que du trés bon pas un seul bouche troue, on trouve les trois excellents tubes Runaway boys, Rock this town et Stray cats struts, mais également d'autres compisitions excellentes comme Fishnet stockings, Storm the Embassy, Rumble in brighton, Crawl up and Die et des reprises trés réussies de Jeannie Jeannie jeannie (d'Eddie Cochran l'idole de Brian)
Ubangui Stomp de Warren Smith (reprise avec des contretemps lui donnant un interressant style Ska) My One desire de Johnny Burnette et Double talkin baby de Gene Vincent.
Rapidement ils sortent leur second album Gonna Ball même s'il est moins aboutie que le précédent en n'ayant pas de tubes se tourne stylistiquement plus vers le rhythm and blues des fifties que vers le Rockabilly. L'ensemble des titres compositions et reprises: Baby blue eyes, Little miss prissy, wasn't that good, Cryin' shame, One more day, You don't believe me, Gonna ball, Wicked whisky, Rev it up & go, lonely summer nights et Crazy mixed-up kid sont toutes trés réussie allant du médium Rockabilly à la ballade rock n'roll, en passant par le rock n'roll ce qui fait un album trés agréable à écouter.
Ils retournent ensuite aux uSA ou ils sortent une compilation des deux albums Arista sur le lp Built for speed, et le succés des Stray cats sur leur terre natale est incroyable, et deviennent le groupe le plus célèbre du moment avec des passages remarqués sur MTV et deux gros tubes nationaux avec  Rock this town et Stray cats strut qui rentrent au top ten.
En 1983 sort leur troisième album Arista Rant n' rave with the Stray cats, ce dernier est aussi bon que leur premier lp avec une suite de compositions vraiment superbes: Rebels rules, Too hip, gotta go, Look at that cadillac, Something's wrong my radio, 18 miles to memphis, Sexy + 17, Dig Dirty boogie, I won't stand in your way, hot rod gang et How long you wanna live anyway?
Ils obtiennet deux gros tubes avec Sexy + 17 et la ballade doo wop I won't stand in your way.
Ce troisième album à l'instar du premier est un véritable morceau d'anthologie de l'histoire du rock.
Mais malheureusement le groupe se séparre et les membres font des disques solos pas réellement interressant, les albums qu'ils sortent à la fin des 1980's et début 1990's (Blast Off et Choo choo hot fish) sont nétement infèrieur à leur trois premier album arista. L'oeuvre solo de Brian Setzer redeviendra plus interressante avec son Orchestra et son jump blues swing dans les années 1990's mais ceci est une autre histoire.

 

 

 



 

 



 

Partager cet article
Repost0
23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 22:54

De nombreux rockers noirs de la fin des fifties et du début des sixties comme Sam Cooke, James Brown ou Jackie Wilson, préfigure la Soul Music des sixties, Marv Johnson est aussi de ceux là.
Marv Earl Johnson est originaire de Détroit dans le Michigan, il commence à chanter à l'église Baptiste tout les Dimaches.
Rapidement il élabore son style entre le Gospel et le Jump Blues de Louis Jordan (énorme vedette au début des fifties).
En 1958, il enregistre son premier simple My baby O et Once upon the time qui est des première production dE berry Gordy.
Lorsque Marv met en boite sa composition Come to me, Berry Gordy décide de faire de Marv le premier artiste qu'il va signer sur son label Tamla Motown. Mais le label n'a qu'une influence régionale, et les enregistrement de Marv rentre dans les charts nationaux, grace à la distribution de ses titres au niveau national par United artists records. Marv tournera tout dabord avec les Miracles et passera dans les programme de Alan Freed et l'American Bandstand tv show. Il fait ensuite des tournées avec Jackie Wilson et Sam Cooke. C'est son simple You've got what it take en 1959 qu'il devient une grosse vedette nationale, car son titre atteint dans le top ten et lui fait obtenir un disque d'or. Il obtien en 1960 deux autres gros tubes nationaux avec Happy days et You've got to move two mountain. Il obtient son trosième gros tube en 1961 avec Merry go round. Par la suite Marv continuera sa carrière chez Tamla Motown mais sans revenir dans les cahrts nationaux.
Au niveau des vinyls je conseille son premier lp the Marvelous Marv Johnson de 1960 united artist UAL 3081. Il est accompagné par l'orchestre de Don costa certains titres sont produit par Berry Gordy, d'autres par Don Costa et enfin pd'autres par Teddy Randazzo. Nous trouvons ses deux premiers gros succés Come to me et You got what it takes mais aussi des titres de trés bonne facture oscillant entre le rock noir, la ballade soul et le rhythm and blues comme September in the rain, Summertime, S'wonderful, I can't get started, Let me love you, Almost like being in love, Love is here to stay, i'm coming home, When i fall in love et Don't leave me.


Marv Johnson - Come to me 1959


Marv Johnson - You've got what it takes

Découvrez la playlist Marv Johnson avec Marv Johnson




Partager cet article
Repost0
23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 00:38

Des Rockers anglais, le précurseur du style au Royaume Unis est sans aucun doute Tommy Steele

Tommy Steele de son vrais nom Thomas Williams Hicks est né à Londre. Tommy ne fit pas son service par ce que réformé pour raison médical (cardiomyopathy), cela lui permet de jouer du Banjo et de la guitare mais aussi de chanter au 2I's Special une Bar du quartier de Soho (lieu légendaire du début du Rock n'roll en Angleterre). Il découvre en même temps les rockers américains comme Buddy Holly et Elvis Presley et quitte le skiffle pour se diriger artistiquement plus radicalement vers le rock n'roll. Sa carrière va décoler grâce au photographe John Kennedy et son manager Larry¨Parnes (qui lui trouvera son nom d'artiste "Tommy Steele"). Son premier disque le trés bon Rock with the caveman qu'il grave pour Decca records sera un tube national en 1956, suivi de son plus gros tube la reprise du Sinning the blues de Guy Mitchell (N° 1 des charts UK) début 1957.
Il réalisera quelques classiques du rock n'roll anglais avec son groupe Les Steelmen comme en 1956 Elevator rock, Doomsday rock, Sining the blues et Rebel rock (que du trés bon), en 1957 Knee deep the blues, teenage party (N° 15 uk charts), butterfingers, Cannibal pot (N° 8 UK charts), Shiralee, Grandad's rock (N° 11 UK charts), Water, water, A handfull of songs (N° 5 uk charts), en 1958 Happy guitar, Princess (N° 20 uk charts), Nairobi, Neon sign (N° 3 Uk charts), et Only man on the island, i put the lightie on (N° 16 uk charts).
Du point de vue strictement Rock n'roll ses faces les plus interressantes sont sans aucun doute celles de 1956 et 1957. A partir de 1958 il fait une carrière solo et se tourne artistiquement vers la pop voir le crooner. Mais ces faces rock n'roll avec ses steelmen sont réellement superbes, avec une énergie, une originalité qui font d'elles un style à part entière typiquement anglais loin d'une ppale copie du rock américain.
Même s'il s'éloigne du rock n'roll, il fait une carrière d'acteur avec succés, et continue à faire des tubes au hit parade UK jusqu'en 1961, et continu à enregistrer pour Decca jusqu'en 1963, puis passe chez RCA en 1965, Vista en 1967, PYE en 1974.
Il tourne dans de nombreux films, mais il faut voir et écouter son premier film The tommy Steele story de 1957, qui contient un grand nombre de ses meilleurs rock.
Le lp absolument
 indispensable est justement la bande audio du film The Tommy Steele Story de 1957 decca LFT 1288 (qui sera réédité durant les 80's) avec Take me back, baby, Butterfingers, I like, A handfull of songs, You gotta go, Water water, Cannibal pot, Will it be you, Two eyes, build up, Time to kill, Elevator rock, Doomsday rock et Teenage party.
Son disque live Tommy Steele Stage Show decca LF 1287 aussi de 1957, est également trés bon comprenant Giddy up a ding dong, Treasure of love, Honky tonk blues, Razzle dazzle, Kaw liga, Teenage party, Wedding bells, What is thing called love On the move et rock with the caveman.

 

Le 25 cm Tommy Steele Story (BO du film) est décliné en eP je possède le N° 1 sur Decca (DFE 6398) avec les titres Take me back, baby, Water, water, Will it be you et Build up.

DSC05539.jpg

 

 

 

 



 

 

Partager cet article
Repost0
16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 15:03

Paul Anka est sans doute le premier chanteur de teenrock de l'histoire du Rock n'roll, de ce fait ses plus gros succés sont plutôt des chansons langoureuse que du Rock n'roll sauvage. Paul Anka est né au Canada, et dés 14 ans il enregistre son premier titre I confess. Il se produit durant l'été 1957 devant Don Costa et d'autres responsable de la nouvelle compagnie de disque Abc Paramount, qui sont impressionnés par le talent de Paul Anka, mais également dans le tube qui someille dans la chanson qui leur interprette Diana. Le titre est alors rapidemment enregistré.
Le 7 aout 1957 il fait sa première apparition TV à l'American Bandstand ou il interprette son titre Diana. Ce titre est un des slow au rythme médium les plus réussi, une trés bonne mélodie, un accompagnement loin d'être soporifique, en résumé un archétype du slow rock. Il composa ce titre pour sa baby sitter Diana Ayou dont il était amoureux. Le succés fut immédiat et Diana devient numéros 1 aux USA, mais aussi à l'étranger. Diana reste toujours aujourd'hui l'un des simples les plus vendu de l'histoire avec 9 millions d'exemplaires.
En Septembre, il fait partie de la tournée Biggest Show of Stars qui se produit dans tout les USA (Theatre Paramounr de New York, Pittsburg, Norfolk, Akron, Cincinnati, Columbus, Chattanooga, birmingham, Nouvelle Orléans et Memphis). Il est à la même affiche que Buddy Holly and The Crickets,  the Everly Brothers, Chuck Berry, the Bobettes, Drifters, Frankie Lymon & the Teenagers, LaVern Baker, Jimmy Bowen, Sam "The Man" Taylor et Clyde McPhatter. Il passe également à l'émission de tv le  Ed Sullivan Show au côté de Jimmy Rodgers et Sam Cooke et fait une tournée européenne. Et de retour aux USA, il repart en tournée au côté de Buddy Holly & The Crickets, Eddie Cochran, the Rays, Royal Teens, Danny & the Juniors, the Hollywood Flames, Mello-Kings, Shepherd Sisters, Margie Rayburn,et  the Tuneweavers , puis part en tournée à Hawaï et en Australie aux côtés des Crickets, Jerry Lee lewis et Jodie Sands. 
En 1958 il fait partie du Alan Freed's Big Beat Show pour 6 semaines de concerts avec Chuck Berry,  Clyde McPhatter and the Drifters, Everly Brothers et Frankie Lymon & The Teenagers et partira même se produire à Tokyo (Japon) .
En 1959, il sera la vedette de l'émition TV the Perry Como showmais aussi d'un Ed Sullivan Show,  et particippe à  plusieurs DICK CLARK'S SATURDAY NIGHT SHOW aux côtés de Dale Hawkins, Coasters, Fabian, Dee Clark, Brenda Lee, Crew Cuts, Bobby rydell et d'autres...
Durant les fifties et sixties il accumulent lles tubes You Are My Destiny, Crazy Love, Put your hair on my shoulder It's time to cry, Puppy love et My home town.
En 1962, il signe chez RCA records quittant Abc Paramount qui a fait de lui une trés grande vedette.
Durant les sixties la popularité de Paul Anka resta à peu prés constante, même s'il se concentre vers une carrière de Crooner son public viellit alors avec lui, il participe toujours à de trés nombreux programmes Tv. Durant les années 1970's jusqu'aux années 2000 il reste une valeur sur de la chanson populaire américaine, continuant à faire des salles combles et des émissions de TV dans le monde entier.
En 1962 on peut noter son apparition dans le film sur Le débarquement de Normandie Le jour le plus long.
Au niveau disque, il vaut mieux se concentrer sur la pèriode Abc paramount (1957-1961) qui contient sans aucun doute ses meilleurs titres.  Les deux best Of du label parues fin fifties et début sixties sont vivement recommandé.
Le Paul Anka sing his Big 15 ABC 323 contient le génial Diana, les classsiques Put your head on my shoulder, Crazy love, Lonely boy et Puppy love, mais aussi de trés bons titres moins connus et plus rapidescomme don't gamble with love,  I love you baby et That's love et des sympathiques titres comme Midnight ou Adam and Eve, mais aussi des titres plus romantiques et moins exitant comme Don't ever let me go, ou carrément un peu trop crooner et pénible comme It's time to cry, My heart sings, I miss you so et You are my destiny. Mais en résumé l'oeuvre de Paul Anka chez Paramount est bien plus interressantes que sirupeuse.
Le second Best of Abc Prarmount Paul Anka sings his big 15 vol.2 ABC 390 contient comme le précédent du trés bon et du moins bon: des classiques comme The story of my love, When i stop loving (that'll be the day), Just young des mediums rocks splendides comme Tell me that you love me, Something has changed me, I love you in the same old way, I'd have to share et surtout Let the bells keep ringing, des titres sympathiques comme My home town et Late last night, des slows un peu sirupeux comme Summer's gone, Your love et  Something happened des titres carrément kitch variété Tonight, my love tonight et Dance on little girl.
Autrement il existe des compilations plus récentes des classiques de Paul Anka comme celle sortie dans la série Let's dance to the Wolfman Jack collection KTEL records elle contient Lonely boy, Just Young, Hello Young lovers, I love you baby, Puppy love, Let the bells keep ringing, Don't gamble with love, Story of my love, You are my destiny, Crazy love, Don't ever leave me, Kissin' on the phone (bon teen rock), My heart sings, cinderella, I miss you so, When i stop loving you, Put your hear on my shoulder et bien sur Diana. Evidemment une telle sélection de titres ne peut que faire apprécier l'oeuvre de Paul Anka et oublier certains de ses titres plus  ennuyeux.
Au niveau des 45 tours Ep Paul Anka en publie un grand nombre je suis loin de tous les posséder

Le classique ABC 45.90.831 Diana , Don't gamble with love, Tell me that you love me et I love you baby.













Le ABC 45.90.839 avec Crazy love , Let the bells keep ringing, Down by the river side et I'm still waiting


Le ABC 45 90.842 avec Just young, So it's goodbye, Your cheatin heart et Jambalaya




















Le Abc 45 90.857 avec Lonely boy, Sing, sing, sing, Your love et Verboten!




 

 







Partager cet article
Repost0
15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 18:26

Connie Francis est une des chanteuse américaine les plus populaires de la fin des fifties et début des sixties, elle obtient un grand nombre de gros tube nationaux et internationaux durant cette pèriode avec des titres comme Who's Sorry Now?, Lipstick on Your Collar, Where the Boys Are, Stupid Cupid, Everybody's Somebody's Fool, My Heart Has a Mind of Its Own et Don't Break the Heart That Loves You. Mais bien souvent ses succés sont plus de l'ordre de la chansons de charme que du rock n'roll si ce n'est sa trés bonne reprise de Stupid cupid (même si elle reste infèrieure à la version de Wanda Jackson), mais surtout l'excellent Lipstick on your collar.
De son vrais nom Concetta Maria Franconero, est comme son nom l'indique d'origine italienne et voit le jour dans le New Jersey. C'est à la suite d'une apparition dans le Ford Startime qu'elle change son nom pour Francis. Son premier single Francis obtient en 1955 un certain succés, mais avec les 9 autres simples suivant elle n'arrive toujours pas à obtenir de véritable gros tubes, c'est grâce à l'aide de Bobby Darin qui lui écrit quelques chansons qu'elle finit par se faire remarquer et tourne dans la série tv This is your life.

Lorsque Connie semble complètement décourager par son manque de succés qu'elle enregistre une version d'un titre de 1923 Who's sorry know? pour MGM. En Janvier 1958, elle interprette le titre dans le show tv de Dick Clark l'American Bandstand, et c'est le succés qui vient alors à Connie qui vend trés rapidement plus d'1 million d'exemplaire de son disque, et qu'ellle commence à conquérir le monde en devenant également numéro 1 au hit pararde Anglais.
C'est alors le début de sa série de succés dont certains sont écrit par le duo  Neil Sedaka et Howard Greenfield (Stupid cupid, Fallin et Where the boys are) En 1960 elle devient la plus jeune artiste à se produire en vedette à Las Vegas. Elle obtient 2 nouveau N° 1 au hit parade avec Everybody is somebody fool et My heart has a mind of it's own. En 1961 elle anime son show tv sur ABC télévision The Kicking sound around. En 1962 elle apparait au Ed Sullivan show avec Johnny Halliday dans un show au Moulin rouge de Paris, en 1963 elle chante pour la reine Elisabeth 2 au théâtre de l'Alambra de Glasgow. En 1967 Connie à obtenu 40 hits dont 3 numéros 1.  Elle n'obtiendra plus de gros tubes durant les décennies suivantes, et se tourne vers la country music. 
Pour un amateur de rock n'roll la complète de Connie Francis est dispensable par contre son excellent album Connie Francis sings Rock n'roll million sellers MGM SE 3794 doit être acheté, en effet il ne contient que des rocks. Son style n'est pas explosif mais son talent d'interprette est tel qu'on ne peut qu'adorrer ce lp il contient pour moi le meilleur de Connie soit : Heartbreack hotel, Tweedle dee, I almost lost my mind, I hear you knockin', Just a dream, Don't be cruel, lipstick on your collar, Sincerely, Ain't that a shame, Silhouettes, I'm walkin' et It's only make believe.Elle y interprette avec un grand talent des titres du répertoire d'Elvis Presley, comme des titres de groupes Doo wop ou de Fats Domino.

 

 

 

 




Connie Francis - Stupid cupid

Connie Francis - Sincerely

Connie Francis - Lipstick on your collar

Connie Francis - stupid cupid live 1959

Partager cet article
Repost0