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  • : Rockin-records le son du rock n'roll authentique au travers des disques
  • : Ce site présente le rock n'roll des fifties (1950's) sous ses différents courants musicaux: Rockabilly, Jump, Jive, Doo Wop, rhythm and blues, teen rock, twist au travers des disques.
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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 23:36

Chuck Willis originaire d'Atlanta sera autant un émouvant chanteur de ballades blues qu'un solide blues shouter. Durant sa courte carrière il réalisera quelques classiques du rhythm and blues et du rock n'roll noir. En 1957 il avec sa reprise rock n'roll du classique Folk blues C.C.Rider,  avec son rock I Feel so bad (repris par Elvis Presley, Little Milton et Otis Rush) avec ses ballades Don't deceive me et It's too late (qui sera reprise par Buddy Holly, Charlie Rich et Otis Redding) mais aussi avec son trés bon Rock Hang up my rock n'roll shoes.

De son vrais nom Harold Willis commence sa carrière en chantant sur la radio d'Atlanta YMCA, le DJ Zenas "Daddy" Sears persuadé du talent de chuck lui fait enregistrer en 1951 1 single chez Columbia records. Il signe ensuite chez Okey records, et obtient un tube national avec la ballade My Story en 1952. L'année suivante il obtient deux nouveaux tubes avec les ballades Goin' to the river (reprise de fats Domino) et  Don't deceive me. En 1954 il obtient deux nouveau tubes nationaux avec You're still my baby et le rock au rhythm latin I feel so bad.

Chuck Willis part pour Atlantic Records et immédiatement obtient des tubes  avec It's to late et Juanita. En 1957, il obtient son premier n° 1 au hit parade rhythm and blues avec CC Rider, qui lui vaudra des passages tv dont un  à l'american Bandstand tv show de Dick Clark. Il est accompagné par le sax alto Gene "Daddy G" Barge qui y fait un magnifique solo.

Barge fera un similaire solo sur le tube suivant de Chuck le splendide medium rock Betty and Dupree. C'est durant cette pèriode qu'il obtiendra le surnom de King of stroll.
Souffrant d'ulcères, il meurt en 1958 d'un péritonite, et obtient 4 tubes posthumes avec What am i living for , le génial Hang up my rock n'roll shoes mais aussi en fin d'année avec My life et Keep a driving.

L'album indispensable de chuck Willis est l'incontournable album The king of stroll Atlantic 8018 qui contient quelques un des plus beau rhythm and blues et rock n'roll noir des fifties: Betty and Dupree, That train is gone, Love me cherry, Juanita, It's too late, C.C. Rider, My life, Whatcha gonna do when your baby leaves you, Kansas city woman, There's got to be a way, Ease the pain, Thunder and lightning et My Crying life.

Découvrez la playlist Chuck Willis avec Chuck Willis
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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 20:49

Le duo Robert and Johnny enregistre en 1958, le plus gros succés du label du producteur Hy Weiss Old town We belong together. Cette ballade teenager classique est particulièrement réussie, et se classera 18 des charts Rhythm & Blues et 32 des charts pop.
C'est en 1956 que Weiss créateur de Old town records passe en audition Robert Carr et Johnny Mitchell. Ces deux jeunes sont roriginaire du même bloc d'imeuble dyu quartier du Bronx à New York. Leur premier tube (régional) sera I believe in you, ils enchaine ensuite par des rocks comme Brocken hearted man et don't do it et la ballade You're mine qui annonce leur future mégatube We belong together.
Le succés national de We belong together permettra au duo de participer aux shows de Alan Freed, et de faire des passages à l'émission TV American Bandstand de Dick clark. Malgrés un certain nombre de trés bon titres allant de la ballade, au rock en passant par de solides rhythm and blues Robert and Johnny n'obtiendront aucun autre succés.
L'ensemble des enregistrements de Robert & Johnny est présent sur le lp ace CH 172 We belong together.
Nous trouvons les titres We belong together, Don't do it, Bad dan, Baby baby, Broken hearted man, Give me rthe key to your heart, Gosh oh gee, Eternity with you, Hear my heart beat, Indian marriage, You're mine, Oh my love, Baby girl, I don't want anything but you, Please me please
et Wear this ring.

Découvrez la playlist Robert and Johnny avec ROBERT AND JOHNNY
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10 septembre 2009 4 10 /09 /septembre /2009 16:51

Le label Aladdin est une des grande référence du rhythm and blues des fifties, et Thurston Harris avec son génial Little Bitty Pretty One  (une reprise de Bobby Day) obtiendra le plus tube du label en 1957 5N° 2 des charts R & B et N° 7 des charts pop). Harris commence sa carrière comme membre de formations doo wop dans le Sud de Los Angeles.
Le label Aladdin de son côté s'est  forgé une trés solide réputation dans le Jazz et Rhythm and blues, mais n'a pas pu réellement rentrer sur le nouveau marché du rock n'roll n'ayant pas trouvé son Chuck berry comme Chess, son Fats Domino comme Imperial, son Ray Charles comme Atlantic ou son little Richard comme Speciality.
Thurston Harris sera la révélation rock n'roll du label avec un ensemble de sessions fabuleuses entre 1957 et 1961.  La session d'Aout 1957 permettra l'enregistrement du classique Little bitty pretty one, et de I hope you won't hold it against me (la face b du simple), et de Do what you did (rentrera au top 20 R & B en 1958). En Septembre il met en boite I got loaded (In Smokey Joe's joint) ou il est accompagné à la guitare par Wilburn Whitfield. En Janvier 1958 il enregistre une série de classique avec Hey baba leba, I'm out to getcha, You're gonna'need me. En Juin la B side de You're Gonna avec Over and over et deux autres simple Purple Stew / In the bottom of my heart et My love will last/ Hey little girl.
On peut enfin noter les trés bons Runk bunk de Mars 1959 et la reprise d'Amos Milburn (la grosse vedette d'Aladdin)  One Scotch, one bourbon and one beer en Janvier 1961. Nous trouvons l'ensemble des titres Aladdin de Harris par ordre chronologique sur l'indispensable  lp Little bitty pretty one Aladdin/Emi.

 

Thurston Harris - Hey baba leba
.

Thurston Harris Over and over

Thurston Harris - I Hope You Won't Hold It Against Me

Thurston Harris-Little Bitty Pretty One

John Carpenter's Christine - The Death of Moochie Welch

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 11:40

Afin de bien voir l'importance de Fats Domino dans l'histoire du rock, il ne faut pas perdre de vue qu'il est le plus gros vendeur de Rock n'roll aprés Elvis Presley. Nous verons dans cet article l'oeuvre de Fats Domino sur le label imperial (son age d'or) qui s'étend entre 1949 et 1962. La première séance de Fats pour Imperial records date de Décembre 1949, elle réunie Fats (piano et chant), Herbert Herdesty & Clarence Hall (saxophonistes ténors), Alvin Tyler (Saxophone baryton), Joe Harris (Saxophone alto), Ernest McLean (Guitare), Frank Field ( basse) et Earl palmer (Batterie). Le style de ses premiers titres sont proche du style de Roy Brown, Big Joe Turner ou Louis  Jordan. Il obtient pourtant son premier méga tube national avec The Fat Man, on peut aussi noter des titres comme Detroit city blues,  Junker Blues (reprise de Champion Jack Dupree), Hide away blues, She's my baby (dans le style d'Amos Milburn), Brand new baby , Litlle Bee (qui sera interdit par la censure à la radio par ce que parlant de tour de poitrine!!!), Boogie Woogie baby, Hey! là bas (dans le style de Louis Jordan), Korea Blues (avec les sonneries militaires de Dave Bartholomew à la trompette), enfin  Everynight,  Careless love, Don't you lie to me et Rockin' chair annonce le futur style de Fats. C'est avec Goin' Home de 1951 que Fats Domino obtient son style inimitable qui llui vaudra une telle popularité durant les années cinquantes. Mais le groupe de Fats s'est déjas modifié depuis 1949 nous trouvons Harrison Verrett (guitare qui est son beau frère!), Billy Diamond (basse), Cornelius Coleman (batterie), Wendell Duconge et Buddy Hagans (saxophones).


A partir de 1952 il continu à enregistrer des purs rhythm and blues comme Long lonesome journey et Cheatin'. Sa reprise du classique de Professor Longhair Mardis Gras se caractérise par des influences de la musique des Caraïbes. Fats fait d'un blues Going to the river un morceau qui balance une sorte de rock primitif.  Second line Jump et Goodbye (de Shirley Goodman du duo Shirley and Lee) sont eux aussi des titres entre Rhythm and blues et rock n'roll.Mais c'est surtout sa reprise du Swanee river boogie d'Albert Ammons sous le nom Swanee River Hop que le passage du style de Fats vers le rock n'roll est le plus sensible.
Le premier véritable rock de Fats est sans doute le génial Please don't leave me dans lequel Fats commence le titre par une minute de Wou wou suivis de 5 secondes de paroles simple mais bigrement efficace. On peut noter la reprise rockabilly qu'en fit les Burnette Brothers.
You said you love me est le premier slow de Fats il possède déjas tout les ingrédients du génial Blueberry hill. Les titres Rose Mary, Ain't it good, Don't leave me this way et Fat's frenzy sont dans la même veine que Please don't leave me des vrais rock teinté de Nouvelle Orléans. Long lonesome journey et Something's wrong sont de leurs côté des slows rythmés sorte de médium rock. En 1953 et 1955, Fats et son groupe aprés avoir aquirent le haut des hit parades Rhythm and blues et veulent s'attaquer au charts Pop soit au public blanc. Son groupe se compose alors de Walter "Papoose" Nelson, Ernest Mc Lean (guitares), Billy Diamond, Frank Fields (Basse), Coenelius "Teeno" Coleman (batterie), Wendell Duconge, Clartence Ford (saxophones alto), Robert Buddy Hagans, Herb Hardesty et Lee Allen (saxophones ténors) et biensur Dave Bartolomew à la trompette.


Ils commencent par quelques titres bien maîtrisés comme 44, Little School girl (dans le style de Professor Longhair), If you need me, You done me wrong, Where did you stay, You can pack your suitcase, Love me et You don't you know. Malgrés la qualité et le rythme de ces titres, ils n'ont pas l'étoffe des tubes.
Par contre All by myself est  un petit chef d'oeuvre qui sonne même rock blanc!! En 1955 il réalise une suite de classiques et de tubes incontournables comme Ain't that a shame ( qui rentre  dans les charts pop et dont on peu noter une reprise de Pat Boone ), La la, Blue Monday et Poor me (tout ces titres atteignent les sommets des charts rhythm and blues).De cette fin d'abnnée 1955 jusqu'à 1957 on entre dans l'age d'or de Fats qui rentre avec plusieurs titres dans le hit parade blanc. On peut noter I can't go on (avec un trés bon solo de saxophone), I'm in love again et Bo weevil (qui est le second titre de Fats à rentrer dans les hit parades blancs). S'en suivent des titres qui ne seront pas des tubes mais qui sont de trés bons rocks comme Don't blame it on me, Howdy Podner, I can't hill, Valley of tears, I can't go on this way, Don't know what's wrong, The twist set me free, What's the reason i'm not pleasing you, ida jane, Honey chile, Don't deceive me, the rosster song, telling lies et Wait and see. Chacun de ses titres mettent en évidence la structure caractéristique du tandem Fats Domino /  Dave Bartholomew soit une introduction, une oartie chantée, un solo de saxophone et une autre partie chantée. C'est aussi à cette pèriode qu'il réalise ses plus grands classiques et tubes My blue heaven, When my dreamboat comes home, I'm walkin' et Blueberry hill (tellement réussit qu'on en oublie la version de Louis Armstrong).
Entre Janvier 1957 et Novembre 1958 Fats fera 19 sessions d'enregistrement et la grande majorité des titresde cette pèriode sont du pur rock n'roll citons Sailor boy, The big beat, My love for her, I want you to know, No no et Sick and tired.

 


On peu aussi noter comme trock plus médium: Prisoner's song (un swamp pop), You rascal you (un vieux standard), I'm gonna be a wheel someday (qui sera aussi repris par Bobby Mitchell), How can i be happy, Lazy woman, Isle of capri (repris par Johnnie Allan), Coquette, Sheik of Araby. En 1958 Fats n'obtient pas de gros tubes mais il a déjas vendu 25 millions de disques!!. Enfin on peut citer son trés bon I want you to know sera un tube pour Cliff Richard et pour les Chats Sauvages (sous le titre Oh boy).
 De la fin de 1958 à la fin de 1959 Fats enregistre d'autre classique du black rock n'roll comme Whole lotta loving, Margie, I'll always be in love with you, So glad, Darktown Strutter's ball, Lil' Zina Jane, I hear you knockin (reprise de smiley lewis), et les géniaux Country boy et I'm ready.

 

 

 

 

 

 

 

Il enregistrent aussi quelques trés bon slow comme I miss you so, If you need me, Easter parade et I want to walk you home.
La pèriode suivante jusquau début de 1961 voit de nouveaux des gros tubes dans les hit parade pour Fats dont le génial Walking to new orleans (composition de Bobby Charles), mais aussi Be my guest, Ain't gonna do it, Three night a week, My girl Josephine et I keeps rainin'.  D'autres titres méritent aussi d'être cités comme Shu ra, Ain't that just like a womanTrouble in mind, Holds hands et I've been calling. Ses dernières sessions Imperial entre Juin 1961 et Juin 1962 sont riches en classiques Rock n'roll comme Let the four wind Bows, What a party, Rockin Bicycle, et When i was young mais on peut également signaler des reprises de Hank Williams: You Win again, Your cheatin' heart et Jambalaya.

 

 

 

 

 

 

Au niveau des lps, pour la première pèriode soit 1950 à 1953, la compilation Boogie Woogie baby de Ace records  CHD 140 est une alternative interressante (il s'agit en réalité de la réédition du Rare Dominos du label Liberty de 1969) on trouve de 1950 Stay away, What's the matter baby, Hey las as bas boogie, Boogie woogie baby et I've got eyes for you, de 1951 Don't lie to me, Sometimes i wonder, Rockin' chair (N° 9 des charts), Right from wrong, No no baby, My baby's gone, How long  (N° 9 des charts)et  Rose Mary(N° 10 des charts), de 1952 Dreaming (instrumental) et Nobody loves me, de 1953 Fat's domino blues et un inédit jusqu'en 1969 9th ward blues.

 


Ensuite on peut se consacrer sur les lps Imperial en commençant par Here stands Fats domino LP-9038 de 1957 qui est une sorte de best of de Fats réunissant des titres de différentes époques: Detroit city blues (1949), Hide away blues (1950), She's my baby (1950), New baby (1950), Little Bee(1950), Every night about this time(1950), I'm walkin' (1957), Im in the mood for love (1957), Cheatin' (1953), You can pack your suitcase (1954), Hey Fat man, I'll be gone (1952).

This is Fats Imperial LP 9028 est un album de 1956 regroupant quelques un de ses tubes de 1956 avec des titres antèrieurs : Blueberry Hill (1956) , Honey Chile (1956), What's the reason i'm not a pleasing you(1956), Blue Monday (1956), So long(1956), La la (1955), Troubles of my own(1955), You done me wrong(1954), Reeling and rocking(1952), The fat man's hop, Poor poor me (1952)  et Trust in me (1952).



Rock and Rollin' with Fats Domino compile comme son nom l'indique que des rock s'échelonnant entre 1949 et 1956.The Fat man(1949), Tired of crying(1951), Goin' home(1952), You said you love me(1953), Going to the river(1953), Please don't leave me(1953), Rose Mary(1953), All by myself(1955), Ain't that a shame(1955), Poor me (1955), Bo Weevil (1956) et Don't blame it on me (1956)

This is Fats imperial LP 12391 sorti en 1957 compile essentiellement des titres de 1957 avec deux singles de 1954 et un titre de 1952: The rooster song(1957), My happiness (1957), As time goes by(1957), Hey la bas (1957), Love me(1954), Don't you hear me calling you(1954), It's you i love(1957), Valley of tears(1957), Where did you stay (1954), Baby please (1954), Thinking of you (1954) et You know i miss you(1952).

The Fabulous Mr D Imperial lp 9055 de 1958 compile des titres de l'année avec d'autres plus anciens The big beat(1957) , I'll be glad when you're dead, You rascal you, What will i tell my heart, Barrel house, Little Mary (1958), Sick and tired(1958), I want you to know(1957), "44", Mardi gras in new Orleans(1953), I can't go on(1955), Long lonesome journey et Young school girl(1958).

 



I Miss You so Imperial lp 9138  compile des titres enregistré majoritairement début sixties et plus spécifiquement de 1961 avec I miss you so, It keep rainin',(1961) Ain't that just like a woman( 1961), Once in a while, I hear you knocking (1961), Isle of Capri (1963), What a price(1961), When i was young(1964), Feel in love on monday(1961), My bleeding heart, Easter parade et I'll aways be in love with you

Let's dance With Domino Imperial lp 12239 regroupe titre fifties et sixties: Ain't it a shame, I don't want to walk whitout you, I lived my life (1954), Someday(1959), Telling lies (1959), When i see you (1957), Just a little while, Oh ba-a-by, When you're smiling, Don't you know i love you (1958), Yes my darling (1958) et True Confession (1963)






A lot of Dominoes
Imperial lp 12066 réunit Put your arms around me honey (1960), Three night a week (1960), Shurah (1961), Rising sun, My girl Josephine (1960), The Sheik of Araby, Walking to New orleans (1960), Don't come knockin'(1960), Magic isles, You always hurt the one you love, It's the talk of the town et Natural born lover (1960).











What a Party!
imperial lp Compile des titres de 1960 et 1961 avec quelues titres fin fifties Did you ever see a dream walking (1962), Rockin bicycle (1961) , before i grow too old (1960), Ain't gonna do it, Bad luck and trouble, Hold hands, Trouble in mind, Coquette (1958), What a party (1961), I just cry (1961), I've been calling et Tell me that you love me (1960)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Let The Four Winds blow Imperial lp compile que des titres sixties: Along the navajo trail, You win again (1962), One night (1963),  I'm alone because i love you, Won't come on back (1962), Trouble blues (1963), I can't give you anything but love (1963), Good hearted man (1961), Your cheating heart (1964), Let the four winds blow (1961), In a shanty in old shanty town et Am i blue.



















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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 20:58

Ray Charles de son vrais nom Ray Charles Robinson est né à Albany en Georgie. Il est sans aucun doute l'une des plus grand chanteur de la musique populaire américaine, au côtés d'Elvis Presley ou Frank Sinatra. Ray à commencé sa carrière en faisant du blues teinté de Jazz, il enregistrent durant les fifties puis le début des sixties quelques uns des plus grand titres de rock n'roll de l'époque. Il garde jusqu'à la fin de sa vie une trés grande notoriété passant avec succés au Jazz à la variété avec quelques retours au Rhythm and blues de sa jeunesse.
Ray grandira au côté de ses parents et de son frère dans le quartier pauvre de Greenville en Floride, dés ses premières années il est attiré le boogie woogie que joue Pit Wiley le propriétaire du Red Wing Cafe.
A l'age de 7 ans il devient aveugle à cause d'un glaucome, son père décéde lorsqu'il à 10 ans et cinq ans plus sa mère disparait à son tour.

A l'école il commense le piano en jouant de la musique classique, mais il est attiré par le Jazz et le Blues qu'il entend à la radio. Rapidement son talent est reconnu au sein de l'école et commence à jouer du rhythm and blues régulièrement tout les vendredi et aux fêtes organisées dans son école (comme Halloween).  En 1943 Ray joue dans le groupe de Lawer Smith au Red hot club et Deluxe club du quartier français de Tallahassee et dans les boites des alentours de la ville. 
En 1945 au décés de sa mère, Ray  vit à Jacksonville et joue du piano dans l'orchestre du Ritz Theatre à Laville. Ensuite il déménage pour Orlando ou il joue dans l'orchestre les Floride Playboys. C'est à cette pèriode que Ray se fait une sérieuse réputation de pianiste.  Ray cherche alors à se faire un nom au niveau national et part pour Chicago puis New York, mais c'est à Seattle en 1947 qu'il enregistre pour la première fois pour Swing time records. Il obtient en 1949 son premier hit avec Confession blues (N° 2 des Charts R & B), son second hit pour le label il l'obtient en 1951 avec Baby, let me hold your hand (N° 5 des R & B charts). En 1952 il signe un contrat avec Atlantic records.
C'est chez Atlantic que Ray enregistrera ses premiers chef d'oeuvre qui feront un pont entre le rhythm and blues et le rock n'roll naissant avec son gros hit de 1953 le fantastique Mess Around, et surtout l'un des meilleur black rock n'roll I got a woman qui sera N° 1 des charts R &B en 1955. Il s'ensuit unje suite de hits comme This little girl of mine, Lonely avenue, Mary Ann, Drown in my own tears, The night time (is the right time) et le splendide Halleluiah i love her so.
Ray se fait alors accompagné par un fgroupe vocal féminin The Cookies qui se feront rebaptisé pour l'occasion The Realettes.

En 1959, Ray fait un succés international avec l'incontournable What'd i say (titre qui à l'origine était une improvisation de Ray en concert) le titre sera N° 1 des charts R & B et 6 des pop charts. Mais Ray quitte cette année là Atlantic pour Abc Paramount.
Sur son nouveau label il réalise de nouveau petits chef d'oeuvre comme Georgia on my mind (N° 1 des charts aux USA), le Rock Hit the road Jack (N° 1 des charts également) et Unchain my heart (N° 9 des charts).
C'est pour son nouveau label qu'il enregistre ses deux albums Modern sounds in country and western music Vol 1 et vol 2. Il rend hommage avec talent à la country music genre musical qui bercera sa jeunesse au même titre que le Jazz et le blues. En 1963 il obtient encore un hit majeur avec Busted (N° 4 des charts) et Take these chains from my heart (N° 8 des charts), en 1966  son Crying time monte à la 6 eme place des charts. Enfin il obtiendra un dernier hit pour Abc Paramount avec Here we go again en 1967.
Mais son style à partir de 1964 passe du Rock n'roll et rhythm and blues vers le Jazz et le crooner, ce qui lui permet de maintenir sa notoriété et à continuer de se classer dans les charts. En 1977 il participe au Saturday night live (un show tv d'NBC), dans un épisode du Cosby show et ses chansons sont utilisé dans un grand nombre de Bande original de film, et il apparait également dans l'excellent film The blues Brothers en 1980.
Je ne détaillerais pas la fin de la carrière de Ray car elle ne concerne plus vraiment mon propos sur le Rock n'roll. Pour moi la pèriode la plus exitente de Ray Charles se place entre Mess Around soit 1953 chez Atlantic et ses albums country de 1962 pour Abc Paramount.
Au niveau des albums son fameux album Rock n'roll Atlantic 8006 est un véritable chef d'oeuvre de rhythm and blues et black rock n'roll avec ses classiques Mess Around, Hallelujah i love her so, This little girl of mine, Ain't that love et biensur I got a woman, mais également Drown in my own tears, come back baby, Sinner's prayer, Funny (but i still love you), Losing hand, A fool for you, Mary Ann, Greenbacks et I don't you know.

C'est le seul album strictement Atlantic que je possède, mais je pense tous me les procurer par la suite, de chez ABC Paramount je possède le trés bon The genius hits of the road abcs 335 qui contient Alabamy bound, georgia on my mind, Basin street blues, Missippi mud, Moonlight in vermount, New york's my home, California, here i come, Moon over miami, Deep in the heart of texas, Carry me back to old virginny, Blue hawaii et Chatanooga choo-choo.
Mais également les insidpensables Modern sounds un country ans western music le vol 1 abc - 410 avec Bye bye love, You don't know me, Half as much, I love you so much it hurts, Just  a little lovin', Born to lose, worried mind, It makes no difference now, You win again, Careless love, I can't stop loving you, et Hey good lookin' et le volume 2 MBC 435 B avec You are my sunshine, Your cheatin' heart, no letter today, Someday, Don't tell me your troubles, midnight, oh lonesome me, take these chains from my hearts, Making believe, I'll never stand in your way, teardrops in my heart et Hang on your head in shame.
 Je me suis également procurer des best of, les 25 ans de Ray Charles ses plus grands succés de chez Atlantic un double disques qui compile sur le premier 33 tours ses tubes Atlantic avec It should have been me, The Mess around, Don't you know baby, I got a woman, A foll of you, Hallelujah i love her so, Drown in my own tears, Rock house, Lonely avenue, Ain't that love, Swanee river rock, Night time is the right time, Mary Ann, I believe to my soul, What'd i say, Just for a thrill, Yes indeed et Don't let the sun catch you cryin' et sur le second lp ses tubes Abc Paramount avec Georgia on my mind, Unchain my heart, Hit the road jack, One mint Julep, Ruby, I can't stop lovin' you, You are my sinshine, Born to lose, Busted, Cryin' time again, Let's get stoned, Yesterday, Understanding, Eleonor rigby, If you were mine, Don't change on me, Booty butt et Feel so bad.
Mais aussi le Greatest hits Ray Charles de chez London records qui compile plutôt des faces Paramount et quelques versions live de succés Atlantic comme Hallelujah i love her so et What'd i say. Nous trouvons aussi Take these chains from my heart, Your cheatin' heart, Baby, it's cold outside, Ruby, Don't set me free, Sweet georgia Broown,  Don't tell me your troubles, I can't stop loving you, Born to be blue, One mint julep, Unchain my heart, Lakin Whoopee (live) , Cry, Hard hearted Hannah, Cryin' time, Ol' man river, Hit the road jack, Stella by starlight, Busted, let's go get stoned, Cry me a river et  Georgia on my mind.

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 22:54

De nombreux rockers noirs de la fin des fifties et du début des sixties comme Sam Cooke, James Brown ou Jackie Wilson, préfigure la Soul Music des sixties, Marv Johnson est aussi de ceux là.
Marv Earl Johnson est originaire de Détroit dans le Michigan, il commence à chanter à l'église Baptiste tout les Dimaches.
Rapidement il élabore son style entre le Gospel et le Jump Blues de Louis Jordan (énorme vedette au début des fifties).
En 1958, il enregistre son premier simple My baby O et Once upon the time qui est des première production dE berry Gordy.
Lorsque Marv met en boite sa composition Come to me, Berry Gordy décide de faire de Marv le premier artiste qu'il va signer sur son label Tamla Motown. Mais le label n'a qu'une influence régionale, et les enregistrement de Marv rentre dans les charts nationaux, grace à la distribution de ses titres au niveau national par United artists records. Marv tournera tout dabord avec les Miracles et passera dans les programme de Alan Freed et l'American Bandstand tv show. Il fait ensuite des tournées avec Jackie Wilson et Sam Cooke. C'est son simple You've got what it take en 1959 qu'il devient une grosse vedette nationale, car son titre atteint dans le top ten et lui fait obtenir un disque d'or. Il obtien en 1960 deux autres gros tubes nationaux avec Happy days et You've got to move two mountain. Il obtient son trosième gros tube en 1961 avec Merry go round. Par la suite Marv continuera sa carrière chez Tamla Motown mais sans revenir dans les cahrts nationaux.
Au niveau des vinyls je conseille son premier lp the Marvelous Marv Johnson de 1960 united artist UAL 3081. Il est accompagné par l'orchestre de Don costa certains titres sont produit par Berry Gordy, d'autres par Don Costa et enfin pd'autres par Teddy Randazzo. Nous trouvons ses deux premiers gros succés Come to me et You got what it takes mais aussi des titres de trés bonne facture oscillant entre le rock noir, la ballade soul et le rhythm and blues comme September in the rain, Summertime, S'wonderful, I can't get started, Let me love you, Almost like being in love, Love is here to stay, i'm coming home, When i fall in love et Don't leave me.


Marv Johnson - Come to me 1959


Marv Johnson - You've got what it takes

Découvrez la playlist Marv Johnson avec Marv Johnson




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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 13:58

Esquerita de son vrais nom Eskew Reeder Jr est né à Greenville en Caroline du sud.  Esquerita est un autodidacte en musique, il apprend seul le piano et s'exerce tout les dimanches à la messe durant sa neuvième et dixième année. De part son incontestable talent, il rejoint rapidement un groupe Gospel de New York les Heavenly Echoes, qui sort un single sur Baton records en 1953 Didn't it rain.
De retour à Greenville, il ouvre à Washington Street un club rock n'roll The Owl Club, dans lequel il se produit sous le nom de Professor Eskew Reeder. C'est dans ce lieu que Paul Peek, guitariste de Gene Vincent le découvre. A l'écoute de bandes démos enregistrées à la radio WESC de Greenville, Gene Vincent arrive à convaincre Capitol records de le produire. Capitol transforme son nom d'artiste en Esquerita et réunis un groupe d'accompagnement composé de Tony White à la basse, Vincent Mosley à la guitare, Ricardo Young à la batterie, mais également lui adjoint un groupe vocal d'Atlanta The Gardenias. Il enregistre ensuite avec son groupe le 15 &  16 Mai 1958  7 titres dont Oh baby et Rockin' the joint.
En geste de gratitude envers Paul Peek, Esquerita lui écrit son single le trés bon rock n'roll The rock around qui sort chez NRC records. En Aout 1958, Esquerita enregistre 21 nouvelles chansons enregistrées à Nashville, sur I live the life i love et This thing called love on trouve les Jordanaires (le fameux groupe vocal d'Elvis Presley chez RCA dans les fifties) en accompagnement vocal. 12 de ses 21 enregistrements sortent en Mai 1959 sur l'indispensable album Esquerita!.
Durant les sixties il enregistre un simple pour Everest records A tear / Johnny little en 1963. En 1964 il participe au côté de Jimmy Hendrix à l'album de Little Richard Little Richard Greatest sur VeeJay. Et en 1968 il signe chez Brunswick pour le simple As Time Goes By / Mama, Your Daddy's Come Home avec en accompagnement Dr John à l'orgue.
Le style de Esquerita est proche de celui de Little Richard, mais n'est pas du tout un clône, à l'écoute de ses faces Capitol, son chant et son jeu de piano lui sont vraiment spécifiques. Son album de 1959 Esquerita ! Capitol 1186 (rare et chère aujourd'hui mais ayant été heureusement réédité à l'identique au début des années 1980) est évidemment une merveille de rock n'roll noir sauvage à posséder absolument. Il contient les titres Hey Miss Lucy , She Left Me Crying, Hole In My Heart , Believe Me When I Say Rock 'n' Roll, I Need You, Why Did It Take You So Long,  Get Back Baby, I'm Batty over Hattie et Gettin' Plenty of Lovin'.
Les faces Capitol n'ayant pas été sorties sur ce lp à l'époque sont présente sur le lp Ember Wilcat shakeout de 1969 que je ne possède pas pour l'instant, album qui contient les titres Rockin' the Joint, Hole in my Heart, Hey Miss Lucy, Get Back Baby, Baby You Can Depend on Me, I'm Batty over Hattie, Crazy Crazy Feeling, Gettin' Plenty of Lovin', Esquerita and the Voola, Laid Off, Believe Me When I Say Rock and Roll is Here to Stay, Oh Baby,  I Need You,  Why Did It Take So Long?



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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 09:32

Le rock n'roll noir à ces stars Little Richard, Bo Diddley, Fats Domino et biensur chuck Berry. Pour donner une idée de l'influence de chuck sur le Rock, John Lennon dira de lui: "Si on devait donner un autre nom au Rock n'roll on l'appellerait Chuck Berry".
De la même manière lorsque la nasa envoya dans l'espace Voyager 2 ils ont inclu de la musique dont des enregistrements de Bach, Beetoven, de Louis Armstrong et de Chuck Berry.
Chuck berry de son vrais nom Charles Eward Anderson Berry est originaire de Saint Louis dans le Missouri.

Comme la plupart des pionniers du rock il est influencé dans sa jeunesse par le Gospel, mais aussi le blues (deux des grosses influences du rock n'roll. 
Durant sa jeunesse il passe trois années en maison de correction pour des chapardages.
C'est en 1952 qu' Il forme son premier groupe avec le pianiste Johnny Johnson et le batteur Ebby Harding. Rapidement il se fait une solide réputation de showmen dans les clubs de St Louis, devenant la grose vedette du «Cosmopolitan Club».
A l'époque il interprette plutôt le répertoire d'artistes de rhythm and blues comme louis Jordan ou de Jazz comme Charlie Christian. Préférant le blues il forme le «Chuck Berry Combo», avec lequel il joue ses chansons avec son style avec tout autant de succés.

En 1955, il rencontre Muddy Waters qui à l'époque est une des plus grande vedette du blues, qui le présente au producteur Leonard Chess de Chess Record. C'est à ce moment que commence la grande assenscion de Chuck Berry. 
Comme nous allons le voir il composera une incroyable suite de tube et de classiques indémodable de la musique populaire mondiale. En  Juillet 1955 il  enregistre Maybellene (un blues teinté de Rockabilly) qui sera un immense succés  5 eme place au hot 100 du Bilboard, 5 eme place au casbox et 1 er place au Charts Rhythm and blues. Ce single  Chess 1604 aura en seconde face le blues Wee Wee hours. En Septembre il enregistre  le simple Chess 1610 Thirty day / Together we will be (8 eme place des charts R & B). En Décembre No Money Down qui se classe à la 11 eme place des charts r & b, il est issu du single Chess 1615 avec Down bound train en seconde face. Sur ces sessions il est accompagné de Johnny Johnson au piano, Willie Dixon à la contrebasse, Jasper Thomas (ou Eddie Hardy) à la batterie et Jerome Green aux maracas.
En 1956 Il enregistre 3 nouveaux singles, en mai Roll over beethoven / Drifting blues Chess 1626,  en Septembre Too much monkey business/ Brown eyed a handsome man Chess 1635, en Novembre You can't catch me /  Havana blues Chess 1645. Roll Over Beethoven se classe au Cashbox et dans les Charts R & B, et Too musch monkey business comme Brown eyed a handsome man dans le hit parade rhythm and blues, Nous retrouvons dans ces sessions Johnny Johnson au piano, L C Davis au saxophone et Willie Dixon à la contrebasse mais c'est Fred Below qui est à la batterie, On peut noter sur Havana moon la présence De Jimmy Rodgers (le bluesmen) en seconde guitare.
Et il apparait en Décembre dans le film d'Alan Freed Rock rock rock  au côté de Lavern Baker, Johnny Burnette and rock n'roll trio, Franky lymon and teenagers et Jimmy Cavello and house rockers entre autres. puis sur le lp du film  Chess lp 1425 dans lequel n'apparaissent que les chanteurs  du film  appartenant au label Chess (soit Chuck Berry, et les deux fomations doo wop The Flamingoes et The Moonglows. En Mars 1957, il enregistre School Days qui se classe 5 eme au Bilboard, 3 eme au Cashbox et 1er des charts rhythm and blues avec Deep feeling sur la seconde face de ce single Chess 1653. En Mai il enregistre enfin son 1 er LP After School Session  Chess lp 1426 avec Schoolday, Deep feeling, Too much monkey business, Wee wee hours, Roly Poly, No money down, Brown eyed a handsome man, Berry Pickin' Together we will always be, Havana moon, Down bound train et Drifting heart. En Juin sort le Chess 1664 Oh Baby doll / La juanda et en Septembre le Chess 1671 Rock n'roll/ Blue Feeling. Oh Baby doll se classe au Billboard et Cashbox, et Rock and roll (music) à la 8 eme place du Billboard, à la 14 eme du Cashbox et à la 6 eme des charts R & B. On peut noter  enfin son passage dans le  film d'Alan Freed Mr Rock n'roll. Sur ces sessions on trouve Johnny Johnson au piano, Willie Dixon à la contrebasse et fRed Below à la batterie.
Il commence trés fort l'année 1958 en enregistrant l'extraordinaire Chess 1683 Sweet little sixteen / Reelin' and rockin' en Janvier, l'autre incroyable simple Johnny be goode / around and around Chess 1691. Sweet little sixteen se place à la seconde place du billboard et cashbox et première place des charts rhythm and blues, johnny be goode à la 8 du billboard, 11 eme du Cashbox et 5 eme des charts R & B. En Mars sort son second lp tout aussi fantastique que le précédent One dozen berrys Chess LP -1432 avec Sweet little sixteen/Blue Feeling/ La jaunda/ Guitar boogie/ In-GO / Rock at the Philarmonic / Oh baby doll / Rock n'roll music / It don't take a few minutes / loxw feeling / Reelin' and rockin'  et  How you've changed. En Juin il enregistre le Chess 1697 Beautiful Delilah / Vacation time, en Aout le Chess 1700 Carol / Hey Pedro , en Octobre le Chess 1709 Sweet little rock n'roller / Jo jo gunne et en décembre le Chess 1714 Merry christmass baby / Run rudolph runCarol et Sweet little Rock n'roller se classe à la fois au Billboard, Cashbox et charts rhythm and blues et Merry Christmas baby au Billboard et Cassbox.
Sur les sessions de 1958 nous trouvons Johnny Johnson au piano, G Smith à la contrebasse et Eddie Hardy à la batterie.
En Janvier 1959 il enregistre le Chess 1716 Anthony boy/ That's my desire, en Mars le Chess 1722 Almost grown / Little Queenie, en Juin le Chess 1729 Back in the USA / Memphis Tennessee, En Septembre le Chess 1737 Broken arrow / Childhood sweetheart, et en Novembre l'Argo 5353 Say you'll be mine / let me Sleep. Il place Almost grown et Back in the usa dans le Billborad, le  Cashbox et les r & B charts, Anthony boy et Little queenie dans le Billboard et Cashbox, Memphis Tennessee dans le cashbox et Broken arrow dans le Casbox. En Avril il apparait au côté d'Eddie Cochran, Ritchie valens et Jackie Wilson entre autres dans le film d'Alan Freed Go Johnny Go et dans un autre film Jazz on Summer's day.  En Juillet sort son lp Chuck berry is on the top Chess lp - 1435. on y trouve Almost grown / Carol / Maybellene / Sweet little Rock n'roller / Anthony boy / Johnny b goode / Little queenie, Jo jo gun / Roll over beetoven / Around and around / Hey Pedro / et Blues for Hawaiians. Sur ces sessions on trouve (ou retrouve Johnny Johnson au Piano, Willie Dixon à la contrebasse, LC Davis au saxophone et Fred Below à la basse et pour certain titres avec deux guitare  Bo Diddley.
En Janvier 1960 il enregistre Too pooped to pop /Let it rock Chess 1747, en Avril Bye bye Johnny / Worried life Blues Chess 1754, en Aout I got to find my baby / Mad Lad Chess 1763 et en octobre Jaguar and thunderbirds / Our little rendez vous Chess 1767.  Too pooped to pop se classe dans les 3 hit parade, Le it Rock et Jaguar and thunderbirds dans le Billborad et Cashbox et Bye bye Johnny que dans le Cashbox. En Juillet parait le lp Chess LP- 1448 Rockin at the hops avec Bye bye Jihnny / Worried life blues / Down a road a piece / Confessin the blues / Too pooped to pop / Mad lad / I got find my baby / Betty Jean / Childwood sweetheart / Broken arrow / Driftin' blues  et Let it rock. Sur ces sessions nous trouvons Lc Davis au saxophone, Johnny Johnson au piano, Willie Dixon à la contrebasse, Matt Murphy en seconde guitare et Eddie Hardy à la batterie.
En Février 1961 il enregistre I'm talin' about you / Little star Chess 1779 et en Octobre Come On / Go go go Chess 1799. En Septembre parait l'album New juke box hits avec I'm talkin about you / Diploma for two, Thirteen question method, Away from you, Don't you lie me / The way it was before / Little star / route 66 / Sweet sixteen / Run around / Stop and listen et Rip it up. Sur ces sessions nous trouvons LC Davis au saxophone, Eddie Hardy à la batterie, Johnny Johnson au piano et Martha Berry aux choeurs.
En 1962, il enregistre moins en effet il brave une loi américaine interdisant de faire passer les frontières d'un état  à un mineur uil est condamné à une peine de prison. Sort cette année là le lp Chuck berry Twist  Chess LP - 1465(sans aucune nouveauté pour cause)
En Avril 1963 il enregistre le Chess 1853 Diploma for two / I'm talking about you, et en Aout le lp Chuck berry On Stage Chess KLP - 1480 contenant Brown eyed a handsome man, All abroad, rocking at the railroad, surfin' steel, I still got the blues, I just want to make love you, The man and the donkey, Trick or treat et How high the moon.
En 1964 Chuck revient sur le devant de la scène avec en Février le Chess 1883 Nadine / Rangutang, en  Avril le Chess 1898 No particular place to go / You two, en Juillet le Chess 1906 You never can tell / Brenda Lee, en Septembre le Chess 1912 Little Marie / Go booby soxer et en Novembre le Chess 1916 Promised land / Thing i used to do. Chuck redevient une vedette en effet Nadine, No particular place to go, You never can tell, Little Marie et Promised land sont des tubes qui se classent dans le Billboard et le Cashbox.
En Mai parait le lp The Latest and Greatest LP-1485, en Aout le lp  Two great guitars (avec Bo Diddley)  Checker LP - 2991, en Septembre You never can tell  PYE Lp- 28039 et en Novembre St Louis to liverpool Chess LP- 1488.
Sur ses session sont présents  Odie Payne à la batterie  et  Johnny Johnson au piano (sur les sessions de Janvier), qui en février est remplacé par Lafayette Leake lui même remplacé en Mars et Aout par Paul Williams.
En 1965 il classe au Billboard et Cashbox son Dear dad issu du simple Chess 1926 avec en face B Lonely school days. Il participe en avril au film the T A M I show et en Mai enregistre l'album Chuck berry In London ou il est accompagné par le groupe The five dimensions. En Septembre il enregistre le Chess - 1943 If wasn't me / Welcome back, pretty baby et en Novembre le lp Fresh Berrys Chess LP- 1498.
En 1966 dernière années chez Chess avant son retour sur le label en 1970, avec en Juin le Chess 1963 Ramona say yes /lonely school days.
En 1967 il passe chez Mercury , mais cela méritera un autre article.
Il est clair que pour faire le tour de la discographie toujours de grande qualité de chuck Berry chez Chess entre 1955 et 1967 il faut se procurer un grand nombre d'album (ce que j'ai commencé à faire) mais il manquera tout de même des titres sortie qu'en single ou EP (dont je n'ai pas parlé dans cette article). Pour cela je me suis procurer les 3 double album Chuck Berry's Golden Decade Vol 1, 2 et 3 qui font presque un tour exhaustif de cette pèriode légendaire.
Le Chuck Berry's golden decade contient Maybellene / Deep Feeling / Johnny B. Goode / Wee wee hours / Nadine / Brown eyed handsome man / Thirty days / Havana moon / No particular place to go / Memphis / Almost grown / To much monkey business / School days / Roll over Beetoven / Oh, Baby doll / Reelin' and rockin' / You can't catch me / Too pooped to pop / Bye bye Johnny / Sweet little sixteen / Rock and roll music / Anthony boy  et Back in the Usa.

Le Chuck Berry's decade Vol 2 contient Carol / You never can tell / No money down / Together we will aways be / Mad lad / Run rudolph run / Let it rock / Sweet little rockn'roller / It don't take but a few minutes / I'm talking about you / Driftin' blues / Go go go / Jaguar and thunderbirds / Little Queenie / Betty Jean / Guitar boogie / Down the road apiece / Merry Christmas baby / The promised land / Jo jo gunne / Don't you lie to me / Rockin' at the philarmonic / La juanda  et Come on.

Le Chuk Berry's Golden Decade Vol 3 contient  Beautiful Delilah / Go bobby soxer / I got a find my baby / Worried life blues / Rolli Polli (instrumental) / Downbound train / Broken arrow / Confessin' the blues / Drifting heart / Ingo (instrumental) / Man and the Do,nkey / St Louis blues / Our little rendez vous / Chilhood sweetheart / Blues for hawaiians (instrumental) / Hey pedro / My little love light / Little Marie / Country line / Viva viva rock n'roll / House of blue lights / Time was / Blue on blue (Inst) et Oh Yeah

 

Chuck Berry - Sweet little sixteen

 

 

 


Découvrez Chuck Berry!

 


Chuck Berry a Paris No particular place to go
envoyé par anabelasugarlee. -

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 08:06
Le label Spéciality s’est fait un nom grâce à deux artistes essentiels dans l’histoire du rock n’roll Lloyld Price et Little Richard. Art Rupe producteur du label, quand il rencontre début 1957 Larry Williams, sait qu’il a encore trouvé un grand artiste au vu du potentiel artistique qu’il détecte. En effet il ne se trompe pas, son premier enregistrement de Février (une reprise du "Just Because") de Lloyd Price est déjas trés interressant. Mais son gros tube au niveau national il l’obtient avec "Short fat Fannie" son premier grand classique, avec ses paroles qui reprennent des titres de morceaux de Little Richard et d’Elvis Presley, son intro en sifflement qui précède un rock qui déménage. Ce titre est le fruit de sa session d’Avril 1957, qui nous laisse aussi le plus serein "Hight school dance" et le mexicain "Iko iko aka Jokomo". En Juin 1957 Larry revient en studio pour nous enregistrer un autre chef d’oeuvre de rock noir rapide "You bug me baby", cette session lui permettra d’enregistrer également "Oh baby" et une reprise d’un titre de Huey Piano Smith "Rockin’ Pneumonia". Il obtient son second mega tube avec son incroyable "Bony Maronie" encore un trésor du rock noir avec des riffs de sax fantastiques en symbiose avec la mélodie, ce titre est du même niveau que les meilleurs Little Richard. Cette session est la plus fantastique qu’il est faite, on peut noter aussi la trés bonne version de "Lawdy mis clawdy" toujours de Lloyd Price, son "Zing zing" (plus calme) mais surtout un autre petit classique "Slow down", un nouveau rock démentiel du niveau de "Bony Moronie". La réputation que c’est faite Larry Williams avec ses quelques faces, lui permet de partir en tournée avec les plus grandes vedettes de l’époque comme Buddy Holly, Chuck berry, Jerry Lee Lewis et les Everly brothers. En Janvier 1958, il passe au show tv national "Américan Bandstand". En Février fort de son succés il repart en studio et nous enregistre encore un morceau d’anthologie avec "Dizzy miss Lizzy" avec ses riffs de guitare géniaux et simples à la fois et son piano dans le style de Little Richard. Il enregistrera le même jour une reprise de Little Richard "Heeby Jeebies" qui n’a rien à envier à l’originale, et deux autres titres "Make a little Love" et "Hootchy koo". En Juin, il enregistre le déjanté "Hocus Pocus" et en Aout l’excellent "Bad boy" associé au bluesy "Little school girl". Son dernier titre enregistré pour Spéciality sera en Mars 1959 "Ting a ling"(qui est agrémenté d’un backing vocal féminin) On doit également parler de "She said yeah" avec son trés bon solo de guitare bluesy c’est encore un autre petit chef d’oeuvre de Larry qui pourtant ne sera pas édité à l’époque. Ses musiciens durant toute ses séances de légende sont le plus souvent Larry Williams au chant et piano, Jewell Grant au sax bariton, Plas Johnson au tenor sax, Rene Hall à la guitare, Tel tremon à la basse et Earl Palmer à la batterie.
Au niveau des lps je n'ai pu résister à la tentation d'acheter l'édition originale US de l'album spéciality Here's Larry Williams SP 2109 qui contient Short fat Fannie, Make a little love, Hootchy-koo, Lawdy miss clawdy, Peaches and cream , Bony Moronie, Little school girl, Dizzy, miss Lizzy, Teardrops, You bug me baby, et Ting a ling.
J'ai aussi la réédition du lps par spéciality dans la série The golden Age of Rock n'roll sous le nom Larry Williams Original hits. Ensuite l'album Ace records  CH 129  nous permet d'écouter d'autres perles de Larry chez Spéciality non présente sur son lp comme: She sais Yeah, Let me tell you baby,  The dummy, Bad boy, Slow down (chef d'oeuvre du rock noir) Just because, Hootchy-koo, Little school girl, et Make a little love.
Larry Williams - Bony Moronie
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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 08:00
Le premier album de Bo Diddley sort sur Checker (filiale de chess records) s'appelle trés logiquement "Bo Diddley" le son et le style du maître son déjas là avec son riff très particulier. Tout les titres sont des classiques du rock n’roll, les textes sont souvent autobiographiques et humoristiques « Bo Diddley », « Diddley daddy », « diddley wha diddley » , « Hey Bo Diddley ». les séances s’échelonne entre 1955 et 1958, Celle de 1955 qui va mettre en boite sont premier hit « Bo Diddley » (avec un passage à l’émition de télévision le Ed Sullivan Show), mettre aussi sur bande « I’m a man » un blues très inspiré de Muddy Waters dans lequel Billy Boy Arnold tient l’harmonica, cette même année il enregistre Diddley Daddy », Pretty thing » et « Bring it to Jerome » (toujours avec Billy Boy arnold à l’harmonica, Jerome Green aux Maraccas Frank Kirkland à la batterie et le secours en backing vocal du groupe doo wop les Mooglows. De 1956 nous trouvons « Diddey wha diddey » et l’énorme « Who do you love ? » Les titres de 1957 se voit attribute Otis Spann au piano et Willie Dixon à la contrebasse ce sont l’ultra rapide “Hey Bo Diddley” le bluesy “Before you accuse me” et “Say boss man”. Les deux titres « Hush Your mouth » et « Dearest darling » date de 1958. Le mauvais procés fait à Bo Diddley de part son manque d’originalité est totalement contredit par la simple écoute de ce disque, il est rare d’entendre autant de variété mélodique dans l’œuvre d’un artiste en ayant à côté de cela un style musical très personnel et reconnaissable aux premières notes.

Bo Diddley - Hey Bo Diddley & Bo Diddley
envoyé par anabelasugarlee




Bo Diddley - I'm A Man live 1985
envoyé par Red_Chuck




BO DIDDLEY - WHO DO YOU LOVE // Checker 45 rpm


BO DIDDLEY - DIDDLEY DADDY


Bo Diddley-Pretty Thing


wurlitzer 1900 plays diddy wah diddy, by BO DIDDLEY


BO DIDDLEY / COPS AND ROBBERS

Bo Meets The Monster '58- Bo Diddley


Mona by Bo Diddley (Live GTK 1973)
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