Rock, Rock, Rock est un film qui est produit en 1956 par Alan Freed (le célèbre animateur et radio qui a permis par sa ténécité à faire exploser le vrais rock n'roll durant les fifties préférant les titres originaux au covers blanchisées et proprettes) afin de faire découvrir à un public encore plus large des artistes dont il aime le talent. La réalisation est confiée à Will Price qui ne réalise pas un chef d'oeuvre difficile avec un scénario aussi insipide qu'une histoire d'amour adolescante dans laquelle la jeune fille joué par Tuesday Weld cherche désespérément de l'argent pour s'acheter une robe pour aller danser au bal rock n'roll de l'école....
Mais le grand intérêt de ce film sont les prestations des stars du rock n'roll qui sont fabuleuses, on trouve Chuck Berry qui chante You can't catch me , Lavern Baker qui chante Tra la la, Frankie Lymon & the Teenagers qui chante I'm notjuvenile delinquant et Baby baby, Johnny burnette & his Rock n'roll trio qui chante Lonesome train, The Flamingos qui chantent Would I Be Crying, The Moonglows qui chantent I Knew From The Start et Over And Over Again, Jimmy Cavello and the House rockers qui interprette Rock, rock, rock (titre qui donne son nom au film) et The big beat et The Three chuckles qui interprette We're gonna rock tonight dont le leadeur Teddy Randazzo (qui fera plus tard une carrière solo) joue le role du petit ami de la jeune fille.
Le baiser de la fin